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Focus poussé de CISCO sur la Tunisie et les autres pays du Maghreb

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Organisé, du 28 au 31 mars 2010 à Manama, capitale du Bahreïn, le congrès international de CISCO a opté pour le slogan, fort significatif et révélateur : « Le savoir est une force ».
Tenu pour la première fois dans un pays du Moyen-Orient, le congrès s’est déroulé dans les locaux du circuit international de Formule 1 du Bahreïn (BIC) en présence de 1500 participants, entre spécialistes, experts, investisseurs, décideurs et journalistes venus du monde entier.
Faisant les choses dans les règles de l’art, les organisateurs ont réservé, à la fin des travaux dudit congrès (un des dix prévus pour l’année 2010 en cours), une table ronde pour discuter et débattre de la situation en la matière dans les pays du Maghreb.
Dirigée par Yvon Le Roux, vice-président de CISCO pour l’Afrique et les pays du Levant, la table ronde a constitué une opportunité idoine pour faire le point sur situation en matière de nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic) en Afrique, en général, et dans les pays du Maghreb, en particulier.
M. Le Roux a commencé par annoncer que CISCO est convaincue que l’Afrique présente un grand potentiel de développement dans le domaine des Tic, mais que, plus particulièrement, neuf pays de ce continent présentent de fortes potentialités pour en devenir des pôles avec une mention spéciale pour les pays maghrébins et, encore plus spécialement, la Tunisie.
Les neufs pays phares ciblés par CISCO sont, donc, la Tunisie, le Maroc, l’Algérie, la Libye, l’Egypte, le Nigéria, le Kenya, l’Angola et l’Afrique du Sud avec un focus poussé sur les trois premiers pays cités.
En effet, grâce aux câbles sous marins, pas moins de quarante cinq villes, d’une population égale ou supérieure à un million d’habitants chacune, seront concernées par les projets de CISCO dans ces pays.
S’agissant de la Tunisie, Yvon Le Roux assure qu’il s’agit d’un pays qui se trouve en avance en matière des Tic et où CISCO enregistre une croissance à deux chiffres en dépit de la dernière crise économique et financière internationale.
La Tunisie, selon le responsable de CISCO, met le paquet pour avancer, d’une manière résolue, sur la voie de la consécration des Tic surs les différents plans, à savoir, législatif, infrastructures et investissements, d’où les classements très honorables que lui octroient les diverses instances internationales spécialisées en la matière.
Pour M. Le Roux, notre pays présente de vastes champs de développement grâce à l’intérêt majeur qu’il porte à des volets comme l’éducation et l’enseignement supérieur avec les liaisons entre les écoles et les universités, la santé avec la liaison entre les divers hôpitaux et la télémédecine sans oublier l’informatisation tous azimuts des différents services administratifs et municipaux.
C’est dire que la Tunisie présente un environnement adéquat et favorable pour y réaliser de grandes percées et une croissance significative surtout que les autorités compétentes continuent à investir sur les deux fronts essentiels, en l’occurrence, l’infrastructure et les ressources humaines.
Concernant ce dernier point, justement, la Tunisie dispose de hautes compétences en matière informatique aussi bien au niveau qualitatif que quantitatif grâce à l’approche suivie dans le secteur de l’enseignement supérieur encourageant et privilégiant les disciplines à haut contenu technologique et à plus forte valeur ajoutée.
C’est dire que notre pays dispose des outils nécessaires justifiant l’intérêt des grandes entreprises telles CISCO pour y investir et apporter son savoir-faire, dont notamment l’accélération de la pénétration de ce qu’on appelle la « proadband ».
Et si l’on sait que CISCO est une des plus grands entreprises internationales spécialisées dans le domaine des technologies et des structures nécessaires et fiables pour les liaisons Internet à haut débit et les multiples applications pour les téléphones mobiles, on réalise mieux les possibilités qui s’offrent pour les deux parties en vue d’une coopération plus fructueuse et plus bénéfique.
Il est utile de préciser, enfin que M. Le Roux, qui a présidé la table ronde sur les pays d’Afrique du Nord, est un vieux routier du secteur. Il a rejoint Cisco Systems en septembre 1996 en tant que vice-président de la région d’Europe du Sud, d’Afrique et du Moyen Orient en charge des opérations en France, Italie, Portugal, Espagne, Suisse et Autriche. Yvon a été également très impliqué dans le développement de Cisco en Allemagne et en Afrique.
Avec plus de 25 ans d’expérience dans le domaine IT, Yvon est l’un des dirigeants du secteur les plus expérimentés. Il a rejoint Cisco depuis la filiale d’intégration de Fujitsu, Amdahl Corporation.
Tenu pour la première fois dans un pays du Moyen-Orient, le congrès s’est déroulé dans les locaux du circuit international de Formule 1 du Bahreïn (BIC) en présence de 1500 participants, entre spécialistes, experts, investisseurs, décideurs et journalistes venus du monde entier.
Faisant les choses dans les règles de l’art, les organisateurs ont réservé, à la fin des travaux dudit congrès (un des dix prévus pour l’année 2010 en cours), une table ronde pour discuter et débattre de la situation en la matière dans les pays du Maghreb.
Dirigée par Yvon Le Roux, vice-président de CISCO pour l’Afrique et les pays du Levant, la table ronde a constitué une opportunité idoine pour faire le point sur situation en matière de nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic) en Afrique, en général, et dans les pays du Maghreb, en particulier.
M. Le Roux a commencé par annoncer que CISCO est convaincue que l’Afrique présente un grand potentiel de développement dans le domaine des Tic, mais que, plus particulièrement, neuf pays de ce continent présentent de fortes potentialités pour en devenir des pôles avec une mention spéciale pour les pays maghrébins et, encore plus spécialement, la Tunisie.
Les neufs pays phares ciblés par CISCO sont, donc, la Tunisie, le Maroc, l’Algérie, la Libye, l’Egypte, le Nigéria, le Kenya, l’Angola et l’Afrique du Sud avec un focus poussé sur les trois premiers pays cités.
En effet, grâce aux câbles sous marins, pas moins de quarante cinq villes, d’une population égale ou supérieure à un million d’habitants chacune, seront concernées par les projets de CISCO dans ces pays.
S’agissant de la Tunisie, Yvon Le Roux assure qu’il s’agit d’un pays qui se trouve en avance en matière des Tic et où CISCO enregistre une croissance à deux chiffres en dépit de la dernière crise économique et financière internationale.
La Tunisie, selon le responsable de CISCO, met le paquet pour avancer, d’une manière résolue, sur la voie de la consécration des Tic surs les différents plans, à savoir, législatif, infrastructures et investissements, d’où les classements très honorables que lui octroient les diverses instances internationales spécialisées en la matière.
Pour M. Le Roux, notre pays présente de vastes champs de développement grâce à l’intérêt majeur qu’il porte à des volets comme l’éducation et l’enseignement supérieur avec les liaisons entre les écoles et les universités, la santé avec la liaison entre les divers hôpitaux et la télémédecine sans oublier l’informatisation tous azimuts des différents services administratifs et municipaux.
C’est dire que la Tunisie présente un environnement adéquat et favorable pour y réaliser de grandes percées et une croissance significative surtout que les autorités compétentes continuent à investir sur les deux fronts essentiels, en l’occurrence, l’infrastructure et les ressources humaines.
Concernant ce dernier point, justement, la Tunisie dispose de hautes compétences en matière informatique aussi bien au niveau qualitatif que quantitatif grâce à l’approche suivie dans le secteur de l’enseignement supérieur encourageant et privilégiant les disciplines à haut contenu technologique et à plus forte valeur ajoutée.
C’est dire que notre pays dispose des outils nécessaires justifiant l’intérêt des grandes entreprises telles CISCO pour y investir et apporter son savoir-faire, dont notamment l’accélération de la pénétration de ce qu’on appelle la « proadband ».
Et si l’on sait que CISCO est une des plus grands entreprises internationales spécialisées dans le domaine des technologies et des structures nécessaires et fiables pour les liaisons Internet à haut débit et les multiples applications pour les téléphones mobiles, on réalise mieux les possibilités qui s’offrent pour les deux parties en vue d’une coopération plus fructueuse et plus bénéfique.
Il est utile de préciser, enfin que M. Le Roux, qui a présidé la table ronde sur les pays d’Afrique du Nord, est un vieux routier du secteur. Il a rejoint Cisco Systems en septembre 1996 en tant que vice-président de la région d’Europe du Sud, d’Afrique et du Moyen Orient en charge des opérations en France, Italie, Portugal, Espagne, Suisse et Autriche. Yvon a été également très impliqué dans le développement de Cisco en Allemagne et en Afrique.
Avec plus de 25 ans d’expérience dans le domaine IT, Yvon est l’un des dirigeants du secteur les plus expérimentés. Il a rejoint Cisco depuis la filiale d’intégration de Fujitsu, Amdahl Corporation.
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