La jeune militante de 21 ans, Mawadda Jmei, a passé la nuit de mardi en prison. Son crime, elle s’est faite photographier avec un doigt d’honneur devant l’affiche électorale du président-candidat Kaïs Saïed. Cherchant à donner une rude leçon et à étouffer la voix de la gamine, le pouvoir a provoqué un tollé la transformant en héroïne.
Il y a des images qui, par on ne sait quel miracle, provoquent un tollé général et font, parfois, le tour du monde. L’image de Mohamed Bouazizi qui s’est immolé par le feu le 17 décembre 2010. Celle de l’anonyme de Tian’anmen qui, en 1989, s’est posté devant une colonne de 17 chars de l’armée chinoise. Il y a également celle d’Aylan Kurdi, ce Syrien de trois ans, dont le corps était photographié étendu à plat ventre sur une plage turque, mort noyé en 2015 ou encore celle de Mahsa Amini dont la mort en 2022 dans les geôles iraniennes a provoqué d’énormes manifestations dans tout le pays.
Le cas de la jeune tunisienne Mawadda Jmei est de la même famille. Depuis hier, les réseaux sociaux sont en effervescence et ne parlent que d’elle.
Totalement inconnue jusque-là, sans aucune appartenance partisane, Mawadda Jmei (dont le prénom signifie affection) est amoureuse des libertés. Surfant sur la vague, de plus en plus manifeste, des protestations contre le pouvoir de Kaïs Saïed, la jeune fille de 21 ans s’est prise en story, en montrant un doigt d’honneur devant l’affiche électorale de Kaïs Saïed.
Une pareille story, on en voit des milliers tous les jours, partout dans le monde. Les présidents et candidats politiques sont, partout, cibles de moqueries de tous genres aussi bien dans les médias que les réseaux sociaux. Cela porte un nom : liberté d’expression. Ce qu’a fait Mawadda est ce qu’il y a de plus anodin.
Sauf que ce n’était pas l’avis de la police de Gabès. Mardi matin, la jeune dame est kidnappée. Elle est emmenée au poste de police judiciaire de Bab Bhar, sans aucune convocation préalable et sans être assistée par son avocat, comme la loi l’exige. En fin de journée, le parquet émet contre elle un mandat de dépôt.
Ses amis donnent l’alerte et le Réseau tunisien des droits et des libertés (RTDL) prend l’affaire à bras-le-corps. Il s’avère que Mawadda est une militante de ce réseau qui a organisé, dernièrement, deux manifestations (et il a appelle à une troisième bientôt) hostiles au régime de Kaïs Saïed. Il compte des dizaines d’activistes, un peu partout dans le pays, et quelque deux mille citoyens ont répondu aux manifestations organisées dans la capitale.
Grâce à la mobilisation du RTDL, le nom de Mawadda Jmei est soudainement passé du statut inconnu au nom le plus populaire ce mardi 24 septembre.
Les médias privés s’emparent de l’affaire, aussitôt relayés par les personnalités politiques. Le célèbre caricaturiste Tawfik Omrane pond immédiatement un dessin montrant une main avec le doigt du milieu ablaté. Dessin partagé des milliers de fois.
Des dizaines d’anonymes, masqués ou à découvert, publient leurs photos avec un doigt d’honneur devant l’affiche électorale de Kaïs Saïed. D’autres font dans la subtilité, pour ne pas être attrapés. L’ancien secrétaire d’Etat, Abdoo Saâdaoui rappelle (sans désigner quelqu’un en particulier) que « son numéro est le trois » en accompagnant sa phrase de l’émoticône du majeur. Le journaliste Mohamed Yousfi use également de subtilité. Il écrit : « Que celui qui n’a pas été arrêté lève le doigt ».
De simples citoyens apolitiques font part de leur colère. Les gens arrivent à comprendre que le régime mette en prison des politiciens, des journalistes et des hommes d’affaires, mais mettre une gamine en prison pour une simple photo, ils trouvent cela abject.
Partout, on crie au scandale, on dénonce l’autoritarisme du régime de Kaïs Saïed qui ne répond aux critiques que par la répression et on appelle à la libération de Mawadda Jmei.
La veille, un enseignant de Djerba a été interpellé en plein cours dans sa salle de classe, pour les mêmes faits. Son cas n’a pas été largement médiatisé puisqu’il a été libéré après quelques heures de garde à vue.
C’est clair, l’arrestation de la jeune activiste n’est pas passée inaperçue. Sans aucun doute, le policier qui a alerté ses supérieurs pour procéder à son arrestation et le procureur qui a ordonné sa mise en examen ne s’attendaient pas à une telle mobilisation et à une telle publicité négative et hostile à l’encontre de leur président-candidat.
Jusque-là, et à quelques exceptions près, seules les arrestations ciblant des personnalités médiatico-politiques ont bénéficié d’une grande médiatisation quand il s’agit d’affaires liées à la liberté d’expression.
Pourtant, le régime de Kaïs Saïed arrête, par centaines, les citoyens qui publient des posts hostiles sur les réseaux sociaux. Le ministère de la Justice ne publie aucun chiffre quant à ces condamnations, mais on sait que le nombre est important. Le 24 juillet dernier, le chef de l’État a accordé une grâce spéciale au profit des condamnés pour des statuts sur les réseaux sociaux. Selon la présidence de la République et le ministère de la Justice, il y aurait eu 1229 personnes qui ont bénéficié de la grâce présidentielle. Ce chiffre n’englobe pas ceux qui ont des affaires en cours et n’ont pas encore été jugés ou ceux qui ont interjeté appel ou cassation, comme c’est le cas de nos confrères Borhen Bssaïs et Mourad Zeghidi.
La question est donc pourquoi le cas de l’inconnue Mawadda Jmei a-t-il mobilisé autant de gens, alors que les arrestations ciblant la liberté d’expression se comptent par dizaines quotidiennement ?
Comme Bouazizi, Kurdi, Amnini ou l’anonyme de Tian’anmen, il y a des photos et des faits divers qui échappent aux habitudes et arrivent à mobiliser les foules. Un cas est monté en épingle on ne sait trop comment et cela provoque énormément d’émotions et d’effervescence.
Cela ne naît cependant pas du néant, il faut qu’il y ait un terrain fertile pour que de telles émotions et effervescence s’observent.
Et, en ce moment, la Tunisie semble être assise sur une véritable poudrière. Le régime fait tout pour se maintenir au pouvoir et cela provoque une colère générale, de plus en plus manifeste. Il a éliminé, par la force, plusieurs candidats à la présidence. Alors que le tribunal administratif a ordonné la remise en course de trois candidats, l’instance électorale a refusé d’appliquer l’injonction. Un des trois candidats définitifs est en prison quotidiennement trimballé entre les tribunaux et les postes de police pour répondre d’hypothétiques falsifications de parrainages. Ajoutez à cela que le régime n’a absolument aucune réalisation digne de ce nom à faire valoir. L’inflation est à deux chiffres pour plusieurs produits alimentaires, la croissance est à zéro virgule et le chômage ne cesse de grimper.
Inévitablement, cela mène à une gronde. La marmite chauffe à petit feu. En plein milieu de ce marasme politico-économique, le fait d’arrêter une charmante jeune fille qui n’a fait qu’exprimer une opinion anodine provoque l’émotion et la colère.
Son acte est peut-être répréhensible et contraire aux bonnes mœurs, que la loi n’a jamais défini exactement. Son acte déplait certainement aux hypocrites conservateurs et aux flagorneurs opportunistes. Mais quelle que soit l’accusation que l’on va donner à son acte, cela ne mérite nullement la prison. La jeune dame n’a fait que montrer la liberté, il est anormal que les autorités politico-judiciaires de Gabès n’aient vu que le doigt !
La police et le parquet de Djerba ont bien compris que l’acte est anodin et ont relâché l’enseignant après l’avoir bousculé pendant quelques heures. Ce n’était pas le cas de la police et du parquet de Gabès (distante d’une centaine de kilomètres) qui ne voulaient pas prendre le risque de libérer une personne ayant commis un acte désobligeant à l’encontre du président de la République.
Suite à la grosse polémique et la mobilisation des médias et des ONG, Mawadda Jmei a été libérée mercredi 25 septembre dans la matinée par ce même parquet qui l’a arrêtée la veille. Pourquoi a-t-elle été arrêtée et pourquoi a-t-elle été libérée ? Personne ne le sait, mais le fait est qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans la machine politico-judiciaire du pouvoir.
Cette frilosité de la police et du parquet de Gabès s’explique par l’atmosphère générale imposée par Kaïs Saïed et son régime. Plusieurs magistrats ont été mutés pour avoir libéré des politiciens ou n’ayant pas procédé à leur arrestation. À l’inverse, plusieurs autres ont été promus parce qu’ils ont décidé des arrestations de politiciens.
Avec à la fois une carotte dans la main droite et un bâton dans la main gauche, le régime a réussi à insuffler une atmosphère nauséabonde mêlant la peur et la convoitise.
Il est fort probable que Kaïs Saïed ou sa ministre de la Justice n’aient pas été au courant de l’arrestation de Mawadda Jmei. Mais sans aucun doute, ils en sont coupables et ce sont eux qui doivent supporter ses conséquences, car c’est à cause d’eux que la police et le parquet font preuve d’autant de répression et de manque de respect à la liberté d’expression.
Raouf Ben Hédi
Aujourd'hui elle est avocate, et je ne regrette pas un instant d'avoir considéré ces doigts avec humour, amour et respect pour cette jeunesse en colère!
Les cheveux sauvages, belle comme la liberté que tout en elle exprime, le sourire radieux, le visage lumineux...
Un trésor de l'humanité !
Heureusement, le temps passe mais le fond demeure....
Tout est de la faute des tunisiens.
On a pas bougé quand des gens on été arrétés sur la base de déclaration à la TV
On a pas bougé quand les 57 juges pourtant innocentés ont été viré.
On a pas bougé quand le CSM a été dissous
On a pas bougé quand l'ISIE a été reconstruite avec des nomination du pouvoir
on a pas bougé quand des avocats se faisaient tabassés
On a pas bougé quand les journalistes se sont fait attaqué
On a pas bougé quand les associations civiles ont été reprimé
On a pas bougé quand on nous a imposé une nouvelle constitution
On a pas bougé ....
le pouvoir a eu aucun mal a diviser pour mieux régner, et maintenant on se sent bien seul tout d'un coup.
Citation, 1942 je crois:
"Quand ils sont venus chercher les socialistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas socialiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai rien dit, je n'étais pas juif.
Puis, ils sont venus me chercher. Et il ne restait personne pour protester.
Martin Niemöller"
Une mitbarjja et une mthajba
Elmtobarjja m'a dit on est envahi de touristes, ils nous bouffent tout, ils payent moins cher que nous, ect....
Et l'autre elmihajbba
Ma dit que Bourguiba avait vendu le pays, ect..... l'esprit que la religion
Tous ces jeunes pensent pareil
Wallahi haram alikom tout ce que vous avez inculqué à cette jeunesse
Wallahi aibbb we hram
C'est hallucinant mon dieu
- dans son livre "le loup des steppes" Hermann Hesse fait référence au livre "ainsi parlait Zarathoustra" de Nietzsche où Zarathoustra est une figure de la sagesse et de la libération de certains idéaux et qui nous incite/motive à aimer ce monde terrestre et de le savourer par l'ivresse à travers la musique, le mouvement (danse et sport), la littérature, et l'art en général (l'ivresse n'est pas dans le sens de l'alcoolisme comme certains le pensent) --> le message de Zarathoustra est un message d'amour pour l'homme et le monde et pour la vie. Sa démarche est celle d'un difficile apprentissage / consentement à ce qu'est la vie et d'un amour pour elle. De ce fait, il ne faudrait pas reporter l'objet de l'amour à ce qui pourrait être atteins que plus tard (à l'au-delà), non il faudrait conquérir l'amour de soi et de l'autre durant notre existence terrestre. --> celui qui serait capable d'aimer notre vie terrestre avec toutes ses peines, celui qui saura se maintenir dans un état de joie et de reconnaissance pour l'expérience de la vie malgré toutes ses peines. celui qui saura la goutter avec gourmandise toujours de nouveau par entre-autres l'ivresse à travers la musique, le mouvement (danse et sport), la littérature, et l'art en général --> celui-là sera un surhomme et il aura atteins le surhumain qui sera capable de regarder en face le tragique de ce monde terrestre dans les yeux toute en croyant / cherchant la joie et l'amour de l'autre et de soi. Le surhumain est celui qui pourrait être heureux, capable d'aimer, avoir de la joie et donner de la joie sans peur et sans haine dans une vie terrestre tragique.
- c'est dans ce contexte que Nietzsche utilise la triple métaphore du chameau, du lion et de l'enfant afin de décrire les 3 métamorphoses de l'esprit (je reviens ainsi au sujet de l'article).
La triple métaphore:
- a) Analogie avec le chameau portant de lourdes charges sans riposte: L'âme (esprit) de l'être humain se charge d'abord de toutes sortes d'expériences, de soumissions (la dictature des parents, de l'école et de ses enseignants, du système, etc.) et d'opinions qui ne sont pas forcement les siennes et qu'elle doit accepter sans aucune riposte --> par analogie au chameau qui doit porter de lourdes charges partout où il va sans aucune riposte. Ce qui est encore plus grave en Tunisie, c'est que l'on accorde trop peu d'importance au divertissement et à l'apprentissage de la musique, de la danse et des activités artistiques.
b) Analogie avec le Lion qui se révolte: Puis avec l'adolescence démarre une prise de conscience de tout le poids et de toutes les contraintes qui nous ont été imposées sans notre consentement:
- C'est un retournement de l'esprit à l'adolescence contre les lourdes charges qui lui ont été imposées en tant que "chameau" --> et ainsi l'esprit à l'age de l'adolescence cesse d'être un "chameau" afin de devenir un lion qui se révolte avec le sentiment légitime que la société s'est servie de lui. La métamorphose de l'esprit en lion est une déception du monde et de l'expérience de la vie qui lui a été offerte, il décide de tout rejeter --> c'est probablement le cas de Madame Mawadda Jmei qui se révolte contre une société qui n'a jamais eu de compréhension aux adultes de son âge.
- par contre, elle risque de se détruire par elle-même par ses propres forces dans une société très conservatrice. Oui, Madame Mawadda Jmei a eu une extrême bonne chance qu'elle n'a pas été emprisonnée pour 5 ans dans le cadre du décret 54 que certains de nos juges appliquent souvent hors contexte comme des automates.
c)Analogie avec l'enfant qui ne voit pratiquement que le coté positif de la vie: l'esprit qui s'est fait lion doit savoir se faire enfant qui s'émerveille pour la vie et dépasse ainsi les accusations de la société et de la vie entière --> d'où la naissance du surhomme...
Fazit: ce que Zarathoustra appelle homme supérieur est celui qui cesse d'accuser la vie ou de vouloir faire souffrir qui que ce soi. --> la conséquence est que l'être-humain après la décrite métamorphose se tient dans un entre-deux avec une juste mesure qui consiste à profiter de la joie d'exister (par la musique, la danse, les activités artistiques, la littérature, les passes temps favoris et par l'humour et le rire) sans oublier que l'existence elle-même est tragique. Autrement dit, l'être humain devrait reconnaître le coté tragique de la vie sans éprouver des ressentiments.
bonne journée
C'est se respecter soi même et puis autrui, c'est surtout l'éducation pas d'insultes, pas dénigrement, pas d'injures, c'est ne pas salir la rue comme si c'était chez soi, respecter le citoyen pas magouilles et trahisons, le bon citoyen ect....
Ca n'a jamais été faire le voyou, si c'était ca votre compréhension de la liberté et la démocratie c'est ce genre de voyous
"Ya kharbata almassa3)
Je ne suis pas la prison mais pour l'éducation et pas pour mêler les enfants à vos salades de politiques nauséabondes, laissez les enfants en dehors de vos conneries
Trump par ex est loin d'être un personnage courtois, mais malgré tout, qu'on l'apprécie ou pas, il a les memes droit que tout les citoyens américains. L'inculture de beaucoup de tunisiens est la source même de notre déclassement.
Donc vous mêlez et manipulez à votre salade politicienne les enfants et vous venez me parler de la démocratie américaine hahahahahaha excellent.
Pour te dire plus simplement pour que tu puisses comprendre, travail ton estime de toi et ça devrait aller mieux.
vous voulez juste maintenant la liste de 10 décision dangereuse pour le pays depuis seulement 2 ans?
C'est exactement comme ça qu'on les reconnais.
L obsenité et les insultes ne sont ni des arguments qui permettent l adhésion et surtout l arme du faible qui n a ni les competence intellectuel ni le courage de prendre les armes et d agir .
Tous les resistants et revolutionnaires avaient de l honneur et ne se rabaissait pas afaire des doigt au prof au policier au parents .
Quel assume son geste qui n a rien d héroïque juste de l obsenité
Est-ce que ça rentre ou toujours pas ? Après toi qui est du genre à prendre les armes, bon ben on voit le genre, pour ton info, d'autre préfère la voix du dialogue, de l'échange, de la légalité et de la conviction.
Gardez votre papa, j'en ai déja un merci. donner moi des institutions honnête et un Etat de droit.
Les dealers s en donnent à coeur joie aux abords de toutes nos institutions éducatives sous l oeil indifférent des sécuritaires
Les migrants clandestins continuent a s entasser a Amra et alentours sous l oeil indifférent de nos securitaires
Les prix des denrées de base continuent a s envoler sous la passivité bonnasse des autorités
Le système éducatif s effondre
Les investissements publics se réduisent comme peau de chagrin
L état de nos routes est indescriptible
Les hôpitaux publics deviennent une cour des miracles
Les gens deviennent de plus en plus agressifs et perturbés a commencer par notre jeunesse qui est délibérément sacrifiée de manière criminelle
A son âge , nous faisions des choses terribles ....et le militantisme était très frontal( '?' '? ' )
Dans le monde de l'éternel retour, chaque geste porte le poids d'une insoutenable responsabilité. La gamine s'en souviendra surement.
ET EST CE PAR HASARD que dans la meme journée deux 'citoyens' utilisent la meme 'manière' d'insulte (le doigt du DESHONNEUR). Et un troisieme , on ne connait pas sa 'manière' ORIGINALE !!!!d'insulte !!!!,et j'espère que ce n'est pas la MAIN DU DESHONNEUR!!!!. Et c'est un professeur (un collegue à MAGHZAOUI) et après on se plains de la DECADANCE MORALE DES ELEVES!!!!!
Ce n'est pas innocent ni spontané. la plénière approche et le 6 octobre approche.!
B.N S'il vous plait montrez nous, non pas son doigt !!!!,mais sa photo lors de la manifestation du 13 battant son tambour (et peut etre un sifflet dans la bouche). BOB DYLAN a chanté TAMBOURINE MAN (GIRL!!!!).
Il faut que quelqu'un le lui dise.
Ne l'enfonçons pas d'avantage. De toute façon vous ne pourriez pas la protéger, si elle venait à commettre d'autres bêtises.
Vous pouvez en faire une héroïne. '?phémère.
Bien sûr mes propos vont vous déplaire et comme à chaque fois vous n'aurez pas le courage de publier.
Terrible de finir sa carrière avec ce genre "d'insigne", qui est repris par un grand nombre de citoyens.
Même Ben Ali n'a pas eu "droit" à ça !!!
Allez, joins toi à nous pour combattre le Dictateur mon ami.
Il ferait mettre 1 million de personnes en prison ?....
(#doigt)
Nous construisons rien de durable sans le respect et la bonne éducation. Pourtant on est dans pays musulman, l'islam n'est pas construction de mosquée, et prière et tout reste, l'islam avant tout chose c'est la bonne éducation.
Quand tu veux arraché ta liberté, tous les moyens sont bon : ya pas de "gentil-gentil"