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Amel Radhouani : les décisions du ministère de l'Éducation sont illégales
18/07/2023 | 11:37
3 min
Amel Radhouani : les décisions du ministère de l'Éducation sont illégales


La membre du bureau exécutif de la Fédération de l'enseignement de base, Amel Radhouani a indiqué que l’instance administrative avait décidé de maintenir le blocage des notes et d’organiser une série de mouvements de protestation contre les décisions du ministère de l’Éducation. Elle a tenu le ministre de l’Éducation, Mohamed Ali Boughdiri, pour responsable de la situation.

Intervenant durant « La Matinale » de Wissal Kassrawi sur Shems Fm, Amel Radhouani a affirmé que la fin de l’année scolaire 2022-2023 avait eu lieu à la date du 30 juin 2023. Le taux de blocage en cette date avait atteint les 70%. Elle a assuré que les mesures prises par le ministère après cette date étaient illégales. La fédération a saisi le tribunal administratif. Elle a indiqué que la loi interdisait le gel des salaires. La plainte a été portée contre le ministère de l’Éducation.




« Ce qui a été décidé est un ensemble de mesures illégales… Nous avons confiance en la justice administrative… Nous avons porté plainte contre les mesures arbitraires visant nos collègues telles que le limogeage d’un groupe de directeurs d’école et le gel des salaires… Selon la loi, on ne peut pas retenir plus de 25% du salaire… Nous sommes face à des mesures visant les enseignants et leurs familles et cherchant à les affamer », a-t-elle ajouté.

Amel Radhouani a expliqué que les enseignants ont fait l’objet de pressions et de menaces. Certains d’entre eux se sont retrouvés dans l’obligation de communiquer les notes aux administrations des écoles. Elle a assuré qu’elle était compréhensive face à ce changement de position.

La syndicaliste a appelé l’intégralité des corps de métiers relevant du secteur de l’enseignement à participer activement aux manifestations et aux protestations qui se dérouleront sur tout le territoire tunisien. Une journée de colère sera aussi organisée. Ces mouvements de protestation ont pour but d’obliger le ministère à respecter le droit de la Fédération de l'enseignement de base de négocier.

Amel Radhouani a indiqué que le ministère de l’Éducation avait accepté de négocier au sujet d’une prime pédagogique avec la Fédération de l’enseignement secondaire, mais avait refusé de le faire avec la Fédération de l'enseignement de base. Celle-ci a demandé la régularisation de la situation des enseignants suppléants, l’application du P.V du 16 novembre, du 1e mars et la mise en place d’une prime pédagogique. 

 

S.G

18/07/2023 | 11:37
3 min
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Commentaires
SALIM
LE SYNDICAT DU PRIMAIRE EST ENTRAIN D'APPLIQUER LES INSTRUCTIONS DE TABBOUBI .
a posté le 19-07-2023 à 14:19
TABBOUBI ayant désespéré de son 'INITIATIVE' DE LA NOYADE NATOIONALE. Et étant convaincu de l'échec de toute grève sectorielle : la preuve l'ajournement ou l'annulation de plusieurs greves, et aprés avoir PERDU le syndicat de l'enseignement secondaire, essaie de maintenir ces syndicalistes dans leur ENTETEMENT , quitte à sacrifier les interets des enseignants et des éleves. La preuve :les réunions de la fédération de l'enseignement de base se déroulent sous la présidence d'un membre du bureau exécutif de l'UGTT. En plus ,le secrétaire général, un certain HAOUACHI a des prétentions d'accèder au bureau exécutif de la meme manière q'un certain OTHMAN JELLOULI ancien secrétaire de la FEDERATION de la SANTE. En resumé ,la 'guerre' engagée par ce 'syndicat' contre le ministre n'est qu'une guerre PAR PROCURATION entre TABBOUBI et nahdha, et KAIS SAIED.
cesarios
Notre corps enseignant doit inéluctablement respecté, honoré, et encouragé à mener ses prérogatives dans les meilleures.........................
a posté le 19-07-2023 à 12:27
Le corps enseignant du ministère de l'éducation est le plus lésé, défavorisé de tous les autres corps de nos ministères, (une sérieuse et transparente étude et une analyse de l'institut National de statistiques est souhaitée sur ce sujet) ........ Il trouve de lourdes difficultés pour faire face à ses dépenses vitales des premières nécessités ......La fausse information qui se propage matin, soir et le dimanche que l'enseignant cherche par tous les moyens de donner des cours particuliers, alors la réalité est tout le contraire, ce sont les parents et les élèves qui lui quémandent et pleurnichent, et tout faire pour accepter CES COURS, ça suffit de la propager, c'est une hypocrisie qui saute à tous les yeux .....L'augmentation des salaires des instituteurs est une nécessitée absolue, personne ne veut voir ET ENTENDRE son irrespect, son indignation, son dénigrement ,son écoeurement, et sa dévalorisation.....Son rôle éducatif d' encourager, d'inculquer à nos progénitures l'amour de la nation, de hisser son savoir et de lui ouvrir de nouveaux horizons pour l'excellence est la meilleure manière de répandre la sécurité et la stabilité de notre mère nourricière qui n' est et qui ne sera à perpétuité que : - notre chère TUNISIE de HANNIBAL , de FARHAT HACHED, de BOURGUIBA, d'IBN KHALDOUN , d'ABOU EL KACEM CHEBBI , d' AZIZA OTHMANA et des milliers d'autres qui se sont sacrifiés pour son honneur et son rayonnement...M. le MINISTRE est invité gracieusement de reprendre les négociations ,et de la discussion jaillit la lumière de la concordance et de l'harmonie des possibles décisions
EL OUAFI
Enseignants ?
a posté le 18-07-2023 à 22:20
Misquina tounés ! Les enseignants c'était autrefois, pas maintenant, des escrocs, suceurs de sang des pauvres parents.
Nous les anciens on a connu les devoirs surveillés, et non les cours !
Les cours obligation de les donnés en classe et à l'étude,
Cours particuliers cette pratique est instaurée par une bande d'escrocs, qui veulent s'enrichir sur le dos des parents qui veulent faire réussir leurs enfants, les voici ces mêmes parents confrontés à des hors la loi,des bandits pour les détrousser.
J'ai entendu dire que les cours du programme scolaire se donnaient pendant les heures de ces fameux cours particuliers, est-ce légal ?
Monsieur le président KAIS SAÏED au secours les pauvres parents n'en peuvent plus, appliquez la loi.
Qui dit la loi ?
1 ) Oui vous avez le droit de donner des cours particuliers en dehors de vos horaires habituels mais non pas à vos élèves !
Cours particuliers c'est un complément aux cours donnés en classe dans l'établissement public.
Et non pas au coin de la rue !
Un garage de voiture transformé en salle de classe !
On a tout vu avec ces bandits.
Bdouz
MEDIOCRE
a posté le 18-07-2023 à 22:02
Ou elle folle, ou elle n'a aucun principe, c'est une femme médiocre.
Comment peut-elle dire des choses pareils, a t'elle pensée une fraction de seconde si un de ces enfants était sous la sentence de ces enseignants voyons qui retiennent les notes de ces élèves ou lycéens....
A entendre ce qu'elle dit cela mentre que c'est une femme médiocre et indigne.
takilas
Un sous-développement évident
a posté le 18-07-2023 à 21:05
Sans besoin de démonstration.
Barbouwate msaiba.
SALIM
J'IMAGINE TABBOUBI DEMANDER AUX TROIS SECRETAIRES DU SYNDICAT DU PRIMAIRE HAOUACHI-CHEBBI-AZZABI DE SE CACHER ET DE NE PAS SE MONTRER AUX MEDIA.C'EST FINI LES AIGLES NOIRS JE VAIS ENVOYER DES PIGEONS ET DES FLAMANTS ROSES.
a posté le 18-07-2023 à 20:30
SALIM A ECRIT : à propos de l'article de B.N du 11/07/2023 | 14:59:
'Azzabi : le ministre de l'éducation s'apprete à commettre un GENOCIDE et à torpiller la rentrée prochaine !'

SALIM

Y A LATIF!!!.VOICI 2 NOUVEAUX MOTS DU LEXIQUE DE CE 'SYNDICALISTE': GENOCIDE !!! NOUS SOMMES A GAZZA OU A JENINE.ET BIENTOT LE MINISTRE DEVANT LE TRIBUNAL PENAL INTERNATIONAL(TPI)..LE DEUXIEME MOT TORPILLER!!! DEFINITION DE TORPILLER :DETRUIRE, DEMOLIR ET COULER A L'AIDE D'UNE TORPILLE.DEFINITION DE TORPILLE : ENGIN EXPLOSIF DE LA GUERRE NAVALE.

a posté le 11-07-2023 à 15:39

HIER IL A DIT LE MINISTRE A EXECUTE (AADAMA)LA PROCHAINE RENTREE.PAR PENDAISON OU GUILLOTINE!!!. ET CE N'EST PAS LA PREMIERE FOIS. C'EST CA SON LANGUAGE.ET C'EST UN MOURABBI!!!!.

ET LA SEMAINE DERNIERE il a dit : Article publié par B.N LE 07/07/2023 | 10:11 :TEXTO

'Ikbel Azzabi : le ministre de l'éducation veut faire un CARNAGE dans le secteur !'

Comme si on est à GAZZA ou JENINE en PALESTINE OCCUPEE.

Devons nous appeler LES CASQUES BLEUS (mais attention à la couleur BLEUE).

L'AXE OU LE TRIO DU MAL.LE SECRETAIRE GENERAL ET LES 2 SECRETAIRES ADJOINTS.

QUE la justice fasse son travail.Ils ne different pas des responsables des SYNDICATS SECURITAIRES. NI du chef du syndicat TUNISIE AUTOROUTE qui a ménacé d'ABAISSER LES BARRIERES.Ni du chef du syndicat de la JUSTICE un certain HATTAB. Ce TRIO est entrain d'exécuter UN AGENDA HOSTILE A L'ETAT ET AU 25 JUILLET.CE trio N'EST PAS NEUTRE POLITIQUEMENT.Et arretez de nous dire 'CENSURE DES NOTES' (HAJB EL AADED avec 404). Non il s'agit de NON REMISE DES NOTES A L'EMPLOYEUR.Et c'est UNE FAUTE ROFESSIONNELLE GRAVE d'aprés le CODE DE TRAVAIL qui conduit AU LICENSEMENT SANS INDEMNITE.En plus je n'ai pas compris pourquoi ce TRIO est TRES POLI envers le gouvernement et le ministre.Vraiement en écoutant leurs declarations , et leurs MENACES, c'est désastreux .Ils utilisent des termes INADMISSIBLES (batailles!!! IHTIRAB, CARNAGE ,RAD MOUZALZEL REPONSE SISMIQUE (ya latif),tasiid, entrée scolaire TRES CHAUDE (probablement c'est eux à l'origine de cette CANICULE), CARTE DES PROTESTATIONS, SE SACRIFIER !!! et espérons qu'ils ne proclament pas le JIHAD!!!).Pourquoi ce comportement qui est à l'opposé des SYNDICALISTES DU SECONDAIRE.QUI EST DERRIERE SES AGISSEMENTS .Ce trio represente t il la base des instituteurs?. SUREMENT NON.Comme avec les chefs des syndicats sécuritaires.IL FAUT AGIR TRES FORT ET TRES VITE. ET POURQUOI PAS UN CONSEIL DE SECURITE NATIONALE . Et pourquoi on relaie leurs déclarations.
SALIM
DONC COMME TABBOUBI ET NAHDHA ONT PERDU LEUR BATAILLE CONTRE KAIS SAIED, LE SYNDICAT DU PRIMAIRE A PERDU SA BATAILLE CONTRE LE MINISTRE..
a posté le 18-07-2023 à 19:00
ET après le secretaire général (haouachi) et les 2 secretaires adjoints : CHEBBI ET AZZABI (LES AIGLES 'TRIPOLI' ) avec leurs MENACES et leur lexique :BATAILLE, GENOCIDE ,CARNAGE, EXECUTION, TASIID, rad mozalzel,.....Tabboubi nous envoie LES PIGEON(NE)S pour demander les ..... NEGOCIATIONS !!!. MAIS ALI SALAH EX PRESIDENT DU YEMEN A BIEN DIT LAKAAD FATEKOM AL KITAR (vous avez raté le train).
veritas
Prendre des élèves en otages est il légal'?'?
a posté le 18-07-2023 à 18:57
Les pratiques de voyous sont ils légaux'?'? La légalité à géométrie variable chez ces pseudos instituteurs de la honte '?'ils ont pris les élèves en otages pour entraîner les parents d'élèves dans leur combats d'égoïstes et de malhonnêtes mais les parents d'élèves ont étés plus intelligents,bien fait pour vos sales gueules vous êtes des suceurs de sangs des parents à travers vos cours particuliers d'escroquerie.
Tout cela n'est étonnant de la part d'une majorité d'enseignants affiliés chez les criminels islamistes d'ennahba.
Bruno
La vérité
a posté le 18-07-2023 à 17:11
Même une plainte contre le ministre ne permettra pas le dégel des salaires. Le ministre applique la loi. Il pourra même limoger les enseignants en les renvoyant de la fonction publique. La loi est avec le ministre. Quant à la fixation de l'année scolaire, c'est le ministre qui la fixé. Donc arrêtez vos calomnies
SALIM
LA RETENTION DES NOTES UNE 'INVENTION ' TABBOUBIENNE
a posté le 18-07-2023 à 16:47
Dans aucun pays dans le monde, on a entendu une 'retention des notes'.Et cette 'retention de notes' ne diffère pas de la menace du chef du syndicat de TUNISIE AUTOROUTE, déja détenu (OU RETENU), d'ABAISSEMENT (ou RETENTION) des BARRIERES des stations de péage. L'un a menacé de prendre les CONDUCTEURS en OTAGE. Et les autres prennent les ENFANTS en OTAGE.

L'invention' de rétention des notes a commencé en 2018, par le syndicat du secondaire :
EXTRAIT D'un article publié sur un journal:

'L'organe administratif sectoriel de la fédération de l'enseignement secondaire, qui s'est réuni mardi 3 avril 2018, a décidé de poursuivre la retenue des notes des élèves tout en restant en état de réunion, a annoncé le secrétaire général de la fédération, Lassaad Yacoubi.'

Et voici un autre article:

Tunisie : Ben Salem réitère son refus de négocier avec la fédération de l'enseignement secondaire
28 Mars 2018 - Radio Tunis Chaîne Internationale
Hatem Ben Salem, ministre de l'éducation, a réitéré, dans la soirée du mardi 27 mars, le refus de son département d'entamer des négociations avec la fédération générale de l'enseignement du secondaire avant l'annulation de sa décision de retenir les notes. 'Le ministère va appliquer la loi et prendra toutes les mesures administratives contre la décision de retenue des notes, mais nous sommes disposés à négocier avec la fédération hors des pressions et des menaces et à condition de lever la confiscation des notes'?', a-t-il déclaré le ministre à l'agence TAP. Pour Ben Salem, il inadmissible d'impliquer les élèves dans un bras de fer professionnel, réaffirmant que la décision de retenue des notes 'est illégale et porte atteinte aux principes pédagogiques du
système éducatif '. Il s'est déclaré surpris de la position inflexible de la fédération de retenir les notes, tout en faisant état d'efforts déployés pour trouver un compromis entre le gouvernement et l'UGTT, sur la base d'une initiative du secrétaire général de la centrale syndicale, Noureddine Taboubi. Il faut rappeler que la fédération générale de l'enseignement du secondaire a annoncé mardi dans un communiqué l'observation par ses adhérents d'une grève ce mercredi 28 mars et la tenue de rassemblements devant les sièges des commissariats régionaux de l'éducation. Le bras de fer se poursuit.
Radio Tunis Chaîne Internationale

Conclusions:

1-Aux médias qui nous passent chaque jour un et meme 2 'syndicalistes' du primaire, pourquoi vous n'invitez pas UN JURISTE pour expliquer si la 'retention des notes ' est un fait LICITE ou ILLICITE.
2-Pourquoi ce BLACK OUT sur l'affaire de la plainte des parents d'élèves contre le syndicat.
3-Surement que les syndicalistes sont convaincus que leur acte est ILLEGAL et punissable par la loi. Mais ils persistent dans leur chantage et dans le DEFI de l'état POURQUOI.
4-Sommes nous devant une guerre PAR PROCURATION , TABBOUBI et NAHDHA , contre KAIS SAID.
5-A quand l'arret de cette hèmoragie. Les enseignants sont ils plus forts que les JUGES.Leurs syndicats sont ils plus forts que ceux des sécuritaires et des magistrats.
6-Faut il RECONSIDERER les ministères de l'EDUCATION et de l'enseignement superieur comme des ministères de SOUVERAINTE, comme la justice et l'intérieur.
bouraoui
taisez vus soyez discipliné avant tout
a posté le 18-07-2023 à 16:26
revendiquer ce qui ne vous appartient pas vous revendiquer n'importe quoi les grevistes t les saboteurs n'ont pas le droit de jouir d'un salaire non mérité
SALIM
REPORT REPORT REPORT REPORT.ET QUAND LA COUR D'APPEL TRANCHERA DANS LA PLAINTE DES PARENTS D'ELEVES CONTRE LA RETENTION DES NOTES?
a posté le 18-07-2023 à 16:25
JE vous ai lu un bon article de Monsieur Hatem Kotrane : Professeur émérite à la Faculté des Sciences Juridiques, Politiques et Sociales de Tunis-Ancien membre et vice-président du Comité des droits de l'enfant des Nations Unies.
Dont le titre
'La rétention des notes scolaires : incarnation du droit de grève ou mouvement constitutif de faits illicites ?
Et dont voici des extraits (TEXTO) :

Rétention des notes scolaires et droits de l'enfant

15. La rétention des notes scolaires soulève des questions plus pressantes quant à sa compatibilité avec d'autres droits, qui ont également un statut constitutionnel, que la Constitution du 25 juillet 2022 a tenu à proclamer, au premier rang desquels les droits de l'enfant dans les termes définis en son article cinquante-deux article 47 de la Constitution du 27 janvier 2014) : « '?'Les droits à la dignité, à la santé, aux soins, à l'éducation et à l'enseignement sont garantis à l'enfant vis-à-vis de ses parents et de l'?tat.
L'?tat doit garantir toute forme de protection à tous les enfants sans discrimination et en fonction de leur intérêt supérieur ».
La question se pose alors de savoir si la rétention des notes scolaires est compatible avec ce principe important consistant à accorder une considération primordiale à l'intérêt supérieur de l'enfant dans toutes les décisions le concernant, conformément aux dispositions de l'article 4 du Code de protection de l'enfant, qui est pleinement conforme aux exigences de l'article 3 de la Convention relative aux droits de l'enfant, selon lesquelles: « L'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération majeure dans toutes les mesures prises à l'égard de l'enfant par les tribunaux, les autorités administratives, ou les institutions publiques, ou privées de la protection sociale.
Doivent être pris en considération, avec les besoins moraux affectifs et physiques de l'enfant, son âge, son état de santé, son milieu familial et les différents points relatifs à sa situation ».

16. Dans son Observations générale n°14 (2013) sur le droit de l'enfant à ce que son intérêt supérieur soit une considération primordiale, le Comité des droits de l'enfant a indiqué que la considération primordiale de l'intérêt supérieur de l'enfant constitue, tout à la fois, un droit de fond, un principe juridique interprétatif fondamental et une règle de procédure, ce qui implique, en particulier, que : « Quand une décision qui aura des incidences sur un enfant, un groupe défini d'enfants ou les enfants en général doit être prise, le processus décisionnel doit comporter une évaluation de ces incidences (positives ou négatives) sur l'enfant concerné ou les enfants concernés. L'évaluation et la détermination de l'intérêt supérieur de l'enfant requièrent des garanties procédurales. En outre, la justification d'une décision doit montrer que le droit en question a été expressément pris en considération'?' ».

La rétention des notes scolaires constitue bien, dans ces conditions, une pratique syndicale manifestement contraire au principe de l'intérêt supérieur de l'enfant, en mettant en échec son droit à l'éducation de qualité, tout autant reconnu par l'article quarante-quatre de la Constitution du 25 juillet 2022 (article de la Constitution du 27 janvier 2014) selon lequel :
«'?'L'?tat garantit le droit à l'enseignement public gratuit à tous ses niveaux. Il veille à fournir les ressources nécessaires au service d'une éducation, d'un enseignement et d'une formation de qualité ».
Citoyen_H
ALLER, PLUS AUCUNE DE CHANTAGE NE PASSERA
a posté le 18-07-2023 à 14:50
"Celle-ci a demandé la régularisation de la situation des enseignants suppléants"

Le pays leur appartient. él bléd, bléde bou8om !!!
Ces bouseux se croient tout permis.
Aucune régularisation sous la menace et aucune régularisation si cela n'est pas nécessaire.
La Tunisie a pulvérisé le record mondial du ratio de nombre de fonctionnaires par habitant.
Halte à la bougnoulisation à la volée.


Citoyen_H
ALLER, PLUS AUCUNE FORME DE CHANTAGE NE PASSERA
a posté le à 17:37
Rectificatif !!
Hamma
A.Radhouni dans le déni et le mensonge.
a posté le 18-07-2023 à 14:05
La rétention des notes est aussi illégale,qu'avez-vous fait pour les élèves?Le pourcentage au Bac.
est ridicule (37%..)le niveau est catastrophique et les sois-disant prof.n'ont aucune pédagogie( voir les remarques sur les bulletins et les fautes du niveau primaire).
Le syndicat ne cherche que ses intérêts,l'augmentation des salaires,les avantages et les primes.
Le sort et l'avenir des élèves est le dernier de leurs soucis.Par contre les prof incitent les élèves de leurs classes à faire des études payantes chez eux"gage de réussite..."Sans aucun remord.Selection par l'argent(Connaître leurs résultats).
Les décisions du ministre sont légitimes et responsables:Il faut mater ces réfractaires et les obliger à écouter les revendications des parents qui sont dans leur droit.
Bensa
Prime
a posté le 18-07-2023 à 13:48
Mme le blocage des notes est illégal
Il n'y aura pas de prime car la situation financière du pays ne le permet pas