
La commission administrative nationale de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), réunie samedi 15 juillet 2023, a examiné la situation générale et suivi les développements liés notamment à la campagne de répression et de diffamation contre le secteur de l'enseignement de base.
Dans son communiqué, l'UGTT a exprimé son soutien au secteur de l'enseignement de base et adopté ses revendications légitimes.
La centrale syndicale a condamné également les déclarations irresponsables du ministre de l'Éducation qui qualifie les enseignants d'aventuriers et de criminels, incitant ainsi les parents et l'opinion publique à se retourner contre eux, et exagérant les attaques à leur encontre, ce qui nuit à la réputation des enseignants.
Dans le cadre de son devoir de solidarité syndicale et en soutien à la résistance de l'enseignement de base et aux structures syndicales, la commission administrative nationale appelle le pouvoir exécutif à revenir sur les mesures de sanction collective et de reprendre des négociations sérieuses et responsables. Elle a annoncé également son adoption de toutes les décisions prises par la commission administrative sectorielle de l'enseignement de base.
L'UGTT rejette catégoriquement la violation des droits et des libertés et demande le retrait du décret 54 qui vise à museler les voix, et met en garde contre les mesures restreignant la liberté d'expression en faisant allusion au retour du contrôle électronique sous prétexte de lutter contre la diffamation, les abus et les atteintes à la dignité. L'UGTT demande également de garantir l'indépendance du pouvoir judiciaire et de ne pas l'utiliser pour régler des comptes politiques
L'UGTT renouvelle son refus de la levée des subventions et condamne la politique de dissimulation et de tromperie adoptée par le pouvoir exécutif concernant ce dossier sensible qui touche le pouvoir d'achat des Tunisiens et leur vie, ainsi que les négociations infructueuses avec le Fonds monétaire international qui impose ses directives dans le but d’affamer le peuple et de lui faire supporter les conséquences des politiques impopulaires et inefficaces suivies par les gouvernements successifs.
Concernant le dossier de l'immigration, il est considéré comme un dossier politique national, régional et international par excellence, qui ne peut être résolu en se soumettant au chantage de certains pays européens et par le biais de négociations secrètes et de mémorandums d'accord inconnus du peuple, conclus dans des chambres obscures. La commission administrative nationale exprime ses inquiétudes quant aux visites étranges de responsables politiques européens qui ne défendent que les intérêts de leurs propres pays. En effet, le traitement de ce dossier devrait être fondé sur la clarté, la transparence, la franchise envers le peuple, et ces négociations devraient être ouvertes et franches, précise l’UGTT.
S.H
2-Le refus par le gouvernement , et par suite de la centrale patronale, des négocier avec l'UGTT.
3-Tabboubi ne pourrait pas oublier la négligence et meme le mépris du Président lors de la commomération de l'assasinat de HACHED le 5 Decembre 2022.KAIS SAIED n'a adressé aucun mot à TABBOUBI ,la tete basse. Par contre il a beaucoup discuté avec le fils de HACHED pour envoyer le message suivant : la direction actuelle de l'UGTT a sali FARHAT HACHED.Si HACHED disait : O PEUPLE JE VOUS AIME. La direction actuelle dit O PEUPLE JE VOUS DETESTE.
4-TABBOUBI est convaincu que 'son initiative de noyade nationale' EST MORTE NEE.
5-Tabboubi est convaincu qu'il ne pourrait plus utiliser 'l'arme des greves' .Et la preuve l'ajournement à maintes reprises , et l'annulation des greves dans plusieurs secteurs. Ni plus 'l'arme de retention des notes'.
6-TABBOUBI sait bien que son destin ne sera pas meilleur que celui de ACHOUR sous BOURGUIBA , ou SAHBANI sous BEN ALI ,ou EZZAR de l'UTAP sous KAIS SAIED. TABBOUBI sait , ou au moins ,craint qu'il soit démis et JUGE. Surtout qu'il sait que sa présidence de l'UGTT pour un troisieme mandat sera annulé par la JUSTICE qui ne va pas reculer pour fouiller aux petits détails dans les dossiers de l'UGTT.
J'explique:
- Le ministère N'A PAS retenu le salaire de TOUS les enseignants, il l'a fait uniquement pour les bandits qui ont refusé de faire leur travail et rendre les notes. Ceci n'est pas une sanction collective,
- PAR CONTRE, les enseignants bandits ont puni TOUS LES ECOLIERS tunisiens, en les privant de leurs notes. C'est bien cela la sanction collective.
N'est-ce pas ? Ou bien on se trompe
Plein le cul du laxisme et du laisser aller !!
Celui qui se marginalise, sait à quoi s'attendre dorénavant.
Dix années de dérive totale. STOOOOOOP !!!
Trop bon, trop con.

