Le vice-président de la chambre syndicale des taxis individuels, Ali Torkia a exprimé son refus et son rejet de toute forme de violence exercée sur les citoyens ou sur les conducteurs de taxi.
S'exprimant le 14 novembre 2024 durant "Sbeh El Ward" de Hatem Ben Amara sur Jawhara Fm, Ali Torkia a appelé l'État à la tenue de formations pour les conducteurs et propriétaires de taxi. Le vice-président de la chambre syndicale est revenu sur l'agression de mineures par un chauffeur de taxi en pleine rue. La scène, ayant eu lieu en début de semaine, avait été filmée par l'une des victimes.
« Notre collègue et propriétaire du véhicule, c'est-à-dire son patron, a indiqué que le conducteur de taxi s'est présenté de son propre gré à la police... Nous dénonçons l'attitude du conducteur... Nous devons toujours respecter les enfants, les personnes âgées et toutes les catégories sociales... D'un autre côté, nous allons prendre en considération ce qui a été dit avant l'acte... Nous ne détenons pas la vérité... Selon les proches de notre collègue, il a été victime de plusieurs provocations » a-t-il ajouté.
Par la suite, Ali Torkia a évoqué la question des applications de taxi. Il a affirmé que l'État était dans l'obligation de développer et d'investir dans chaque secteur tel que celui des transports. Il a considéré que la loi en vigueur en matière de transport terrestre était archaïque et n'a pas suivi le rythme de l'évolution du secteur. Il a, aussi, révélé que la Fédération nationale des transports avait présenté une proposition de légalisation de l'utilisation des applications et que les réunions dédiées à ce sujet ont été suspendues depuis mars 2024.
S.G
Une bonne partie de ces derniers, n'ont pas encore quitté l'arbre !!!
Cela faisait partie de l'énigme, qui n'en plus une ; celle du chainant manquant.
D'où l'importance capitale, d'une étape de sevrage, en quelque sorte, une forme d'acclimatation en milieu civilisé.
Sinon, leur unique but est de se faire un max d'argent, quels que soient les moyens mis en oeuvre.
La faim justifie les moyens.
Quant au civisme et au savoir-vivre, pour ces gens-là, c'est de la science-fiction.
Il n'y a aucun remède à cela. C'est une question d'ADN.
On commence par ça.
Après on s'occupera de tous les tacots, immatriculés au siècle dernier qui circulent encore (avec une visite technique semestrielle en principe, on se demande comment on les autorise encore à circuler pour un transport de passagers) et on enverra à la ferraille ceux qui représentent un danger public sur les routes et pour les autres.
Le mieux, c'est de remettre les transports en commun avec des lignes sûres et régulières au lieu de laisser proliférer ce genre de transport de manière anarchique et qui est en train d'étouffer nos principales villes, au propre comme au figuré.