
Le conseil central du parti « Al Massar » a considéré que la réforme du système actuel ne pouvait avoir lieu que par le biais d’élections libres, intègres et transparentes. Il s’agirait du seul mécanisme permettant de mettre fin à l’autocratie et à la marginalisation des institutions de l’État.
Dans un communiqué du 13 avril 2024, le conseil central du parti « Al Massar » a indiqué que la réussite de cette réforme était tributaire de l’assainissement du climat électoral. Il a appelé à mettre fin aux accusations de trahisons visant les opposants et aux critiques du chef de l’État, Kaïs Saïed et au retrait du décret liberticide 54. « Al Massar » a, aussi, appelé à mettre fin à l’exploitation des ressources de l’État dans le but de mener une campagne électorale anticipée rappelant des pratiques de la Tunisie d’avant le 14 janvier 2011.
La même source a exigé la révision de la composition de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) dans le but de garantir son impartialité et son indépendance et de lui permettre d’exercer son rôle sans aucune ingérence ou tutelle du pouvoir exécutif. Le conseil central du parti « Al Massar » a demandé la libération des détenus placés en prison en raison de leurs activités politiques et syndicales ou en raison de leurs opinions. Le parti a considéré que la justice ne doit pas être exploitée dans le but d’écarter les rivaux et opposants politiques.
Le parti politique a considéré que la sortie de la crise socio-économique était tributaire de l’adoption d’une alternative économique et sociale élaborée par les forces progressistes, la société civile, les syndicats et les organisations nationales indépendantes. La même source a indiqué que les forces démocrates devaient s’unir et mettre fin à la situation d’éparpillement dont elles témoignent tout en tirant les leçons du passé et en œuvrant pour le changement durable.
S.G
John Wayne est un cow boy n est pas un clown
Monsieur (ou est-ce Madame ?)
La révolution était un cirque gigantesque dont les Tunisiens comme vous étaient les clowns, employés des forces sionistes qui depuis longtemps guettaient la Tunisie de Ben Ali parce qu'elle gênait le monde par son système économique innovateur et adapté, et sa sécurité et stabilité.
Faites votre bilan : qu'avez-vous accompli ?
Rien a part faire la joie des Israéliens puants comme Bernard Henry Levi qui viennent en Tunisie admirer votre bêtise et votre désarroi face aux évènements.
Les Tunisiens comme vous ont prouvé qu'ils avaient un niveau intellectuel et une compréhension du monde proche de zéro en valeur absolue.
Le Tunisien est incapable de comprendre la dynamique qui anime le monde, à savoir qu'il n'y a qu'Israël qui compte depuis sa création en 1948 et que les sionistes ont déculotté le monde entier y compris l'Amérique à leur avantage et que des Tunisiens comme vous, ils les mettent sur un cheque de paye comme une bonne en porte jarretelle travaillant pour un pervers Italien louant une villa à Hammamet.
Vous êtes comme tous les Tunisiens : à la merci de sionistes qui ont déstabilisé votre pays en une fraction de seconde grâce à vos experts en droits de l'homme qui ne rêvent que de s'acheter une limousine de luxe avec un FCR trafiqué de chez Amir Auto.
Regardez la mascarade dont vous avez fait l'objet : prix Nobel bidons pour islamistes tenus de leurs culottes par Moza leur maitresse, Faux Bourguiba faisant des discours a Ksar Hallal face à des gueux intrigués et des bourgeois crédules, Moncef Marzouki employé du Qatar avec son compère Frikha dont la physionomie évoque celle d'un cochon d'élevage aux glands bio espagnols inaugurant des lignes aériennes pour jihadistes hirsutes et a l'hygiène corporelle datant de l'âge de la pierre, une maquerelle nommée Sihem BS démettant hauts cadres du MIT quelle décrit comme tortionnaires, Rached Ghannouchi agent du MI6 traçant les grandes lignes d'un Califat en Tunisie avec sa fille dont la bouche évoque celle d'une guenon en chaleur ; et la liste est longue.
Ayez la décence de reconnaître que même avec KS qui est intègre et propre, vous êtes cuits et recuits comme un merguez acheté de chez carrefour qu'on a oublié de retourner à temps dans une poêle.
Et à propos de poêle, vous êtes à poils devant l'univers Monsieur.
JOHN WAYNE