
Quinze arrestations ont été opérées dans le cadre de l’affaire des déchets italiens, a indiqué le porte-parole du Tribunal de première instance de Sousse 1 Jabeur Ghnimi, ce lundi matin 21 décembre 2020, dans une déclaration à Business News, dont notamment le ministre des Affaires locales et de l’Environnement, limogé la veille, Mustapha Aroui.
Autre fait important, M. Ghnimi a spécifié que l’arrestation du ministre s’est faite avant son limogeage
Ainsi, le porte-parole a énuméré à Business News, les personnes arrêtées dans l’affaire. Il s’agit de :
- Le ministre des Affaires locales et de l’Environnement limogé Mustapha Aroui
- Son chef de cabinet
- Un directeur au sein de l'Agence nationale de gestion des déchets (Anged)
- Un directeur au sein de l’Agence nationale de protection de l'environnement
- Un chef de commission au sein de l’Agence nationale de protection de l'environnement
- Un fonctionnaire au sein de la Direction régionale de l’environnement à Sousse
- Un ancien directeur général de l'Agence nationale de gestion des déchets (Anged)
- Un directeur au sein de l'Agence nationale de gestion des déchets (Anged)
- Un colonel-major dans la Douane
- Le propriétaire d’un laboratoire privé
- Un transitaire
- Un agent de la poste
- Et trois membres ingénieurs eu sein de la commission des consensus à l’Agence nationale de protection de l'environnement
En outre, Jabeur Ghnimi a spécifié que dix autres personnes en relation avec l’affaire seront entendues par la Cour mais en état de liberté. Il s’agit :
- L’ancien ministre de l'Environnement Chokri Ben Hassen
- L’actuel directeur général de l'Agence nationale de gestion des déchets (Anged)
- Le directeur général limogé de l'Agence nationale de gestion des déchets (Anged)
- Deux autres colonels-major dans la Douane
- Un ingénieur de premier garde au sein l’Agence nationale de protection de l'environnement
- Le consul de la Tunisie à Naples (Italie)
Notons que le propriétaire de la société est en état de fuite. Il aurait quitté le pays, selon la même source, et il est actuellement recherché.
I.N

Il n'y a qu'à suivre l'enchaînement des faits et des sabotages pour tout comprendre depuis que ghanouchi a formé un pseudo parti basé sur l'islam ( dont il n'a aucun rapport et aucune formation en la matière ) pour comprendre ce complot.
Et surtout et ne pas confondre avec un "parti" qui n'existe plus appelé "ittijah islami" composé de oulémas de la mosquée Zitouna et qui n'a aucun lien avec nahdha ni le clan des sudistes de ghanouchi formé à Londres vers 2006...
Et puis de comprendre pourquoi Feu Ben Ali a autorisé le départ de ghanouchi et ses amis et proches (le clan en question ou la poignet de soit-disant réfugiés politiques qui l'ont accompagné à Londres (et de vivre en nabab dans cette grande ville) pour que par la suite ( et 2011) qu'ils soient parachutés dans une appellation ridicule de printemps arabe et que cet arnaqueur prétende en descendant de l'échelle de lavion au cours de l'année 2011, qu'il vient en Tunisie comme Nelson Mandela et qu'à l'aéroport ses milices scandent le messie est arrivé.
Et puis tant de faits à élucider comme les assassinats commis depuis sa venue comme les raisons et les incitations à commettre des assassinats et toutes sortes d'apeurements au peuple tunisien.
Et puis il y a la question des élections relatives à la constitution de soit-disant nouvelle constitution qui coïncide avec cette venue en 2011 de ce clan pour le sortent plus du gouvernement que par la résistance d'une partie du peuple et après que ces intrus venus de Londres aient étalés leurs tentacules au pouvoir et de soudoyer et allecher des votants (en majorite concitoyens au sud de ghanouchi )soit par l'argent ou par les recrutements anarchiques par dizaines de milliers dans les ministères et les sociétés publiques sises à Tunis ( et jamais dans les directions régionales) qui se promènent actuellement à Tunis dans des véhicules neufs ( scènes quotidiennes très remarquables rien qu'à se positionner dans n'importe quel coin de rue ou route à Tunis ( bien sûr ) et de s'acheter ( par des prêts à la pelle ) des logements neufs, et que cela soit à Tunis bien sûr pour quitter et dénigrer le sud (pollué volontairement surtout la mer de Gabes par le phosphogypse; un crime contre l'environnement à exposer à la télé comme la question récente des déchets importés ); et l'on pourrait exposer indéfiniment des massacres et des sabotages à l'économie tunisienne depuis 2011 jusqu'à ce jour.
Et puis les énormes prêts octroyés par les banques mondiales à la Tunisie, pour subvenir aux salaires (continuels à ne point en finir obligatoirement ) aux nouveaux recrutés cites précédemment.
En somme et rien que dix ans tous les acquis de la Tunisie réalisés en quinze siècles de labeur des tunisiens, ont été détruits et massacrés rien qu'en dix ans durant ladite décennie 2011-2021.
Dommage que ce soit toujours par les médias étrangers qu'on apprend qui fait quoi chez nous , notre presse a parfois des pudeurs de gazelle !
Mais les faits sont les faits et la vérité finie toujours par sortir !
C 'est une entreprise privée Tunisienne qui avait contacté une autre entreprise privée Italienne , pour lui proposer ses services .
Mais , merci aux médias Tunisiens de continuer à investiguer .... toutefois , allez jusqu'au bout car vous ne donnez toujours pas le nom de cette entreprise Tunisienne , ni le nom de son dirigeant , et encore moins de ses actionnaires ! Pourquoi ? D'autant plus que vous venez de livrer les noms de tout ceux qui ont trempé dans l'affaire !
Bouclez la boucle , et livrez nous toute l'info !
Merci à vous et bon courage !
Qu'à t on fait pour lutter contre l'économie informelle ? Qu'à t on fait pour lutter contre le financement illicite des compagnes électorales de certains partis politiques et que la cours des comptes à épinglé dernièrement ?
Toujours rien, à part des discours populistes et des promesses.
Par contre, lorsqu'il s'agit d'une compétence tunisienne et jeune comme le ministre limogé monsieur Aroui, sans couverture et sans appartenance politique, la machine politique et populiste s'est mise en route immédiatement et on choisit de le jeter en pâture au lieu de lui donner les moyens pour lutter contre la corruption et de se débarrasser des corrompus.
Quel message voulons nous donner aux compétences tunisiennes, jeunes et ambitieuses ?
J'ai confiance à notre justice et j'espère qu'elle donnera raison à monsieur Aroui.
Pourtant, tout laisse penser que la société concernée par ce scandale d'importation de déchets italiens, a tout simplement fraudé pour obtenir de l'administration tunisienne (environnement et douane) les autorisations nécessaires pour exercer et a profité de changer illégalement son activité avec la complicité de certains fonctionnaires à la recherche de petits avantages...
Le ministre limogé a probablement servi comme bouc émissaire, comme c'était le cas du DG de l'anged limogé aussi pour calmer l'opinion publique... Et aussitôt remplacé par une ancienne députée d'ennahdha....
MDR
Nous sommes très, très loin, c'est toujours la ,justice de Bhiri qui décide qui arrêtera et qui n'arrêtera pas.
Comme à chaque fois, nos politiques préfèrent jeter en pâture nos compétences tunisiennes dès que
Un grand bravo aux journalistes.; puis un grand bravo aux responsables politiques et judiciaires qui ont décidé d'agir.
qui peut confirmer ?
Beaucoup de pays en Asie ont strictement interdit l'import de déchets dont la Chine et la Malaisie donc des escrocs dans des pays développés cherchent maintenant de nouvelles poubelles pour leurs déchets car le recyclage de déchets dangereux est couteux et ils sont obligés par la loi de traiter les déchets. Quoi de plus facile, que de trouver des tunisiens corrompus pour leur exporter le problème ? Il faut frapper pour protéger le pays des déchets et des escrocs et il faut porter plainte contre les italiens devant les cours européens pour leur complaisance.