
L’ancien ministre de la Santé, ancien dirigeant du mouvement Ennahdha et actuel secrétaire général du parti « Âmal w Injaz », Abdellatif Mekki, a imputé l’escalade des discours de la violence à l’élite tunisienne.
Invité de Moez Ben Gharbia dans l’émission Houna Tounes sur Diwan FM, il a indiqué que le contexte général était imprégné d’attaques et d’accusations avec et sans fondements.
Revenant sur l’affaire Instalingo dont l’instruction a été clôturée, il a dénoncé une amplification du dossier laissant entendre que plusieurs autres affaires plus sérieuses n’ont pas pris autant d’ampleur.
Notant que toute accusation doit être appuyé par des preuves, il a mis en garde contre les répercussions de la perpétuité des échanges d’accusations. Il a ajouté, dans ce sens, que cela envenimerait la vie politique et mènerait à la destruction.
N.J.
Je fais confiance à KS pour que tu rendes des comptes à la justice.