
L’ancien dirigeant au sein du parti islamiste Ennahdha, Abdellatif Mekki, était ce jeudi 14 avril 2022, l’invité de la matinale d’Express FM présentée par Wassim Ben Larbi, où il a exprimé son mécontentement quant à la politique menée le chef de l’Etat, Kaïs Saïed.
« Il n’a aucune vision économique car l’économie n’est pas sa priorité, seul son programme politique compte à ce stade » a commencé par dire M. Mekki, durant l’émission. « Au lieu de résoudre les problèmes économiques du pays, le chef de l’Etat s’est lancé dans une bataille interne sanglante qui a ouvert grande la porte aux ingérences étrangères », a-t-il ajouté.
Abdellatif Mekki a aussi mis en garde contre le fait de laisser faire le président de la République appliquer son programme. « Si on laisse faire nous nous enfoncerons dans une crise politique et sécuritaire qui durera des années » a-t-il menacé avant d’ajouter : « La crise sociale deviendra sécuritaire, si Kaïs Saïed ne s’arrête pas maintenant».
Parmi les accusations lancées au président de la République, par l’ancien dirigeant d’Ennahdha, celle de vouloir installer un régime présidentiel avec un parlement faible qui fait office de boite noire. « Les Tunisiens ne veulent pas d’un régime présidentiel, ils se sont battus pour avoir un régime parlementaire » a assuré Abdellatif Mekki, avant d’être stoppé par le présentateur, qui lui a lancé : « Comment pouvez-vous savoir que les Tunisiens ne veulent pas d’un régime présidentiel ? ». Question qui n’a pas reçu de réponse claire.
Il a également été question de pays qui annoncent leur faillite tel que le Liban. Sur ce point M. Mekki a déclaré qu’une faillite est peu probable mais que le citoyen vas continuer à souffrir, « ceci est une certitude et c’est Kaïs Saïed, le responsable ».
Pour sortir de la crise l’ancien ministre propose deux voies possibles : Ou on va vers des élections anticipées en 90 jours soit en rouvre l’ancien parlement avec certains changements a-t-il dit. « Aujourd’hui nous sommes à un point où nous pouvons encore revenir en arrière, il faut stopper le président avant que cette crise ne devienne sécuritaire, comme ça a été le cas à El Kamour » a finalement déclaré le dirigeant islamiste.
S.A
En réalité, la majorité des tunisiens s'en foute de la politique et de la religion lorsqu'elle prend une tournure politique. La majorité des tunisiens sont des commerçants et des tribalistes de nature. Les tentatives de modernisé le pays ont échoués malgré l'élan national, qui est la fois la résultante de quelques idéalistes, mais surtout de beaucoup d'opportunistes. L'histoire se répète, puisque l'opposition au pouvoir central est une constante.
A ce rythme, et avec ce peuple, on va tout droit vers la guerre civile. Elle sera comme c'était le cas à travers l'histoire, financé par des pays étrangers, des locaux alignés sur la politique étrangère. Et ce sera un mélange de mercenaire locaux et étrangers.
On ne veut plus voir vos sales faces de rats dégagez !!!!
Les Tunisiens ne veulent plus d'un parlement corrompu dirigé par Ennahdha et ses acolytes.
11 années, c'est plus que suffisant.
11 années de corruption et de crimes restés impunis.
11 années de roublardise.
11 années de promesses jamais respectées.
11 années où vous avez mis le pays dans le gouffre économique actuel.
YEZZI, BASTA.
C'est la situation actuelle en Tunisie.
Peut être c'est le calme avant la tempête.
Depuis des mois, le palais de Carthage s'est transformé en une sorte de loge ( à l'italienne ) où tout se décide sans que l'on sache ce qui se trame pour le peuple.
Peut être les mois à venir(!!!) nous accoucheront d'un événement qui va inévitablement brouiller davantage les cartes d'un pays (ou régime) qui se cherche sans succès.
Soyons direct.
Depuis la fameuse indépendance, la majorité du peuple a souffert d'un ordre interne établi, pilier d'un régime politique qui a bloqué le pays des décennies durant.
Et apparemment, aujourd'hui rebelote.
D'après les derniers signes du pouvoir " provisoire " en place (dissolution de l'Assemblée, limogeage du chef du gouvernement,...obligé), certains politico-démagogues (ce cercle fermé autour du président) cherchent à imposer un régime politique présidentiel. Ce système de régime qui a fait ses preuves en "tuant" le peuple.
Et comme nous dit le proverbe si cher:" jamais deux sans trois".
Nous avons bien eu deux dictatures qui a ruiné le pays. Mais une troisième sera inévitablement la fin de tout espoir d'un régime politique façonné par et pour le peuple.
Un régime démocratique où le verdict de l'urne reste le seul juge garant de la souveraineté populaire.
Soyons clair, un nouveau régime présidentiel ma paraît comme une démarche suicidaire qui nous conduira tout droit vers une nouvelle forme de dictature "stalinienne". N'ayant pas peur des mots.
La dictature est l'ennemi eternelle du citoyen avec sous le concours de l'armée.
Bourguiba nous a imposé la dictature par le parti PSD.
Ben Ali nous a cadencé par sa police.
Alors quelle forme prendra le projet mijoté par le nouveau prince de Carthage ?!
Attendons la surprise du chef car user du bâton et de la carotte a été toujours efficace quelques que soient les sacrifices.
De ma part, je reste obstinément septique sur la tournure des évènements à venir.
C'est ce que je crois.
On se demande d'où il tient tout cela Makki.
L'organisation dont il fut, et reste très probablement, un dirigeant est presque à elle seule la menace sécuritaire.
Chacun voit que Ennahdha ne cesse de faire appel à l'étranger, ce n'est pas Kaus Saied.
Le bon sens et le respect des gens consiste à vous dégager de la scène politique, et on y parviendra contre votre gré, bande de malfaisants.
Un Nahdhaoui qui ose parler de sécurité. C'est une insulte la la vérité, un outrage fait au réel.
Jusqu'à quand nous aurons à subir ces voyous, menteurs, voleurs, terroristes.
Parce que Mekki, qui faut mine de se soucier de sécurité a fermé les yeux sur l'insécurité organisée par son parti.
Il a fermé les yeux sur les assassinats organisés par son parti.
Il a fermé les yeux à propos des détournements de sommes énormes offertes ou prêtées par des pays étrangers ou des organismes et dont on n'a jamais retrouvé trace.
Ce voyou, et ils sont très nombreux comme lui, ne mérite ni respect, ni égards, puisqu'il a déshonoré ce pays en même temps qu'il a perdu son honneur s'il en avait.
Bouchlaka, ministre des affaires étrangères, Laarayedh ministre, Bhiri ke tehayreux, ministre de la justice. Avec cela, on a creusé la tombe pour toute espérance, et ils nous parlent de démocratie.
Les tunisiens ont eu une seule certitude, ils ne veulent plus de vous.
Maudits islamistes. Ennemis de Dieu, de la vérité et des humains.
Ils n'acceptent pas l'autorité. Ils n'ont pas de procédures claires, ne respectent pas le code de la route, sont corrompus jusqu'aux os, menteurs, voleurs égoïstes, lâches et ne s'en fichent pas mal de l'avenir de leur pays et des prochaines générations.
Pas tous, mais la majorité écrasante des bipèdes qui peuplent le pays..
Mais quand est-ce que vous allez comprendre qu'il n'y aura pas de retour en arrière. Jamais de retour à ces jours sombres tant que la Tunisie compte encore des hommes et des femmes honnêtes, libres et bien pensant.
Shut up'?'
Est-ce que tu n'as pas honte (même si on le sait) de chercher de paraître dans les médias et les réseaux sociaux.
àamel el âar ya jahel et miet bicharr y'a nazeh.
Et pourtant Tunis et Feu Bourguiba t'ont accueilli mais ne savaient que tu ne mérites pas toute cette distinction celle s'agissant de combattre l'analphabetisme et l'ignorance dès l'avènement de l'indépendance en Tunisie.
Ma fikomch himma naouâ illi kifik.