Qui nous dit qu'on se soit pas flouer de nouveau,les faits son tétûs,à ce jour auqu'un politicien de la scène ne nous à dit la vérité,ni respecter ses principes et ses programmes,et le dindon de la farce assiste comme un abrutis à des situations plus loufoques les unes que les autres,au nom peut reluisant de l'entente et le partage de gâteau.

Je rappelle aux lecteurs la duplicité et l'opacité totale d'Abdelaziz Kotti, responsable principale de l'éloignement de l'ancien directeur de la Surété, homme exemplaire et efficace, Abderrahmen Bel Haj Ali, (ses démissions sont survenues à quelques heures de l'assassinat à exploit médiatique de Mohammed Zouari) ainsi que de la sortie obligée de Habib Essid, grand commis de l'Etat.

Cet agenda infernal de Kotti ne pouvait que bénéficier l'alliance tactique entre Nidaa et Ennahdha, et a commencé par des CALOMNIES, comme nous avait informé Tunisie-Numérique (*), Abdelazis Kotti a "accusé Habib Essid d'avoir commis sa plus grave « gaffe » en nommant Abderrahmen Bel Haj Ali au poste de directeur général de la sûreté nationale. Celui-ci, d'après Abdelaziz Kotti, et au lieu de s'occuper de faire tourner la machine sécuritaire, aurait constitué une brigade spéciale chargée d'espionner le président de la République, sa famille et des membres de Nidaa Tounes." Mensonges grossières et non appuyées par des preuves matérielles !!

Des GRAVES CALOMNIES contre l'ancien Premier ministre et le Directeur Générale de la Surété nationale, lesquels probablement dérangeaient ENNAHDHA, car ils s'échappaient au contrôle "confrérique" de leur système mafieux.

Nul en tant qu'homme politique, Kotti ne peut rien ressembler, il peut seulement diviser, on ne peut donc absolument lui faire confiance, car il est fort probable que son agenda opaque sert un plan astucieux de "piéger" les naïfs..., le "renard" politique pourrait jouer la surprise à la dernière instance en s'associant au moment des élections à Nidaa-Nahdha, le monstre bâtard à double-dos de la connivence politico-mafieuse dont il dépend en tout et pour tout!

(*) référence: "Tunisie ' Abdelaziz Kotti dévoile les vraies raisons de l'initiative de Caied Essebsi", dans TUNISIE NUMERIQUE | RAMSIS |4 JUILLET, 2016

Encore une fois, nos pseudo-politiciens (ou politiciens du dimanche) prouvent leur manque de maturité n'étant même pas conscient du poids de leur parti de toute évidence un poids plume qui n'a aucune chance de grossir un jour !

Yezzi,basta,ça suffit,le pays ne peut plus supporter ce gonflent "boulitic"
qui l'infeste et sème discordes et dissensions.vous devenez la risée de tous et une nouvelle méthode de contraception s'impose pour éviter l'esprit de la taïfa.

L'argent du Saffah de Syrie, Bachar Assad le Chimique, que Kotti, Ksila et compagnie ont été le soutenir et lui serrer la main à Damas, pour l'encourager à larguer plus de bombes chimiques sur son propre peuple syrien, ne leur sera d'aucune utilité politique chez le peuple tunisien.
Tout un chacun doit payer sa trahison contre ce pauvre peuple tunisien et contre les victimes des dictateurs arabes, partout où ils se trouvent.
Aucun dictateur ne possède un seul iota de légitimité dans une République, n'importe où sur ce globe terrestre. C'est le système et le principe républicains qui l'interdisent explicitement. Donc, aucun baratin des Harkis des dictateurs en Syrie ou en Egypte, ne trouvera ouïe en Tunisie. Même pas un seul milligramme de légitimité, de légalité ou même de compréhension ne sera réservé aux Harkis des dictateurs meurtriers de leurs propres concitoyens. Tout leur baratin de vouloir aider les Tunisiens en Syrie ou en Egypte, n'est que du mensonge pur. Si les Syriens se sauvent en masses de Syrie, vers du "no man's land", comment se fait-il donc que les Tunisiens ne font pas de même, puisqu'ils ont leur pays la Tunisie pour les accueillir, sinon parce qu'ils appartiennent eux-mêmes aux "Azlèms" de Bachar Assad, qui sauront aider à leur tour, Kotti & Co., non pas le contraire.
D'ailleurs, j'attire l'attention que pour créer un parti politique, il faut plein de locaux, plein de gardiens et plein de profiteurs de becs ouverts, comme les oisillons à l'attente de leurs parents oiseaux. Cette histoire du bénévolat en Tunisie, n'est qu'une mythologie dans un pays démuni de toute mentalité lié au civisme. Cinquante-cinq ans (55 ans) d'applaudissements "Yahya Boutbila" et "Berrouh Beddam nefdik ya Zalèm" contre un kilo de sucre ou de pâtes, ne pourront être abolis en quelques années seulement. Donc, d'où vient tout cet argent fou, à investir dans un parti politique supposé se présenter sur l'ensemble du territoire tunisien?
Celui qui n'a rien constaté par la Caméra Cachée de Migalo, au sujet de la peur des citoyens devant la "Présidence de la République", n'a rien compris au sujet de la mentalité pourrie que nous avaient ancrée les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali par leur despotisme.
Nationalisme et patriotisme nous disent-ils. Sans dire un seul mot au sujet des privilèges dont ils jouissaient.
Les privilèges, les profits et les intérêts partis. Il ne reste ni nationalisme, ni patriotisme, ni même appartenance à cette pauvre patrie de Tunisie.
"Sallè wè saâmè li Amrine kènè yakdhihi. Wa lammè koudhiyè el-amrou, kè-ènnèhou lè sallè walè saâmè".

Si ''A K'', avec votre nouveau parti, vous comptez intervenir dans quelle catégorie ( en termes sportifs) pour contrecarrer la marche d'Ennahdha qui est déjà dans la catégorie ''Senior'' ?! Ou bien la ''Désunion'' fait votre force ?

...faire du neuf avec du vieux...avec les vieux (carriéristes, arrivistes, opportunistes...) de la vieille... des discours de vieille soupe réchauffée: trop c'est trop!

Aux 200 +++ partis: disparaissez, partez tous tant que vous êtes! Nous ne voulons pas de vous!

Aux forces vives PATRIOTIQUES des journées glorieuses des 17 déc. 2010 - 14 Jan. 2011 de s'organiser d'URGENCE, sérieusement, en tant que mouvements sociaux crédibles, femmes, jeunes, travailleurs salariés, chômeurs, et autres indépendants: toutes et tous patriotes tenant à c'ur de sauver la PATRIE EN DANGER !!!

Il a vite oublié qu'il est à l'origine de l'implosion de ce parti lui et le staline ksila avec leur appui au fils du président. Mais comme il n'a pas trouvé son compte, il va le chercher ailleurs ignorant que les tunisiens se rappellent de tout.

Tous ces partis issus de Nidaa Tounès première mouture doivent se fédérer avec le Parti de Mohsen Marzouk et celui d'Abir Moussi afin de combattre cette alliance contre-nature le Nidaa de HCE et la Nahda de Ghannouchi. C'est l'union qui fait la force, les élections approchent à grands pas, il faut faire vite. Le fils du président n'a pas de légitimité électorale, il n'a jamais été élu par le peuple, il a été imposé par son père qui à son âge a perdu toute sa lucidité.