
Le politicien Mohamed Abbou a annoncé, lundi 7 février 2022, le dépôt une plainte contre le président de la République, Kaïs Saïed, pour atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat.
Selon le texte de la plainte, Mohamed Abbou a revendiqué l’ouverture d’une enquête contre le chef de l’Etat sur la base de l’article 73 du Code pénal lequel stipule : « Est puni de l'emprisonnement à vie et d'une amende de deux cent mille dinars celui qui, à la suite des troubles, a accepté de se substituer aux autorités régulièrement constituées ».
Le politicien a partagé le document sur sa page Facebook et a ajouté en commentaire : « La balle est dans le camp des juges. Que le procureur de la République applique la loi sans autre considération, aucune (…) Nous nous attendions à ce que Kaïs Saïed fasse respecter la loi avec des mesures exceptionnelles, le voici devenir une menace pour le pays ».
Mohamed Abbou réagissait à la décision d Kaïs Saïed contre le Conseil supérieur de la magistrature. Samedi dernier, le locataire de Carthage a annoncé la dissolution du CSM mais aucun décret n’a été publié, pour le moment, pour confirmer cette décision.
N.J.
Il faut se réveiller. Il n'y a plus de constitution. Donc plus de lois.
Mais il y a un '?tat. C'est KS.
Lui est l'état
L'éternel insatisfait
El fom el harak
Maintenant c'est plus fort que ta petite cervelle
Rien d'étonnant de la part de ces rats qui n'ont jamais eu 1 milligramme d'orgueil et de fierté !!!
Ya Abbou, figure-toi que la majorité du peuple approuve et considere comme bon et juste tout ce que fait Le Présidént, et que si jamais on sabotait ses programmes le peuple lui même descendrait dans la rue et vous en ferait voir de toutes les couleurs.
Article 288. - Les membres du gouvernement sont entendus dans leur demeure ou leur cabinet. Ils ne sont pas cités aux débats, sauf nécessité absolue.
Ya ABBOU le Président de la République n'est pas "n celui qui"!!!
Article 289. - En cas de nécessité absolue, les membres du gouvernement peuvent comparaître comme témoins après autorisation du Président de la République.
Lorsque la comparution a lieu en vertu de l'autorisation prévue à l'alinéa précédent, la déposition est reçue dans les formes ordinaires.