
C’est dans ce cadre de l’Ordre a procédé, selon son président, à une évaluation de la qualité des formations dispensées par les écoles d’ingénieurs privées en Tunisie. « Nous avons effectué des visites de terrain entre mai et juillet pour s’assurer de la conformité avec les cahiers des charges de ces établissements privés », a-t-il expliqué dans une intervention sur Shems FM précisant que deux écoles ont refusé d’accueillir les inspecteurs de l’Ordre. Ces deux établissements n’ont, de ce fait, pas pu avoir l’accréditation de l’OIT.
Rappelant que l’une de ces deux écoles avait été accréditée par l’Ordre des ingénieurs en 2018, Kamel Sahnoun a noté que l’OIT ne disposait d’aucune preuve de conformité entre les formations dispensées dans cette école et le cahier des charges et ne pourrait de ce fait accréditer, à nouveau, l’établissement.
Il a ajouté, dans ce sens, que la situation des étudiants ayant déjà eu leurs diplômes auprès de cet établissement serait régularisée soulignant que la liste des établissements d’ingénierie privés reconnus par l’Ordre est disponible et comprend une vingtaine d’écoles.
N.J.
Totalement injuste, la sélection s'établit par la fortune personnelle et non par le mérite. Aucune de ces écoles privées ne devrait pouvoir délivrer le titre d'ingénieur.
Ce n'est pas un jugement de valeur. C'est un simple constat
Il est aussi supposé être à la retraite ....
Adulés par l'étranger avec ou sans équivalence, sans boulots en Tunisie ou mal payés, le choix est très vite fait. ....
Qu'ils se la mette la où je pense ...
Bientôt à l'OIT il n ' y aura que des retraités .... et là la conversion est rapide de l'OIT à la
P.S. Une visite d'inspection au mois de juillet.
Ils ont la reconnaissance de l'ordre des ingénieurs en France
Ils n'ont donc pas besoin de la reconnaissance des charlatans
Je ne pense pas que ces ingénieurs ont besoin d'être inscrit chez cette organisation qui ne protège pas les ingénieurs tunisiens et qui ne fait rien pour améliorer leur salaire.
De toute façon il ne vont pas travailler en Tunisie dans un organisme public pour demander à être inscrit chez ce protecteur des métiers d'ingénieur.