L’ancienne cheffe du cabinet du président de la République, Nadia Akacha, s’est interrogée sur l’absence d’une approche méthodique permettant la mise en œuvre de réformes en Tunisie. « Le 25-juillet est un moment décisif, une décision historique et un processus patriotique. Il aurait dû se baser sur une approche claire, démocratique et inclusive », a-t-elle ajouté.

Dans une publication Facebook du 25 avril 2022, Nadia Akacha a mis l’accent sur l’ampleur de la crise économique et financière. Elle a souligné l’importance d’un programme économique de réformes claires basé sur des données exactes.

Faisant allusion au ministre de l'Intérieur, Taoufik Charfeddine, elle a considéré que le 25 juillet 2021 avait été détourné par ceux qui n’avaient ni honneur, ni morale, ni patriotisme. Il s’agit, selon elle, de ratés ne comprenant rien d’autre que la vulgarité, les mensonges et la diffamation.

Nadia Akacha a également évoqué une crise politique étouffante qui représente un danger imminent sans précédent dans l'histoire moderne de la Tunisie.

L'ancienne cheffe du cabinet a, également, affirmé que les mesures annoncées par le président de la République, Kaïs Saïed, à la date du 25 juillet 2021 étaient un moment décisif et indispensable dans l’histoire de la Tunisie. « Il s’agit d’un moment visant à barrer la route à une vie politique pourrie, avariée et portant atteinte aux institutions de l’Etat », a-t-elle écrit. Elle a conclu son post en disant qu'il n'y a rien d'étonnant à tout cela quand on en connait la riason...

S.G