L'ancien Premier ministre et vice-président du mouvement Ennahdha, Ali Laârayedh a considéré que les prochaines élections législatives prévues pour le 17 décembre 2022 s'inscrivaient dans le cadre du coup d'Etat mené par le président de la République, Kaïs Saïed. Il s'agit d'une atteinte à la démocratie, à la liberté et aux acquis de la Révolution du 14 janvier 2011. Ali Laârayedh a assuré qu'il ne s'agissait ni de rectification de la trajectoire ni d'un processus de réforme.
S'exprimant à l'occasion d'une conférence de presse tenue à la date du 17 novembre 2022 au siège du mouvement Ennahdha, Ali Laârayedh a considéré que le coup d'Etat constituait un bond dans le passé et que la Tunisie se trouvait dans une situation pareille à celle d'avant la révolution. Il a estimé que les faits et décisions du chef de l'Etat n'avaient aucun rapport avec la volonté ou les revendications du peuple. Il a estimé que l'attitude du président montre son attachement au pouvoir et son envie d'avoir le contrôle absolu du pays.
Évoquant la situation écologique et sanitaire à Sfax, Ali Laârayedh a estimé que le pays se dirigeait droit dans le mur. Il a affirmé que les autorités nationales, régionales et locales n'étaient pas capables de gérer la situation. Il a critiqué la prolifération de menaces et les déclarations du gouverneur, Fakher Fakhfakh, au sujet de la fermeture de l'accès à Facebook. Il a rappelé que la gestion des décharges de déchets faisait partie des prérogatives du ministère de l'Environnement et non-pas des municipalités. Ces dernières gèrent également le ramassage des ordures. Il a affirmé que la crise résultait de la défaillance du pouvoir central. Il a exprimé sa solidarité et celle du mouvement Ennahdha avec les habitants de Sfax et a tenu le pouvoir en place et les autorités régionales et locales pour responsables de cette crise. Ali Laârayedh a, également, évoqué la situation à Zarzis. Il a insisté sur le manque d'implication du pouvoir en place à ce sujet. Il a considéré que le pouvoir exécutif ne cherchait pas à dévoiler la vérité et avait choisi de communiquer avec les citoyens de Zarzis à distance.
Par la suite, Ali Laârayedh a considéré que le pays faisait face à une vague de procès politiques d'opinion visant des élus, des partis politiques, des avocats, des journalistes et des militants. Il a précisé qu'une partie de ces procès était traitée par la justice militaire et que ceci portait atteinte à l'image de la Tunisie. Il a affirmé que les tribunaux militaires n'étaient pas habilités à trancher dans ce genre d'affaires et que les rapports sur la Tunisie élaborés par la commission de Venise, la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples et à l'occasion de l'Examen périodique universel. Il a affirmé que la Tunisie était pointée du doigt en raison de ces atteintes. Il a estimé que plusieurs personnes et entités ayant soutenu l'annonce des mesures du 25 juillet 2022 avaient changé d'avis par la suite. Il a souligné la pression subie par les magistrats depuis la monopolisation des pouvoirs par Kaïs Saïed. Il a évoqué la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature et le refus d'appliquer la décision du tribunal administratif ayant donné gain de cause à des magistrats révoqués par décret présidentiel. Il a expliqué que la nouvelle constitution avait transformé la magistrature en une simple fonction au service du pouvoir exécutif. Il a salué les magistrats et leur militantisme.
« Chaque semaine, Ennahdha fait l'objet d'un nouveau procès alors que nous avons saisi la justice à plus de trente fois. Aucune plainte n'a été traitée. Ces affaires traînent. Il s'agit d'un blocage volontaire... Le mouvement des magistrats a été bloqué au niveau de Carthage... On nous parle d'élections alors que le pays passe par l'une des périodes les plus difficiles au niveau social. Le chômage est à la hausse. La pauvreté est à la hausse. Nous vivons une inflation sans précédent et une pénurie des produits vitaux face à un pouvoir d'achat en baisse... Nos fils et nos filles ne sont pas retournés à l'école... On n'a pas pu trouver de solution à la situation des enseignants », a-t-il ajouté.
Ali Laârayedh a critiqué l'absence de transparence et d'informations au sujet des accords avec les bailleurs de fonds, tel que le Fonds monétaire international (FMI), les traités, la loi de Finances complémentaire et la loi de Finances 2023. Le gouvernement agit comme si le peuple n'avait pas le droit d'être informé et consulté. Il s'est interrogé sur la dissimulation des dispositions de l'accord conclu avec le FMI et des conséquences des réformes sur les classes pauvre et moyenne. Il a rappelé que le parlement avait l'habitude de consulter des experts et d'informer les médias des dispositions de la loi de Finances alors qu'il ne s'agissait que d'un projet.
S'exprimant par la suite, le membre du bureau exécutif Nizar Haboubi est revenu sur l'enlèvement de Noureddine Bhiri quelques jours avant l'entame de la consultation électronique. Il a, aussi, évoqué les nombreuses enquêtes portant sur Ennahdha, son président Rached Ghannouchi, ses leaders tels que Habib Ellouz, notamment celles concernant l'entreprise Instalingo et l'association Namaa. Il a expliqué que ces enquêtes coïncidaient avec le référendum. Il conclut qu'il s'agissait de manœuvres visant à induire l'opinion publique en erreur et à le distraire. Il a considéré que les prochaines élections législatives seront une véritable mascarade et tenues de façon malhonnête. M. Habboubi a estimé que le scrutin uninominal encourageait la corruption et le recours à l'achat de votes. Il s'agit, selon lui, d'une tentative d'exclure les partis de la vie politique. Il a réaffirmé le boycott du mouvement Ennahdha des législatives Nizar Haboubi a mis l'accent sur l'absence de prérogatives parlementaire et l'impossibilité d'exercer un contrôle sur le gouvernement. Nizar Haboubi a affirmé que Kaïs Saïed reportera les élections présidentielles et que la Tunisie subira une période d'instabilité politique et économique.
S.G
Un lynchage d'hyènes et de chacals inhumains, sans la moindre valeur humaine.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
NI OCCULTATION
NI ENDOCTRINEMENT
NI ETIQUETTES FRELATES VINDICTATIVES STERILES
LA HONTE EST VOTRE HYPOCRITE TORTILLAGE BINEURONALE DEVANT L EVIDENCE ET L ANALYSE DISTANCIEE CRITIQUE A PART ENTIERE DE LA " NOIRE DECENNIE " soi (mé)disante.
UNE TUNISIE LIBRE ET DEMOCRATIQUE POUR TOUS
REPRESENTATION ET PARTICIPATION DE TOUS SANS EXCEPTION
AUCUN TRAITEMENT ENTIEREMENT A PART DE QUICONQUE
RETOUR AUX FONDAMENTAUX REVOLUTIONAIRES DIGNEs 2011 ET INCARNATION 2014
A BAS LE COUP D ETAT DU CAS K.
Voilà ce que vous êtes.
Cela ne m'étonne nullement d'un khouanji.
La population est vaccinée et elle vous vomit.
Vous le savez mieux que moi !
Les islamistes ont pillé et détruit le pays, ils se sont honteusement goinfrés et pratiqué à grande échelle le népotisme et l'endoctrinement et vous semblez occulter leur triste passage et leur pardonner ce désastre et vous osez même les soutenir !
Quelle HONTE !
Votre passage en qualité de ministre de l'intérieur et celui en qualité de chef du gouvernement ont été à bien y réfléchir honnêtement à parts entières loin d'être si catastrophique en tout point de vue.
Sauf que les complexé.e.s aigri.e.s du pari démocratique honnête ne voient pas l'évidente clarté du soleil prometteur 2011 et ses rayons projetés tout du long malgré les entraves sophistiquées depuis nann : il s'acharne sur les ombres du soleil noir de l'impuissance contrerévolutionnaire ;)
Ce que le peuple Tunisien est entrain de vivre et subir aujourd'hui, vous en êtes la cause, vous et votre parti d'irrécupérables déconstructifs Thb !
De grâce , gardez vos commentaires rebâchés, remachés et sempiternellement recrachés sans intérêt au fond du tiroir vide fétide qui vous sert caboche mononeuroné et vos claque m**de au passage, retournez à vos ruches de l'oubli ;)
UNE TUNISIE LIBRE ET DEMOCRATIQUE POUR TOUS
REPRESENTATION ET PARTICIPATION DE TOUS A PART ENTIERE
PLUS AUCUN TRAITEMENT ENTIEREMENT A PART DE QUICONQUE
A BAS LE COUP D ETAT DU CAS K.
La Tunisie est connue pour bien pire t'inquiètes
tu est un criminel envers ce pays qui n'ajamais connu en etat lamentable que quant vous etes arrivé toi et tes frères pour semer la zizanie
Votre passage en qualité de ministre de l'intérieur et celui en qualité de chef du gouvernement ont été catastrophiques en tout point de vue.
Sauf que le chameau ne voit pas sa grosse bosse.
Ce que le peuple Tunisien est entrain de vivre et subir aujourd'hui, vous en êtes la cause, vous et votre parti.
De grâce monsieur laarayedh, gardez vos commentaires au fond du tiroir de l'oubli et fermé le à jamais.
Dans une démocratie tunisinne, on peut choisir par qui on est opprimé.
Tbarkallh 3linè wi taouil 3mor Sidnè Kaisollah le Grand illi 3afis Finè !
Et puis il n'y a pas seulement la question de chevrotine que ce malfrat et criminel devrait être jugé, il y a plus grave.
Il est venu de Londres, là où il était séquestré avec la secte des traitres, pour se venger des tunisiens honorables et les dignitaires envers lesquels il éprouve une immense haine.
Il a cru qu'en se faisant nommer par ghanouchi qu'il pouvait se permettre à tout, et il a été poussé à apparaître dans les médias audiovisuels pour soi-disant démontrer qu'il n'est pas concerné par les accusations croyant que son clan de malfrats pouvait le protéger par la violence et les rassemblements de cirque.
C'est le jeu du cadre de la transition démocratique régrettée qui a abouti à le nommer DANS LES REGLES DES INSTITUTIONS ministre après démission EXEMPLAIRE de son injustement désigné à la vindicte prédecesseur.
Et puis il n'y a pas seulement la question chèvre de "chevrotine" que ce ministre a d'ores et déjà judiciairement (plus réglo alors que celle post coup d etat que vous chérissez sans doute) eu affaire blanchi et réglé , il y a plus grave.
Il est passé quelque temps à Londres LA COHERENTE ELLE AU MOINS, terre de habea Corpus ELLE AU MOINS, ayant préalablement été condamné par le tribunal militaire à quinze ans de prison en 1992, passé dix ans de sa peine à l'isolement à la prison du 9-Avril (que vous fantasmez sans doute tant bis repetita pour tant d autres) là où beaucoup de tendances différentes sur tout le spectre politique étaient mis en corner faute à la secte des traitres de votre acabit suiviste du benalisme, pour se venger des tunisiens honorables et des dignitaires envers lesquels vos pululents essaims éprouvent une immense haine qui confine à la psychopathologie.
Il a cru qu'en se faisant nommer par ghanouchi qu'il pouvait se permettre à tout, et Il a été incité à apparaître de manière responsable et salutaire quoique inutile car vu le tempérament, il se serait exécuté par son initiative par éthique personnel et d homme d'Etat dans les médias audiovisuels pour clarifier en démonstrations argumentées et raisonnées qu'il n'est pas concerné par les accusations légitimes mais pour beaucoup au final orientées et dérorientantes, croyant que vos clans de malfrats pouvait par ce biais le déstabiliser et par extension le cours de la REVOLUTION DE LA DIGNITE 2011 POUR TOUS SANS EXCEPTION par la violence, l'agitation et les rassemblements de cirque ;)
Vous plaisantez ou quoi ?
C'est vrai que le pouvoir mis en place par k.Saeid depuis le 25 juillet 2021 a fait beaucoup de mal au pays et va même tout droit vers sa perte, mais de là à donner du crédit et tout au moins tendre l'oreille, de votre part, à ce que débite les Khouanjias comme âneries en ce moment, après ce qu'ils ont fait comme dégâts irréparables pour la nation, depuis le 14 janvier 2011, c'est tout simplement révoltant.
Réveillez vous et arrêtez de caresser ce monde politique pourri, toutes tendances confondues, dans le sens du poil.
Dîtes leurs que la Tunisie les a vomis, tous sans exception et qu'elle attendra le temps qu'il faut pour repartir sur des bases solides le jour où des hommes et des femmes intelligents émergent et combattent les médiocres qui peuplent la scène politique en ce moment et ce, afin de prendre les reines du pouvoir à leur tour et remettre le pays de nouveau sur les rails du développement économique et social.
Amin....
FARRAGH KALBEK ET ANDI MENKOLLEK des radios louches.IL y a 3 jours, un certain L.M, avant hier ABIR, hier une bouche trés ouverte, aujourd'hui un expert, présenté comme ancien député, mais sans dire qu'il était sur la liste de Nahdha. Aujourd'hui un sit-in de journalistes pour protester contre les établissements de média confisqués ,comme si le probleme de ces établissement date d'aujourd'hui. Un parmi les protestants a montré son vrai visage en demandant d'annuler les élections et d'utiliser leur budget pour resoudre le probléme des établissement confisqués ,et je me demande pourqu'oi n'a t il pas demandé d'utiliser les centaines de millions des dédomagements pour resoudre le probléme des établissements confisqués .Aujourd'hui ,NAHDHA , et aprés l'invalidation de la candidature de son poulain, qui l'ont voulu utiliser comme trouble fete, tient une conférence de presse à une date symbolique J-30. Demain on aura Hamma et Issam, A.N.C, F.A.K. WHO'S NEXT? trés bon album du groupe Rock THE WHO en 1971.
Je vois en lui le ministre de l'intérieur qui a fait tirer sur la foule à la chevrotine... parce qu'il y repèrait des hardes de cochons "ennemis de la révolution".
Il est aussi, et en même temps, une espèce de second couteau de l'organisation qui compte quelques assassinats politiques.
On peut invoquer, de même, sa responsabilité connexe dans "les intimidations de journalistes..." pour rappeler à la mémoire un des aspects des hauts faits de cette race de "politiciens" très entourés par calcul ou tactique de boutiquier d'autres gens du même profil ou presque.
Sans doute, on peut prendre comme acquit que l'histoire, la mémoire, cela compte.
On a tout lieu, bien des fois. de considérer qu'un vent réactif, pour ne pas dire réactionnaire, souffle de toute son énergie effaçant sur son passage toute trace d'un passé si récent.
Et qui ne passe pas.
Ali, gendre du Prophète et ami fidèle, faillit lui être le meilleur Successeur.
Mais, on n'a pas tous l'étoffe des héros.
Qu'ils disparaissent.
Puisque tu ne peut pas voyager en tant que lanceur de chevrotine.
Et puis et surtout....à toi de continuer les accusations que tu connais et qu'on connaît.
Incroyable comment il ose parler ce criminel qui échappe incroyablement à la justice...jusqu'à présent.
Il mlih yebta in challah.