
Reçu avec tous les égards en Arabie saoudite, Donald Trump a empoché selon la Maison Blanche de pharaoniques promesses d'investissements et d'achats saoudiens, en particulier dans la défense et l'intelligence artificielle.
Le président républicain, accompagné de plusieurs grands mécènes dont son allié Elon Musk, avait promis d'encaisser de « gros chèques » pendant son déplacement, fidèle à son approche diplomatique transactionnelle.
Il a signé, mardi 13 mai 2025, avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane un « partenariat économique stratégique ».
L'exécutif américain a augmenté le montant revenant aux Etats-Unis à 600 milliards de dollars, ce qui correspond au chiffre qu'avait avancé le dirigeant de facto du royaume saoudien en janvier.
En particulier, l'Arabie saoudite doit, selon un communiqué américain, acheter pour 142 milliards de dollars d'équipements militaires « de pointe », ce qui en feraient, d'après la même source, le « plus important (contrat de défense) de l'histoire ».
Par ailleurs la société saoudienne DataVolt va engager « 20 milliards de dollars dans des centres de données et des infrastructures énergétiques liées à l'intelligence artificielle » aux Etats-Unis, toujours selon la Maison Blanche.
Cette dernière a également évoqué des contrats technologiques d'un montant total de 80 milliards de dollars, impliquant Google, les éditeurs de logiciels Oracle et Salesforce, ou le géant des semi-conducteurs AMD.
Pompe et complicité
Mohammed ben Salmane a réservé au milliardaire républicain de 78 ans, sensible à la pompe protocolaire, un accueil sur mesure, avec escorte d'avions de combat, garde à cheval et fastes du palais royal.
La cordialité évidente entre les deux hommes, que l'on a vu converser avec animation et force sourires, a marqué cette première journée de déplacement.
« Je pense vraiment que nous nous apprécions beaucoup », a insisté Donald Trump.
La tournée du président américain doit ensuite l'emmener au Qatar puis aux Emirats arabes unis.
Si l'on excepte un aller-retour à Rome pour les funérailles du pape François, il s'agit du premier déplacement majeur à l'étranger depuis le début du second mandat.
Huit ans plus tôt, Donald Trump avait déjà choisi le royaume saoudien pour son premier voyage international.
La décision de faire passer à nouveau les richesses pétrolières et gazières du Golfe avant ses alliés occidentaux reflète leur rôle géopolitique croissant et leur immense potentiel économique.
Du côté des pays visités, l'enjeu est aussi de s'assurer le soutien d'un président impulsif, qui prône un désengagement militaire et stratégique des Etats-Unis, en dehors des environs géographiques immédiats de la première puissance mondiale.
Mais le républicain, qui se flatte de maîtriser l'art du « deal » diplomatique autant qu'économique, devra bien évidemment aborder avec tous ses hôtes les grands sujets régionaux, notamment sur l'Iran, avec qui les Américains mènent des négociations sur le nucléaire.
Cadeau qatari
Mais aussi la Syrie ou encore Gaza, où la situation humanitaire ne cesse d'empirer.
Le président américain s'est entretenu mardi avec Edan Alexander, libéré la veille par le mouvement islamiste palestinien Hamas.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a lui prévenu mardi que l'armée israélienne entrerait « avec toute (sa) force » dans la bande de Gaza dans les jours à venir.
Dans ce contexte, la normalisation des relations de l'Arabie saoudite avec Israël, un projet un temps cher à Donald Trump, semble exclu de l'agenda.
Ryad assure en effet qu'aucun progrès n'est envisageable sans l'établissement d'un Etat palestinien, une perspective plus lointaine que jamais.
Washington a également conclu un accord de cessez-le-feu avec les rebelles houthis au Yémen.
Donald Trump doit se rendre mercredi au Qatar, une étape qui a déjà un parfum de bagarre politique.
L'opposition aux Etats-Unis lui reproche d'avoir accepté « le plus gros pot-de-vin étranger de l'histoire récente », selon les mots du chef des sénateurs démocrates, Chuck Schumer.
La famille royale du Qatar a offert à Donald Trump un Boeing 747-8 pour remplacer au moins provisoirement son avion officiel , et pour l'utiliser après son mandat.
Le président américain a répliqué que l'avion était un « cadeau temporaire ».
© Agence France-Presse
Ils sont toujours prêts à donner leur dernière chemise au boucher (grand Satan), à condition qu'ils puissent s'envoler pour New York pour faire du shopping et acheter des diplômes pour leurs enfants.
Allah Lè Yar7èm Lahoum Wèldin, 3amloulnè El3aaaaar !
9Laissez un avion ! Nous pouvons le faire aussi...
Nous avons vu comment, suite à une demande de la Banque centrale allemande, l'or allemand stocké à NY est soudainement disparu. Les avoirs de la Russie sont gelés ou plutôt disparu pour toujours.
--> Kaddafi, Assad, Ben Ali, Bounkiba, Moubarak..
Moi, si j'étais le Bon Dieu, je ne serais pas fier de confier la veille des Lieux Saints à ces pantins.
Pour un trône, un sceptre, une place au premier rang du festival des guignols, on se bouscule et l'on se vend.
Bien des vertus, jadis typiques de ces terres ont fichu le camp.
Dieu est en colère.
Moi, je bois mon thé.
banana republic with so many bhayem and one bghal..
En politique, il n'y a pas de pays frères ou amis, il n'y a que des intérêts.
Contrairement à l'Afrique du
Nord, ils ont compris que l'union et/ou l'unité arabe est irréaliste,
En Afrique du Nord, on continue à faire rêver leur peuple, crédules et idiots, avec des idées UTOPIQUES à des fins de
diversion politique.
Ces mêmes pays n'ont que faire des autres. Peut-on leur faire le reproche de travailler leurs intérêts ?
Le Maghreb lui, à l'exception du Maroc, ne l'ont pas encore compris. Sinon, ils utilisent le nationalisme arabe, idée utopique, à des fins de diversion politique.
80% de L'économie marocaine est aux mains des sionistes ...les marocains sont devenus leurs esclaves et toi tu viens nous parler du Maroc.....une toute petite minorité au Maroc commence à se réveiller et parler des dangers de l'intrusion sioniste chez dans tous les domaines...
Les tunisiens préfèrent bouffer de l'herbe et ne pas pactiser avec le diable ,ces assassins d'enfants
Les ***d'Arabie sont prêts à dépenser plus de 14 00 milliards de dollars pour encore massacrer les Palestiniens à ce jour.
Il faut bien le comprendre : donner 14 00 milliards du pauvre peuple d´Arabie, mais donner donner à notre président Kaiis Saied 2 (je dis bien DEUX !) milliards sous forme de prêt n'est pas possible à ce jour !?
La majorité des pays arabes sont au bord de la faillite et ne bénéficient même pas de prêts à taux d'intérêt élevés ?! Mais ils passent des années à supplier la Banque mondiale pour des prêts de 2 ou 4 milliards de dollars ?
Voilà à quoi ressemblent les soi-disant Frères arabes !
Sans commentaires...