Le président de la République, Kaïs Saïed, s’est rendu ce vendredi 15 mai 2020, à l’académie militaire de Fondok Jedid à Nabeul.
Le chef de l’Etat a tenu à préciser, pour revenir sur la polémique suscitée par ses récentes déclarations, que partager l’Iftar avec les agents des établissements de sécurité et militaires n'est pas une introduction à quelque chose comme le prétendent certaines parties. Il a, en outre, confirmé son adhésion au respect de la légalité et de la loi comme référence soulignant que seule une loi peut en changer une autre.
« Nous n’avons pas été et ne serons pas partisans du chaos ou partisans de la déviation de la légitimité, mais c'est le droit de tout citoyen d'exiger que la légalité rencontre la légitimité populaire », a-t-il déclaré selon un communiqué publié par la présidence de la République.
Lors de sa visite à Kébili le 11 mai, Kaïs Saïed avait déclaré :« La vérité, c’est lorsque le peuple est capable de s’exprimer librement. C’est quand il a la possibilité de retirer sa confiance à celui qui l’a trahie ».
Kaïs Saïed évoquait l’amendement du règlement intérieur du Parlement, notamment l’article 45 stipulant que tout député qui démissionne de son parti perd automatiquement son siège. « Malheureusement, si le député était responsable face à ses électeurs et que ces derniers pouvaient lui retirer leur confiance, le Parlement n’aurait pas eu besoin de cet amendement qui constitue une grave violation de la constitution. C’est une maladie constitutionnelle, plus grave que la pandémie du Covid-19 », disait le président.
Ses propos n’ont pas été appréciés par de nombreux députés qui y ont vu un appel au chaos. Le député d’Ennahdha, Saïd Ferjani, a même accusé Kaïs Saïd, d’incitation à l’anarchie et dépassement de ses prérogatives le qualifiant d’irraisonnable.
M.B.Z
Quant à vous vous pronez une sorte de démocratie directe qui n'existe que dans les rêves eutopiques de certains étudiants et qui équivaut dans la réalité à l'anarchie.
Alors, de grâce assumez vos responsabilités et ne vous reprenez pas. N'oubliez pas que vous êtes président responsable d'un pays.
Attendons la prochaine sortie (nocturne) de ce sphynx imprévisible, éventuellement la veille de l'Aïd, pour ne pas manquer ce rendez-vous inévitable !
Aussi , le règlement intérieur de l'ARP ne saurait retirer son mandat à un député élu au suffrage universel selon une procédure prévue et règlée par la constitution .
Simple logique , même si bien des pensionnaires du Bardo sont bons à jeter .
NB : YA SI KAIS ECHAAB MAAK A 100 POUR CENT ,IL FAUT FAIRE DEGUERPIR LES 217 VOYOUS ,METTRE QUELQUES UNS D'EUX EN PRISON ET REBELOTE SINON ,EUX ILS ONT COMMENCE LEUR CONTRE ATTAQUE .LES INCENDIES PROVOQUEES CES DERNIERS JOURS NE SONT JAMAIS ACCIDENTELLES .PENSER A LA PETITE QUANTITE DE BLE .
LA MANCHE DANS LES RUES EST UN SPORT NATIONAL CHEZ NOUS GRACE A ENNAKBA . MERCI A DIEU QUI NOUS A OFFERT L'ENFER ET UN SATAN .
Dans les pays bananiers les infractions modifient les lois.
On a choisi d'appartenir à ces derniers.
Nous vivons dans un Etat qui ne protège pas ses citoyens mais fait semblant de le faire.
On a choisi la culture du mensonge et à empire.
Faites attention prochainement aux dépassements des droits de l'homme sous prétexte de contrôles des épidémies inexistantes.