Le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, a présidé ce dimanche 15 novembre 2020, une journée gouvernementale à Hammamet. Il a affirmé que le combat de son gouvernement est: « un combat contre la pauvreté, le chômage, la dégradation des infrastructures, les difficultés économiques et l'épidémie du Coronavirus ».
A cette occasion, il a renouvelé sa détermination à suivre la situation du pays et à mettre en place le prochain plan stratégique afin de résoudre les véritables préoccupations des citoyens.
Après avoir passé en revue le plan stratégique de l’action gouvernementale dans la période à venir, le chef du gouvernement a étudié les grands dossiers économiques et sociaux aux niveaux régional et national. Il a souligné sa focalisation sur cinq priorités, qui reposent sur cinq axes: « Mettre un terme à l’hémorragie des finances publiques, mettre en place un ensemble de mesures spéciales pour réformer le secteur public, restaurer la confiance et soutenir l'investissement, préserver le pouvoir d'achat des citoyens, protéger les classes démunies et accompagner les Tunisiens à l'étranger ».
Lors de sa réunion, Hichem Mechichi a tenu à souligner que son gouvernement est: un « gouvernement de solutions et de réalisations », assurant qu’il est loin des tiraillements politiques. « Ce gouvernement ne fait pas partie de ces tiraillements et des conflits. Toutes les composantes du paysage politiques sont, non seulement, des amis, mais aussi des partenaires avec lesquels nous collaborons ».
S.H
Prière lire "équation" et non ? quation.
De plus, même s'il déclare être loin des tiraillements et des conflits, le pouvoir sera entraîné malgré lui dans cette farandole, les dissensions entre les partis étant à leur apogée et les antagonismes exacerbés. L'action politique est biaisée, gangrénée par les considérations claniques et sectaires, et leurs répercussions sur les décisions gouvernementales sont inévitables. En recherchant une "ceinture" à l'ARP, Mechichi commence certainement à se rendre compte dans quel nid de guêpes il s'est jeté ! En guise de "coussin", c'est bien une camisole qu'on lui a passé.
Pourquoi alors opter pour une composition de compétences ? C'est justement en l'absence d'une coalition forte et ouevrant pour l'intérêt suprême : l'intérêt du pays. Mr Mechichi a déclaré que son gouvernement est à l'abri de ces tiraillements, donc : une seule option, c'est essayer de courcircuiter au maximum, sauf cas majeur.
Le parlement en lui même, désapprouvé et rejetté par la majorité du peuple à ce que Mr Mechichi a fait illusion, est incapable de mettre les querelles et les règlements de comptes à côté pour se rendre utile et disponible, pour présenter ce qu'ils appellent la fameuse "CEINTURE POLITIQUE".
Question ceintures, il vaut mieux les garder pour leurs pantalons.
Salutations.
De même, un cultivateur s'arrange toujours à se débarrasser des mauvaises herbes.
Morale de l'histoire, le soutien de ces partis est volatile et même factice. Un homme politique doit prétendre au soutien populaire. Et pour cela, il suffit de dénoncer la démagogie et parler vrai.
Mr. Mechichi peut avancer en tenant compte des équilibres dans le pays. Tous les gouvernements dans les pays démocrates doivent faire avec les forces au parlement.
L'autre jour j'ai entendu l'un des experts du gouvernement parler. Il a dit que même les 6 milliard de budget de développement, notre administration bureaucratique n'est pas capable de les investir. La plupart des gouvernorats restent même à la fin de l'année en dessous de 50% du programmes d'investissement. Si le gouvernement retourne maintenant des partis de ces budgets vers des programmes de développement directs avec la société civile et les jeunes, c'est tant mieux. L'administration ne sait faire que payer des salaires.
C'est à peine croyable comme raisonnement. On ne peut plus rire, c'est à en pleurer ce que la Tunisie souffre.
Bou Balouta !
Ils se croit ce petit bedoneux ?
Pour accompagner les Tunisiens à l'étranger, il faut avoir
dans le pantalon ...Et plus dans la tête....
Oui bien sûr nous soutenons l'action de ce gouvernement et nous lui souhaitons tous la réussite . La situation du pays ne peut s'améliorer que grâce aux efforts de ses compétences et de ses forces vives. Le fiasco des politiques nous a enfoncé encore plus.
C'est pour cela que ce parlement déchiré, déchiqueté, ne peut en aucun cas être un allié sérieux pour ce gouvernement qui doit trouver la stratégie efficace et intelligente pour agir en toute indépendance et serinité.
Mr Mechichi a commis quelques maladresses, qu'on peut qualifier de manque d'expérience, sans trop blâmer, il commence à se raissesir et tant mieux, c'est de bonne augure.
Il est tenu à donner des résultats, donc il doit avancer dans la clarté, loin du bourdonnement du parlement, et surtout, savoir comment éviter les pièges des démonts des politiques.
C'est à mon avis la clef de la réussite.
Le tiraillement politique, ils n'ont plus à tirailler, le CORONA les a anéanti et calmer
2021 va nettoyer ce qu'il reste.
Juste pour info : Les sécuritaires de Gabès, Kessrine, Kef et Jendouba ont décidés de ne pas se mettre en face de la population. C'était juste pour info, seuls les sécuritaires de Gabès ont rendus leur communiqué officiel il y a 3 heures, les autres suivront.
Haya débloque 80 millions et 1000 postes d'emplois au jardinage ! Il reste après, 22 gouvernorats. Course contre la montre avant le 14 janvier, ça ne va rien vous servir d'exploiter les lois INTELLIGENTES de la Covid19, pour étouffer les prochains soulèvements.
Est-ce que cela relève de la tactique de la part du CdG ? J'aimerais bien le croire.