Ennahdha est revenu dans un communiqué, publié tard dans la soirée du jeudi au vendredi 16 décembre 2022, sur le report de l’examen du dossier de la Tunisie par le FMI, sur la visite de Saïed aux États-Unis d’Amérique et sur la situation du pays, étudiés lors d’une réunion périodique de son bureau exécutif présidé par Rached Ghannouchi.
Le parti politique a ainsi affirmé que « la renonciation du Fonds monétaire international à examiner la demande de la Tunisie pour une période indéterminée est une conséquence inéluctable du clivage aigu de la scène politique, que connaît la Tunisie depuis juillet 2021, du double discours, de l’absence de partenariat avec les parties sociales et politiques, de la monopolisation du pouvoir, de la destruction de la démocratie et l’atteinte aux libertés publiques et au système judiciaire ».
Et de considérer que « cet échec a des répercussions négatives sur la réputation du pays et sa capacité à mobiliser les ressources nécessaires pour clôturer le budget 2022, et financer le budget 2023 ».
Le parti constate l’exacerbation de la souffrance des citoyens à cause de la hausse des prix et la baisse du pouvoir d’achat de la plupart des classes sociales. Il dénonce l’incapacité d’intervention du pouvoir et son laxisme et lui fait porter la responsabilité de la pénurie de nombreux produits de base et de médicaments.
Ennahdha a, en outre, félicité le peuple tunisien à l’occasion de la commémoration de l'anniversaire du déclenchement de la révolution. Le mouvement s’est indigné que le pouvoir en place ait choisi cette date pour la tenue des élections.
Le mouvement a condamné, dans ce même document précité, « les agissements du président de la République lors de son séjour aux États-Unis où il a attaqué le parlement tunisien, il s’est moqué de son président et accusé ses membres de corruption, le tout sans présenter des preuves et sans recourir à la justice et en plus hors des frontières du pays ».
I.N
Il n'a rien inventé.
Le parlement tunisien était un cirque, une arène de règlements de comptes, une atteinte à l'image du pays.
Il est tout à fait normal que la secte et ses acolytes se sentent visés et soient vexés.
Ennahdha c'est une chose et son contraire....
Je te laisse patauger,pauvre c..
Qui se ressemble, s'assemble : pour moi Kaies Saied/Ennahdha c'est kif kif pareil. Même "combat".
Leurs calculs s'avèrent faux, ils comptaient se servir de lui vu la constitution rédigée en 2014,leur donnait toutes les prérogatives, et le rôle du président KAIS SAÏED étaient limitées.
Ce monsieur observait depuis son élection.
Ennahdah agissait comme elle voulait, faire et défaire les gts ils avaient le pouvoir absolu !
Les débordements à l'ARP ont fait dérailler leur projet !
Et la suite vous la connaissez.
La providence, offrant une occasion en or pour museler ces opportunistes malfaisants.
En conclusion nous ne pouvons que le remercier de nous avoir défait de cette calamité, les mettre hors circulation.
Une fois les législatives achevées, ft un nouveau parlement installé, les prises sérieuses commencent, bientôt des comptes à rendre, espérons que le climat s'éclaircit, et on s'acheminera vers des cieux plus clairs.
C'est un groupement d'intérêts organisé sur la base de la rapine par la violence.
Un bilan rapide de leur rapt montre les résultats évidents d'une volonté de destruction du pays, l'asservissement des esprits par le mensonge et la dictature rigoriste au nom d'une religion mal comprise dont le Texte est assez polysémique et abscons autorise toutes les exégèses, y compris l'appel à la vengeance et au meurtre.
Lorsqu'une troupe, un clan, une tribu se donne mission de coloniser tout un pays, plaçant ses membres dans les lieux décisionnels et décisifs, qu'elle rançonne le pays exigeant réparations, indemnisations décidées par ces mêmes membres, il faut admettre que ce n' est pas un règne ni une captation du pouvoir, mais beaucoup plus encore, une dictature avec ses violences et ses suiveurs volontaires pour servir la soupe.
Ce sont ces malfaisants qui crient à la dictature.
Que je sache, ce ne sont pas les laïcs, insulte dans la bouche des islamistes, qui usent des procédés les plus criminels, comme appeler au meurtre, désigner nommément les personnes visées, tuer des touristes, égorger des bergers, ou violer des enfants dans une école dite religieuse.
Sans compter l'acide jeté à la figure de jeunes filles au motif d'insoumission au diktat du hijab.....
Nous qualifier de kouffats, taghout, voilà des signifiants de la vulgate des fous de dieu.
Le pire qui pouvait arriver ce pays, nous l'avons connu, dubi, supporté et combattu.
Et, il ne sera plus permis aux barbus, à leurs suppôts de nous commander.
Que cela soit dit partout.
N'en déplaise aux troupes d'applaudisseurs pressés de classer, définir, insulter, qui se refuse à cette dictature.
Ghannouchi au pouvoir, c'est une insulte à l'intelligence.
Les islamistes ministres, ces menteurs qui se donnaient du Docteur comme on distribué les bonbons aux gamins, c'est une infamie indigne du dernier des ignorants.
Et pourtant, il en est qui leur font des courbettes.
Servitude volontaire ?
Une estocade parmi tant d'autres, ils continueront têtes baissées vers le profit, et l'illicite, la religion n'est qu'un leurre, un alibi pour convaincre les niais.
La fin de leur parcours est presque arrivée, et les rendre compte est programmé, l'heure du jugement point les malfaisants acculés à cracher l'indigeste.
Cordialement cher compatriote.