L’ancien chef du gouvernement Elyes Fakhfakh a été totalement innocenté après le verdict prononcé vendredi 7 octobre dans son affaire de conflit d’intérêts.
C’est cette affaire, montée en épingle par les islamistes d’Ennahdha, les islamistes radicaux d’Al Karama et les « laïcs » de Qalb Tounes, qui a été utilisée pour faire tomber M. Fakhfakh. On les voit ici réunis pour la dernière touche de leur motion de censure.
Finalement, Kaïs Saïed a demandé à Elyes Falhfakh de démissionner afin d’éviter que la majorité parlementaire désigne son candidat à la Kasbah et dame ainsi le pion au président.
Il serait resté, la Tunisie n’en serait pas dans cet état de misère politico-économique. Il avait un plan bien défini, la confiance du président et celle des partenaires internationaux.
Quoiqu’on pense du putsch du 25-Juillet, le mal causé à la Tunisie par les islamistes est pire.
Quel gâchis !
R.B.H
Tu continue dans tous tes articles de parler de putch de 25 juillet comme les khouanjias ! ! ! ! ! !
Vraiment bizarre de parler ainsi d'un président élu avec 3 millions de voix et confirmé lors du référendum avec le même nombre de voix
Allons soyons sérieux
'? ce stade il n'est plus possible de voir qui a eu raison.
Les kwenjya ont détruit le pays.
Le clown de nessma qui ne sait pas dire 2 mots de suite à ruine le pays avec son alliance avec les kwenjya.
Kaïs said semble naviguer à vue d '?il.
Alors que choisir ?
A ce stade je donnerai une chance à Abir Moussi.
Après tout on est au fond du trou alors que risque t il de nous arriver qui ne nous ai pas déjà arrivé?
Nous assistons depuis que les "révolutionnaires", c'est ainsi qu'ils se qualifient, à un théâtre politicien où l'on joue à qui perd gagne avec tous les coups tordus dignes des pratiques mafieuses dont le vrai perdant est le citoyen.
Le pays volé, les institutions défaites ou défigurées, l'Etat capté au profit de clans juste pour asseoir leur pouvoir et décider de tout réglant don compte à qui se refuse à leurs, avances....
Il fallait y mettre un terme.
Et aussitôt que cela commençait à prendre forme, une opération multiforme fut entreprise allant des menaces, des plaintes auprès des "amis" et même le rassemblement en un "Front" de tous les prétendants, jusqu'alors réputés très démocrates, en contre-feux.
Et comme si cela n'y suffisait pas, on en appela au boycott.
'? ce stade, on peut prédire que leur affaire aura tourné court.
La politique, la vraie, celle qui se fait avec et par le citoyen, y gagne et tant pis pour les petits meneurs et autres clanistes.
Sans doute, Kais Saied peut apparaître brouillon, maladroit, il n'en demeure pas moins fort courageux de s'être mis sur la route de la meute lui retirant le cadavre et mettant fin à la curée.
Alors, on ne cesse de ke tenir sous surveillance, une vigie est installée quii compte, note et relève au détail ce qu'il entreprend, y relevant ce qui conforte l'opinion qu'on veut former de son action.
C'est une question de choix et de décision, libre ou forcée, et chacun doit mesurer là où le mènent ses allants.
A lire certains écrits, on finirait par croire, contre la vérité des faits, que le Président serait seul à porter la responsabilité de la crise profondes que vivent les gens, et qu'à ce titre le pays serait avec les prétendants.
Rien de plus erroné.
Ce n'est pas en maquillant la mariée qu'on lui changera les traits. Tout au plus, on restera dans le circonstanciel, l'instant, le provisoire.
Cependant, une figure clé dans la démarche de l'abattage du meilleur Chef de Gouvernement dans la décennie noire (je parle de Lyes Fekhfekh), ne figue pas sur la photo: c'est le président de l'INLUCC, Chawki Tabib. Cet individu, en plus de ses déclarations médiatiques accusant Fekhfekh de conflit d'intérêt, Tabib a pris la peine de se déplacer au Parlement pour défendre Ennahdha dans la procédure de retrait de confiance à l'encontre du Chef de Gouvernement Fekhfekh.
Tout ce beau monde devrait avoir honte de marcher dans la rue.
Perso, si demain il y a des élections présidentielles et qu'il se présente, il a mon vote.
Il s'est retrouvé en plein milieu d'un nid de vipères, de méchanceté et de manigances.
La roue tourne.