La présidente du PDL (Parti destourien libre), Abir Moussi a été présente, ce lundi 21 décembre 2020, sur le plateau de Myriam Belkadhi pour donner sa lecture de la situation politique et économique dans le pays et revenir sur le dernier mouvement qu’elle a lancé, baptisé « la révolution des lumières ».
Dans un premier temps, Abir Moussi a affirmé qu’il n’y a pas une réelle volonté politique pour lutter contre le terrorisme, assurant dans ce contexte que le Parlement est l’enceinte officielle de ceux qui blanchissent le terrorisme et de leurs proches.
« D’ailleurs, l’absence des députés lors de la plénière consacrée à la discussion de la motion relative à la condamnation du terrorisme le prouve. Le dernier berger a été décapité parce qu’il avait des relations avec des sécuritaires, il a donc été tué parce qu’il avait des relations avec le "Taghout", comme l'appellent les acolytes de Karadhaoui ».
Par ailleurs, elle a assuré qu’elle ne baissera pas les bras et poursuivra son combat pour sauver la Tunisie du projet obscurantiste et intégriste, ne visant qu’à changer le modèle de la société tunisienne. « Je compte m’adresser au conseil de sécurité nationale. Je porterai plainte contre les gouvernements qui se sont succédé. Tout le mal revient au tissu associatif bâti par le parti islamiste. Etes-vous au courant que Mohamed Affes était à la tête d’une association condamnée et dissoute en 2014 ? Personne n’en parle ! Ces associations bénéficient de financements étrangers dont la source est inconnue. Même le gouvernement actuel est complice avec le terrorisme ».
La présidente du PDL a ajouté qu’elle n’est pas pour la réconciliation globale comme présentée actuellement. « Je suis contre la réconciliation avec ceux qui ont détruit la Tunisie. Je ne mettrai jamais la main avec l’islam politique. Je suis ouverte à toutes les forces croyant en l’Etat civil. Pour le reste, je ne revendique que l’application de la loi ».
Quant au nouveau mouvement qu’elle a lancé, elle a assuré que son objectif est d’inciter les gens à réfléchir pour construire une Tunisie basée sur les valeurs de l’Etat et de la citoyenneté
S.H
De même, on peut tirer profit de visiter les écrits de Moses Finley sur la démocratie en ses heures premières helléniques. Sur ses conditions et son exercice.
Enfin, la lecture de Pierre Clastres serait d'un grand profit pour interroger le pouvoir en ses incarnations. L'exemple des chefferie indiennes d'Amazonie où le Chef représente tout, mais dépourvu de moyens lui permettant d'en tirer profit personnellement. En somme, un Chef faible pour un peuple pourvu de sa puissance collective.
Parce qu'un pouvoir sans bornes est un pouvoir illégitime, comme l'affirmait Montesquieu, nous avons la responsabilité de constituer des bornages aux tentations
de certains si l'on veut encore nous prémunir du pire.
Et puis, il serait juste et conforme à la Constitution de foutre la paix aux gens avec vos rappels à l'ordre religieux, et à l'ordre tout court.
Un citoyen, par nature, est réputé libre de ses choix, de ses engagements, qu'il ait ou non des convictions religieuses. Il vote, du moins a le droit de vote, et décide ainsi de qui sera député ou président de la République. Jusqu'ici, par chance, on n'exige pas de ce citoyen un certificat de conformité religieuse. Cela viendra peut-être...
Abir Mousdi parle de l'essentiel, ce qui concerne notre mode de vie, nos libertés et notre sécurité. Elle n'achète pas les voix des votants, ne commande pas à la justice, ne prêche pas la haine comme c'est d'usage chez ceux qui ne cessent de nous gonfler avec leurs discours fumeux, elle nous prévient contre les haineux, les terroristes.
Le comble du comble, c'est de voir ces marchands de religion nous cracher à la figure en toute impunité. Et, de constater qu' il y en est encore qui osent les soutenir ou plaider leur discours.
L'objectif de Madame Abir Moussi est très clair sauver la république et ses acquis de libertés et d'égalité en utilisant les institutions, le droit et la démocratie
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Le serveur sert un client. Le client veut...
pour commander un apéritif. "Je veux d'abord une soupe, mais pas trop fine ni trop grumeleuse, en plein milieu."
Puis il commande le plat principal. "Je vais prendre un canard rôti avec de la salade, mais le canard pas trop croustillant et pas trop bappy, en plein milieu."
Quand il a mangé ça aussi, il veut commander un dessert. "Je vais prendre une glace à la vanille avec une sauce chaude aux framboises, mais les framboises ne sont ni trop chaudes ni trop froides, juste au milieu."
Quand il a fini ça aussi, il commande un cappucino. "Je voudrais un cappucino, mais pas trop clair et pas trop foncé, en plein milieu."
Quand il a fini son café, il veut payer. "D'accord, serveur, l'addition s'il vous plaît, mais les chiffres dessus ne sont ni trop grands ni trop petits, juste au milieu."
'?a a suffi pour le serveur, il crie au client : "Vous pouvez embrasser mon c*l maintenant, pas trop à droite, pas trop à gauche, en plein milieu !"
La réponse du client est immédiate : "Je le maîtrise même parfaitement et très fort !
Bil fillagui Tounsi on dit: " Azè filli Tame3 bil Couscousi ouil Lè7èm minè Essèmè! "
C'est notre mentalité et cela seul compte (que cela me plaise ou pas) :
Si un homme rugit, il est dynamique, si une femme rugit, elle est hystérique.
Je choisis de regarder les faits sans trop de préjugés. Abir Moussi est femme, de droite. Elle a cheminé avec le RCD, ce qui autorise des esprits légers à la tenir pour toujours pour complice de la dictature de Ben Ali.
Les mêmes ne demandent pas à d'anciens caciques du même régime des comptes, ils les récupèrent à leur service ou alors emploient leur savoir-faire, leur savoir tout court. Enfin, d'autres s'y associent à des fins peu louables, dans des opérations politiciennes sans autre portée que leur désir de durer.
Il arrive, très rarement, qu'un islamiste prenne une position, sincère ou par calcul, que j'agrée.
Abir Moussi à pour elle la constance dans ses prises de position. Elle a le courage de tenir face à une adversité redoutable, association de gens inconstant et volubiles soudée par l'envie, la haine.
Enfin, parce qu'elle est une femme cela m'en rend solidaire.
Mais, pas sûr tout, ni pour tout programme. Il s'agit d'un moment important où il ne faut pas se défiler car il s'agit de l'essentiel, le type de société dans lequel nous voulons vivre.
Alors, à tout prendre, je me range du côté d'une femme de droite qui refuse de saborder ce qui fait notre identité nationale.
Donc, les islamistes, leurs suivants, les insatisfaits de tous bords et les machos sont les ennemis du moment. Car, en politique selon Schmidt, il s'agit d'abord et toujours de désigner l'ennemi. Notre ennemi intime à pour nom l'islamisme et ses rejetons dont il convient de freiner, sinon stopper l'élan.
Avec mes compliments.
de la GANGRENE ! les enfants de ce pays prendront leurs responsabilités et remettront notre pays sur pied ----- NOTTOYONS D' ABORD ET VITE ---- LE TUNISIEN NE COMPREND QUE PAR EXPLICATION SIMPLE , BREVE ET HONNETE .
http://kapitalis.com/tunisie/2020/12/22/la-phobie-dun-coup-detat-imaginaire-et-la-peur-de-changement-reel/
Compter sur Nahda ou PDL a apporter des reformes a notre chere Tunisie c'est comme si on demandait a Adenauer de composer avec le clan nazi du Fuhrer pour permettre a l'Allemagne d'apres-guerre de rebondir.
On le voit depuis un an, la Jaria de Ben Zayed n'est capable que de foutre le désordre au sein du parlement.
Il faut l'écouter. C'est vraiment le symbole de la médiocrité de la dictature. Niveau d'une ancienne 9awada du systeme Ben Ali quoi. Aucune réflexion. Ni idées économiques et sociales novatrices ni walou. Que des slogans empruntés aux archives de la dictatures. Des cris ...toujours des cris.
Vous avez remarqué que c'est une habitué de deux chaînes Alhiwar Attessia en plus de tv7 pourquoi ?
Sur ces chaînes on lui déroule le tapis rouge. Hier sur elhiwar , on a vu la sale gueule craintive qu'avait de Belkathi Meriem quand elle avait en face d'elle Moussi.
Elle la questionnait avec des pincettes et souvent souvent une approbation interrogative.
Cela se voit que ces mercenaires de ces chaînes ont des ordres de laisser la Jeria libre de son discours et de l'accompagner.
Moi j aurai aimé voir un débat entre Aloui ( Makhlouf) et Moussi pour que les tunisiens se fassent une idée plus precise des uns et des autres.
Malheureusement avec ces chaines de la honte, ils en sont privés.
la Bande des Emirates n'acceptera et ne tolérera jamais !
Il faut d'abord avoir, ou mieux créer des médias tunisiens!
On peut leur opposer les faits, l'observation des faits qui attestent du sérieux des femmes dans leur travail. Il suffit de chausser les bonnes lunettes, et se prémunir contre sa nature pour qu'apparaisse l'évidence.
Je n'etablis pas une hiérarchie nouvelle pour contrebalancer celle qui agit les cerveaux de certains mâles, je parle de ce que je vois partout dans les services administratifs où l'on peut même y rencontrer des femmes aimables en plus de serviables. Elles font leur job.
Abir Moussi est une femme, elle a le verbe haut et déclare qu'elle n'a pas peur face aux vulgaires machos, aux sans courage ni vertu que ceux de se croire d'extraction supérieure par son sexe, par ses affiliations.
Je me souviens d'une étude sociologique qui expliquait la réussite scolaire des filles maghrébines en France par leur ethos. Elles seraient plus dociles, obéissantes, plus soumises vs des garçons rebelles, insoumis et agitateurs face au corps enseignant féminisé dans une proportion considérable.
L'argument était retourné contre ce que tendait à montrer cette étude en y décelant une manière de mansuétude, de bienveillance, bref de solidarité féminine ou féministe qui rendrait compte de cette réussite des filles maghrébines.
Comme toujours, les arguments peuvent retournés, tournés même en ridicule, les faits, cependant, tels qu'ils se manifestent sont bien plus retours à toutes les tentatives.
Ainsi, lorsque Abir Moussi dit qu'au sein de l'ARP siègent ceux des soutiens du terrorisme, elle ne fait que nommer ce qui est.
Lorsqu'elle dénonce la soumission d'autres députés au diktat de ceux ci-haut nommés, elle constate une réalité qu'elle nomme devant la désertion... Sa dignité met au jour l'indignité de ses contradicteurs.
Un Homme existe en Tunisie, il a pour nom Abir Moussi.
AIDONS TOUS ABIR ,SOYONS TOUS POUR CE PROJET ,pensons tous a nos jeunes .
bon travail et bon courage abir ,tu gagnes chaque jour la confiance de beaucoup de tunisien .
bravo bravo bravo .
@aldo : les vrais patriotes dans ce pays sont ceux qui sont contre Nahda, RCD et Karama. Rdv en 2024 ..
Vous avez mon adhésion
Que la lumière et l'état de droit reviennent sur cette terre de Tunisie
La révolution la vraie vous l'avez devant vous ! elle s'appelle Abir Moussi. C'est un fruit de la tunisianité, de la Tunisie qui a protégé ses femmes et ses filles, et inversement. C'est le fruit de la société matriarcal en Tunisie que seules les puissances scandinaves de la démocratie sociale peuvent égaler. J'ai parler sur un autre article de la classe moyenne dont était connu la Tunisie engendré par la république Ben ALi, une classe moyenne digne d'une démocratie sociale scandinave et des états européens prospères.
Abir Moussi c'est le coeur de la culture tunisienne, celle de la liberté de la femme dans la société arabe démolit par le wahhabisme tueurs de sociétés musulmanes. Abir Moussi c'est la contre offensive civilisationnelle au wahhabisme en tant que femme libre, mais en plus patriote combattante défenseur de la nation et leader du parti politique historique fondement de la république tunisienne le PDL.
Putain comment on peut combattre une telle merveille civilisationnelle ? Je ne le comprend pas ! a moins d'être vendu aux wahhabites, et mafieux doublé d'un traitre (je ne parle pas de la société civile qui est manipulé a coup de propagande).
Abir Moussi, est une ligné carthaginoise, une descendante de l'empire de Carthage comme nous le sommes tous les patriotes.
Son combat c'est la continuité de la civilisation, c'est la continuité de la construction, c'est la continuité de la république bâtit par des données diverses, dont les deux républiques pré révolution sont deux fondations, en y ajoutant la culture française, et euro-méditeranéenne et la culture tunisienne, sa spécificité civilisationnelle dont sa religion même l'islam Malikiste qui est une forme primaire de démocratie, combattu par les wahhabites tueurs de musulmans et de l'islam.
Abir Moussi c'est la Tunisie, le symbole de la caractéristique tunisienne qui est spéciale mais surtout qui fait de la Tunisie un pays n'est pas n'importe qui ! un pays berceau de l'humanité et a l'opposé de la nation arabe suicidé !
Nous ne sommes pas des suicidés, et personne ne fera tomber la Tunisie dans le suicide tant que des fils et des filles de la Tunisie existeront !
Désolé, on ne peut plus écouter encore de telles conneries, c'est simplement une personne d´une Hystérie morbide sans égal !
J'ai toujours su que les psychiatres en Tunisie sont faibles!
Cela est d'autant plus vrai que l'armée, la gendarmerie et leurs unités spéciales peinent à éradiquer un nid dans ces montagnes de toute évidence connu de tout le voisinage.
Que le PDL appelle à une dénonciation univoque du terrorisme et de ses soutiens et initiateurs, et voilà l'ARP qui ne réussit pas à mobiliser de quoi satisfaire à la règle du quorum et botte en touche. Chacun y voit de ses arguties, beaucoup exhibent de leur hostilité pour se justifier et presque tous nos forts en gueule se rendent comme un seul homme et désertent.
Cela en dit long sur l'état d'esprit de ceux qui se prétendent représentants du peuple. Ils savent, se taisent et acceptent ce qu'ils déclarent combattre.
Il y faudrait non des soins pour troubles mentaux, ni de psychiatres (hormis ceux dont il est avéré qu'ils sont atteints de sinistrose), mais juste l'application de la loi pour les criminels et leurs complices. Et, pour certains députés, une haute cour de justice pour examiner s'il y a lieu de leur intenter un procès pour forfaiture.
Ce n'est pas une petite maladie dont ils sont atteints, la nosographie ne la répertorie pas, c'est un virus grave qui leur fait perde jusqu'au sens de la parole donnée, de l'engagement pris devant les électeurs, ou purement tout honneur et dignité.