L’ancien ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, a rappelé, dans un post publié ce dimanche 2 août 2020, sur les réseaux sociaux, que la menace du Covid-19 est bien réelle comme en attestent les chiffres quotidiens.
« Oui au travail et non à l’alarmisme » a écrit l’ancien ministre ajoutant que de nombreuses personnes ont pris à la légère tous les signaux d’avertissement et n’ont pas respecté les mesures individuelles et collectives qui s’imposent.
Abdellatif Mekki a souligné qu’il est plus que jamais nécessaire de respecter les gestes barrières et de se conformer aux mesures mises en place par le ministère de la Santé si l’on veut éviter une recrudescence du Covid-19 en Tunisie.
Notons qu’hier le nombre de personnes testées positives au Covid-19 s'est élevé à 1.552 cas sur un total de 96.189 dépistages réalisés depuis le début de la pandémie.
25 cas ont été testés porteurs du virus : une nouvelle contamination importée, seize locales (neuf à Tunis, quatre à l’Ariana, et huit à La Manouba) et huit anciennes. On a également recensé un nouveau décès portant le bilan des morts du Covid-19 à 51.
M.B.Z
Cependant, Dieu seul sait le fond.
Réponse: Tunisie!
C'est une honte devant les viteurs ;comme elle est sale cette dame du jamais vue !
EN homme Juste, je tiens à le signaler. Peut-être que certains politiques post-2011 ont saisi la juste mesure de la trahison à laquelle ils ont contribué et sont en train de travailler pour que Vive la Tunisie, comme avant 2011.
Si tel est le cas, je dis à TOUS les tunisiens, mobilisons-nous, la main dans la main, sans regarder les idéologies et les ords politiques pour aider à sauver notre pays.
Bon Courage à Tous.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
VIVE LA TUNISIE.
Wa3malou, fé sé yara Allahou A3malakom..
Quiconque critique l'intervention drastique de l'Etat dans les affaires sociales et économiques sur la base du danger Corona est rapidement confronté à l'accusation qu'il s'agit de sauver des vies humaines.
Cependant, personne n'est en mesure de dire combien de vies humaines ont été sauvées, le cas échéant, par le "verrouillage", les masques et les règles de distance, et si oui, en nombre appréciable.
La seule chose qui semble raisonnablement certaine est qu'un nombre indéterminable d'infections ont été évitées grâce à ces mesures. Cependant, comme seule une petite partie de ces infections se traduit par des cas graves de maladie ou encore moins de décès, la question demeure de savoir en quoi le bilan de Corona diffère de celui des graves vagues de grippe tunisienne du passé.
Les conséquences économiques des décisions politiques sont beaucoup moins spéculatives et peuvent être déterminées avec beaucoup plus de précision.
En Tunisie, la contraction de l'économie tunisienne serait entre 6 et 7% en 2020.
Mais ce ne sont là que des chiffres tirés de statistiques économiques. Ce qui est important à leur sujet, c'est ce qu'ils signifient pour la vie économique des habitants de la Tunisie : Davantage de chômeurs, des centaines de milliers de travailleurs en chômage , les moyens de subsistance des indépendants et des salariés déjà détruits ou sur le point de l'être.
Cette situation est associée à d'innombrables incertitudes, craintes, accidents, dettes et tragédies, dont on peut apprendre davantage dans les réseaux sociaux tant décriés que dans les médias conformistes, où la reprise est évoquée de manière propagandiste.
Ce déséquilibre dans le débat public sur les conséquences des mesures étatiques se reflète également dans la détresse matérielle et émotionnelle : une proportion importante de Tunisiens n'a subi aucun désavantage financier ou seulement des désavantages mineurs, tandis qu'une proportion importante a dû ou doit encore faire de grands sacrifices, souvent trop élevés.
La société est divisée - comme sur ce forum - et malgé les déclarations politiques et des rapports médiatiques banalisants, ne peuvent pas effacer tout cela.
Il n'y a pas encore eu de discours sur ce problème de division par le président du gouvernement ou le président de la République. Et il est fort probable qu'il n'y aura jamais de tels discours. Pour les organes de l'Etat au moins, mais aussi pour le parti Ennahdha renforcé, la crise du virus a porté ses fruits en termes de politique de pouvoir, du moins pour le moment.
Jusqu'à présent, ces profiteurs n'ont guère à craindre du désespoir et de la colère des perdants de la Corona, qui sont entièrement occupés par la lutte pour l'existence de l'individu ou de la famille.
Il n'y a pas non plus de parti ou d'organisation qui soit disposé ou capable de représenter efficacement et de manière crédible les intérêts des perdants. Des centaines de milliers de personnes, pour la plupart en âge de travailler et désireuses de se produire, se sentent non seulement abandonnées, mais aussi seules.
Il y a un ministre en poste actuellement qui va:
1 récolter les infos
2 vérifier les infos
3 évaluer les risques
4 donnée des ordres
Votre façon de voir ( c pas moi c eux) vous la gardez pour vous