alexametrics
lundi 29 avril 2024
Heure de Tunis : 12:11
Dernières news
Les journalistes ennemis de Hafedh Caïd Essebsi
25/05/2018 | 17:34
1 min
Les journalistes ennemis de Hafedh Caïd Essebsi

Les animosités contre les journalistes ont été présentes aujourd’hui lors de la réunion de l’Accord de Carthage, en ce vendredi 25 mai 2018. Dans sa guerre acharnée contre le chef du gouvernement Youssef Chahed, Hafedh Caïd Essebsi, directeur exécutif de Nidaa Tounes, s’est dit lui-aussi victime d’une campagne orchestrée contre lui par certains médias. Des médias qu’il accuse, sans détour, d’être « aux services de la Kasbah ».

 

Les médias et journalistes visés par les propos du fils de Béji Caïd Essebsi ne sont autres que Mosaïque Fm mais aussi Shems Fm qui a invité Sabrine Goubantini et Lazhar Akremi ayant tous les deux tenu des propos virulents contre HCE. HCE a aussi cité le journal Kapitalis, les journalistes Jamel Arfaoui (Tunisie Telegraph), Raouf Khalfallah (Akher Khabar), Hafedh Ghribi (Assabah), Zyed Krichen (Le Maghreb), Boubaker Ben Akecha (Mosaïque Fm et Attessia)  et également Nizar Bahloul (Business News).

 

Si les critiques ont fusé de toutes parts contre Hafedh Caïd Essebsi depuis plusieurs semaines, elles n’ont pas seulement émané des médias de la place. La classe politique tunisienne a aussi viruleusement critiqué l’obstination aveugle affichée par HCE pour mettre à terre Youssef Chahed. De quoi faire revivre d'anciens réflexes, finalement pas très bien enfouis...

 

S.T

25/05/2018 | 17:34
1 min
Suivez-nous

Commentaires (14)

Commenter

beni hilal
| 26-05-2018 15:00
Bébé Doc va bientôt en avoir après le monde entier.
Pourtant, il devrait réfléchir au pourquoi .
N'importe quel cancre pourra lui faire un dessin avec bulles ou légende.
Mais il est apparemment coupé de la réalité. Perte sèche d'oxygène.

Nasser
| 26-05-2018 13:31
De prime à bord je peux affirmer que nous manquons d'hommes politiques racés. Mais pour HCE, je lui dis que ' ne peut etre chef de parti qui veut'. Et cela presque tous les journaux de la place l'ont compris et ont désavoué HCE. Personne ni aucun journal ne pourrait etre contre un homme politique, du moment que celle-ci ait des qualités de guide et de chef de file. On peut le critiquer comme on peut ne pas etre d'accord avec lui mais on le respecte et on respecte ses idées. Malheureusement, cela fait plus de 2 ans qu'on attend en vain que le directeur executif du premier parti tunisien nous dévoile sa stratégie pour gouverner le pays et le sortir de ce marasme qui s'aggrave de jour en jour.
Le citoyen tunisien n'est pas dupe. Il sait que tout ce grabuge autour du document de Carthage n'est en fait q'un subterfuge de plus pour calmer le Tunisien et trouver un moyen 'équitable' entre 'les associés' pour partager ce qui reste de ce 'gateau' pourri qu'est la Tunisie de 2018.

Néant
| 26-05-2018 13:24
Objection votre honneur : Je souscris au contenu de cet article, exception faite de "viruleusement"

Hermes
| 26-05-2018 11:41
Ils se précipitent, ils se battent, ils font tout pour arriver au pouvoir, ils n'ont jamais été soucieux envers le pays. Franchement, un peuple ***

Mansour Lahyani
| 26-05-2018 11:01
Simplet !!! Bravo, c'est le nom (et qualificatif) que je n'arrivais pas à retrouver : désormais, junior sera également Simplet, très simplet...
Merci !

CHDOULA
| 26-05-2018 08:14
Il a raison Hafedh , les journalistes sont ses ennemis , les lecteurs et auditeurs de ces journalistes sont ses ennemis , tous les partis politiques et leurs adhérents sont ses ennemis , l'arp c'est son ennemi , l'ugtt c'est son ennemi , la kasbah et carthage sont ses nouveaux ennemis et ce n'est que le début du ramadan , d'ici 15 jours il va nous dire que la Chine et les Usa sont ses ennemis et le jour de l'aid il va bombarder la Russie !

TH
| 26-05-2018 07:30
Réveillez vous Hafedh.
Les gens qui ne vous apprécie pas sont beaucoup plus nombreux et ils concernent :
Les responsables de votre parti
Les fans de Nida
Le peuple dans sa majorité.
Les politiciens de tout bord.
La raison ? Votre incompétence d'abord et ensuite parce que vous êtes arrivé là où vous êtes grâce à votre père.

Abel Chater
| 26-05-2018 02:44
Je dis toujours à mes enfants de construire leur avenir tout seuls. Ils ne doivent jamais compter sur l'héritage que je leur lègue après ma mort. Il n'y a pas plus précieux et plus constructif dans la vie, que ce que l'individu réussit par ses propres efforts.
C'est pour cela que Hafedh Caïd Essebsi, ne pourra en aucun cas réussir une vie politique dans notre démocratie. Il n'a compté que sur l'héritage dont il s'est monopolisé au nom de son père Béji Caïd Essebsi. Un héritage qui ne lui appartient nullement. Son père Béji Caïd Essebsi a demandé à Faouzi Elloumi et à tant d'autres, de lui financer et de l'aider à réussir la création du parti de Nidaa Tounes. Presque l'ensemble des intellectuels tunisiens ont soutenu cette initiative, afin de faire la balance avec le parti d'Ennahdha.
Jamais une démocratie ne pourra réussir sans deux, trois ou quatre partis politiques forts de concurrence et d'existence. Le hasard a fait que Béji Caïd Essebsi soit l'homme de la circonstance, mais jamais son fils Hafedh Caïd Essebsi. Au lieu que les fondateurs de Nidaa Tounes, comme Faouzi Elloumi, prennent la direction du parti après l'élection de Béji Caïd Essebsi à la présidence de la République, et que son fils Hafedh Caïd Essebsi, y colle suivant la courtoisie politique d'usage chez nous, les rôles se sont renversés de l'extrême à l'extrême. Hafedh Caïd Essebsi s'empare du parti de Nidaa Tounes comme s'il était le fonds de commerce de son papa. Il fait éloigner les vrais propriétaires de Nidaa Tounes à l'image de Faouzi Elloumi et met le parti sous la protection mafieuse de Chafik Jarraya. Ce dernier installe ses hommes comme le pire des «Azlèms» de Ben Ali, Borhèn Bsaïes et le «micmaqueur» Toubel, à la tête de Nidaa Tounes. Le parti a perdu l'ensemble de sa légitimité. Il devient un parti bâtard sans c'?ur battant. Il n'a plus d'avenir aux mains de ses kidnappeurs Hafedh Caïd Essebsi et sa clique. Sans le départ de Borhèn Bsaïes, de Toubèl et de Hafedh Caïd Essebsi et le retour de Faouzi Elloumi, de Lazhar Akremi et des autres antidotes contre Hafedh Caïd Essebsi, le parti de Nidaa Tounes ne pourra trouver sa renaissance pour bien contrer le parti d'Ennahdha. Il sera peu-à-peu dissous comme le sel dans la mer.

veritas
| 25-05-2018 23:28
Le fils Bce a détruit nidaa et en même temps le gouvernement et le pays ,Bce doit remettre les choses à leur place .

mestiri
| 25-05-2018 22:47
Jusqu'à quand va-t-on encore supporter ce HCE qui n'a d'autre légitimité que d'être le fils de Papa- Président? Même pas foutu d'organiser des élections dans son propre parti désormais formé d'une bande de minables qui pleurent leur bienfaiteur Jerraya ... Casse - toi p'v c...!!