- Ne paye pas ses impôts,
- Ne paie pas ses factures STEG et SONEDE,
- Organise des grèves et des sabotages,
- Organise des trafics et une économie parallèle,
- Touche un salaire sans travailler,
- Etc, etc, etc ...
La coalition de la société civile pour la défense du secteur de la santé publique s’est exprimée dans un communiqué datant du dimanche 10 mars 2019 sur le décès des 11 nouveau-nés survenu entre le 7 et 8 mars courant, affirmant que la responsabilité dans ce drame incombe aux autorités en place.
Un drame qui soulève de multiples interrogations sur la sécurité et la qualité des soins prodigués aux patients dans le service public, mentionne le communiqué, tout en insistant sur l’urgence de remettre à niveau les centres de néonatologie avec les moyens matériels, mais aussi humains, nécessaires.
Tout en soulignant avoir déjà appelé, en vain, depuis mai 2017, à la restructuration du service de santé publique et à prendre des mesures urgentes, les acteurs de la société civile rappellent que ce qui est arrivé ces derniers jours « n’est que le résultat de la profonde détérioration du secteur de la santé publique ces dernières années à cause de la poursuite des mêmes stratégies ».
La coalition souligne la nécessité « aujourd’hui plus que jamais de mettre en place une stratégie pour sauver le secteur de la santé publique » et de prendre en considération les propositions émises par la coalition qui appelle à être une partie prenante dans les discussions.
Les signataires insistent par ailleurs sur l’importance d’assurer une enquête « sérieuse et transparente », de « tenir l’opinion publique informée des différentes avancées » et de « mettre tous les responsables directs ou indirects dans ce drame face à leurs responsabilités juridiques et administratives ».
S.T
La coalition de la société civile pour la défense du secteur de la santé publique s’est exprimée dans un communiqué datant du dimanche 10 mars 2019 sur le décès des 11 nouveau-nés survenu entre le 7 et 8 mars courant, affirmant que la responsabilité dans ce drame incombe aux autorités en place.
Un drame qui soulève de multiples interrogations sur la sécurité et la qualité des soins prodigués aux patients dans le service public, mentionne le communiqué, tout en insistant sur l’urgence de remettre à niveau les centres de néonatologie avec les moyens matériels, mais aussi humains, nécessaires.
Tout en soulignant avoir déjà appelé, en vain, depuis mai 2017, à la restructuration du service de santé publique et à prendre des mesures urgentes, les acteurs de la société civile rappellent que ce qui est arrivé ces derniers jours « n’est que le résultat de la profonde détérioration du secteur de la santé publique ces dernières années à cause de la poursuite des mêmes stratégies ».
La coalition souligne la nécessité « aujourd’hui plus que jamais de mettre en place une stratégie pour sauver le secteur de la santé publique » et de prendre en considération les propositions émises par la coalition qui appelle à être une partie prenante dans les discussions.
Les signataires insistent par ailleurs sur l’importance d’assurer une enquête « sérieuse et transparente », de « tenir l’opinion publique informée des différentes avancées » et de « mettre tous les responsables directs ou indirects dans ce drame face à leurs responsabilités juridiques et administratives ».
S.T