"Furemque fur cognovit et lupum lupus
Similis simili gaudet."
Autrement dit les voleurs, comme les loups, se reconnaissent bien vite.
à bon entendeur salut.
L’instance administrative de la Fédération générale de l'enseignement secondaire a décidé de poursuivre ses protestations dans la rue, à travers une série de journées de colère, et ceci à partir de mercredi 9 janvier 2019. Le boycott des examens se poursuit. C’est ce qu’a indiqué le secrétaire général de la fédération Lassâad Yaâcoubi, ce mardi 8 janvier 2019 dans une déclaration à Jawhara Fm.
Ainsi, lors des journées de colère les enseignants se rassembleront devant les délégations régionales de l’enseignement pour ensuite entamer une marche vers les sièges de gouvernorats et centres de souveraineté. A Tunis, ils vont se rassembler à la Place Mohamed Ali puis se diriger vers l’avenue Habib Bourguiba. L’objectif étant de faire parvenir aux autorités de tutelle un message clair : l’attachement des enseignants à leurs revendications et leur appel d’entamer des négociations rapides et sérieuses, mettant ainsi fin à la crise actuelle.
Les déclarations de la veille du directeur général des affaires juridiques, concernant les enseignants remplaçants, confirment la logique rétrograde du ministère de l’Education, a affirmé le SG de la fédération.
I.N
L’instance administrative de la Fédération générale de l'enseignement secondaire a décidé de poursuivre ses protestations dans la rue, à travers une série de journées de colère, et ceci à partir de mercredi 9 janvier 2019. Le boycott des examens se poursuit. C’est ce qu’a indiqué le secrétaire général de la fédération Lassâad Yaâcoubi, ce mardi 8 janvier 2019 dans une déclaration à Jawhara Fm.
Ainsi, lors des journées de colère les enseignants se rassembleront devant les délégations régionales de l’enseignement pour ensuite entamer une marche vers les sièges de gouvernorats et centres de souveraineté. A Tunis, ils vont se rassembler à la Place Mohamed Ali puis se diriger vers l’avenue Habib Bourguiba. L’objectif étant de faire parvenir aux autorités de tutelle un message clair : l’attachement des enseignants à leurs revendications et leur appel d’entamer des négociations rapides et sérieuses, mettant ainsi fin à la crise actuelle.
Les déclarations de la veille du directeur général des affaires juridiques, concernant les enseignants remplaçants, confirment la logique rétrograde du ministère de l’Education, a affirmé le SG de la fédération.
I.N