L’essentiel des dirigeants Irada a quitté aujourd’hui mercredi 19 septembre 2018 le parti créé par Moncef Marzouki.
En réaction, et à défaut de pouvoir dire quoi que ce soit et donner une explication, le député et secrétaire général d’Irada Imed Daïmi n’a pas trouvé mieux que de sortir une vieille photo des archives en compagnie de son président Moncef Marzouki. Une photo où on voit le duo devant le consulat de Tunisie à Pantin (Paris) appeler à l’octroi des Tunisiens leurs passeports dont ils sont privés.
Une manière comme une autre de jouer la diversion et de faire oublier au public les véritables raisons de cette démission massive qui n’est pas la première, mais qui risque d’être la dernière : il n’y a quasiment plus personne à Irada et les deux seules figures publiques qui restent sont de tendance islamiste toutes les deux : Imed Daïmi et Salim Ben Hamidane.
A noter que Imed Daïmi est actuellement en mission au Sri Lanka pour participer à une conférence en sa qualité de député.
R.B.H
Du Sri Lanka, Imed Daïmi réagit au séisme de son parti
L’essentiel des dirigeants Irada a quitté aujourd’hui mercredi 19 septembre 2018 le parti créé par Moncef Marzouki.
En réaction, et à défaut de pouvoir dire quoi que ce soit et donner une explication, le député et secrétaire général d’Irada Imed Daïmi n’a pas trouvé mieux que de sortir une vieille photo des archives en compagnie de son président Moncef Marzouki. Une photo où on voit le duo devant le consulat de Tunisie à Pantin (Paris) appeler à l’octroi des Tunisiens leurs passeports dont ils sont privés.
Une manière comme une autre de jouer la diversion et de faire oublier au public les véritables raisons de cette démission massive qui n’est pas la première, mais qui risque d’être la dernière : il n’y a quasiment plus personne à Irada et les deux seules figures publiques qui restent sont de tendance islamiste toutes les deux : Imed Daïmi et Salim Ben Hamidane.
A noter que Imed Daïmi est actuellement en mission au Sri Lanka pour participer à une conférence en sa qualité de député.
Elle monumentalement gagesque et, en effet, comme le dit un autre intervenant, difficle d'imaginer que l'humoriste qui tient la pancarte sur la photo a un jour occupé le poste de président, tout intérimaire et provisoire qu'il fusse...j'imagique que c'était la meileure façon que le gourou de Montplaisir avait trouvé à l'époque pour souiller la mémoire de Bourguiba et, en effet, cela restera comme un sacrilège...
Vous avez tout à fait raison.
Ces députés vont pour faire du tourisme aux frais de la princesse, alors que dans les régions de l'intérieur des gens n'ont pas de quoi se nourrir ou d'envoyer leurs enfants à l'école.
Et puis on s'etonne qu'il n'y a plus de devises dans les caisses de l'Etat et que le dinar continue á dégrigoler.
Et puis encore M. le Ministre des Finances va à Paris quémander de l'aide chez les Tunisiens Residant à l'Etranger. "Ya mata3 rabi".
De hauts faits dont ces deux zigotos peuvent se prévalent aujourd'hui pour ceux qui les auraient ignorés. Porter un écriteau ridicule pour l'un et pour l'autre manier avec dextérité et courage un porte voix, (certainement pour finir par capter l'attention des badauds qui se désintéressent totalement de cette mascarade, car apparemment personne ne s'arrête) peuvent en effet être assimilés à des actes de résistance ! Et bien sûr on prend soin pour immortaliser cet instant unique de la lutte pour la libération nationale de prendre un cliché .... que l'on ressort par ces temps de crise pour rappeler le passé militant. Plus ridicule que moi tu meurs ! Et dire que l'un représente des tunisiens à l'assemblée nationale, et que l'autre a été président de la république. Révolution, tu nous a fait toucher le fond !
En mission au Sri Lanka pour quoi faire. Tous les deputes se la coulent douce en ces temps tres difficiles que traverse le pays. Rien que des opportunistes et des affames.
Sri Lanka me rappelle un film d'Adel Imam. On résout le 6eme problème de Hilbert a Sri Lanka c'est un honneur pour nous de payer les frais du voyage Merci
Au fait, en ces temps difficiles, qui finance ces voyages à l'autre bout du monde et ces séjours coûteux des députés ? Le contribuable bien sûr. Quel bénéfice tire-t-on de ces missions ? Qu'est-ce qu'on ne ferait pas e son nom !