
L’ancien candidat à la présidentielle et fondateur du mouvement Société du Devoir, Mondher Zenaïdi, a annoncé qu’il menait une bataille contre la pauvreté, le désespoir, la crise financière, ainsi que contre la fermeture d’usines, les difficultés des entreprises et les mauvaises conditions de vie des Tunisiens, poussant certains au suicide.
Dans une vidéo publiée le 14 février 2025, Mondher Zenaïdi a appelé les Tunisiens à ne pas lâcher prise et à ne pas céder au désespoir.
« Je vous apporte de bonnes nouvelles. Nous rappelons que notre pays est riche… Je veux vous raconter l’histoire d’un jeune de la région de Kairouan, chômeur et diplômé en économie et en gestion depuis sept ans… Saber a trouvé un emploi et a reçu son premier salaire… Le mérite revient au propriétaire de la startup qui lui a proposé un contrat avec un salaire acceptable.
Je viens vous parler d’un citoyen de Gabès qui a subi une opération dans une clinique privée… Ali, comme beaucoup de Tunisiens, n’avait pas de carnet blanc (document nécessaire à la prise en charge des traitements médicaux) et n’a pas pu accéder aux soins gratuits dans les hôpitaux… Un médecin l’a pris en charge et lui a permis d’être opéré des yeux.
Grâce à nos associations à l’étranger, nous avons pu offrir deux contrats de travail à mi-temps à deux étudiantes afin de leur permettre de faire face aux frais de scolarité… Cela leur permettra de poursuivre leurs études dans de bonnes conditions.
Je vous parle d’une PME spécialisée dans l’artisanat qui traversait une crise économique et s’apprêtait à déclarer faillite… Aujourd’hui, cette entreprise a conclu un partenariat avec des sociétés étrangères et continuera à fonctionner. Elle exportera ses produits en Europe et dans le Golfe arabe.
Aujourd’hui, il existe des entreprises tunisiennes qui, malgré les faibles investissements du pouvoir en place dans l’intelligence artificielle, les lourdeurs administratives et le manque de technologies disponibles dans le pays, font face à une montagne d’obstacles… L’une d’entre elles participera à l’une des plus grandes expositions mondiales dédiées à l’intelligence artificielle. Elle y présentera des robots conçus par trois Tunisiens qui étaient au chômage… Cette société est soutenue à l’étranger, car on a cru en ses compétences.
Le désespoir ne sera pas tunisien ! Se résigner face au fait accompli ne sera pas tunisien ! L’impossible ne sera pas tunisien !
Je tiens à vous rassurer : l’avenir de la Tunisie ne réside pas dans les entreprises communautaires,
Ni dans des politiques erronées et impulsives qui compliquent davantage la situation, comme la loi sur les chèques ayant des répercussions négatives sur les opérations financières,
Ni dans l’autocratie, la censure, les atteintes à la liberté d’opinion et d’expression, et le bourrage des prisons avec des opposants,
Ni dans des politiques étrangères aventureuses et aléatoires !
Nous voulons que l’avenir de la Tunisie soit, par la grâce de Dieu, républicain et démocratique… Une démocratie réelle, un pluralisme politique, une justice indépendante et impartiale, des médias libres et impartiaux, une Cour constitutionnelle forte, indépendante et compétente, un pouvoir honnête envers ses citoyens, juste et inclusif. Nous voulons une gouvernance transparente et efficace, un pays fort et stratégique !
Nous voulons que l’avenir de la Tunisie repose sur l’intelligence artificielle, la robotique et l’Internet des objets, sur l’économie verte, l’agriculture biologique et le tourisme durable, sur l’égalité des chances, une répartition juste des richesses et l’amélioration du niveau de vie de tous les Tunisiens. Nous voulons préserver les équilibres financiers et renforcer le pouvoir d’achat, établir une stratégie nationale d’emploi tournée vers les métiers du futur et en finir avec l’emploi précaire et les solutions de rafistolage.
Nous souhaitons un développement humain durable, fondé sur un système de santé performant et accessible à tous, ainsi qu’un système éducatif innovant qui encourage la créativité…
Nous voulons que l’avenir de la Tunisie redonne au citoyen sa valeur et le place au cœur des priorités, avec une diplomatie souveraine, responsable, économique et numérique, en phase avec les mutations mondiales.
Ceci est possible, et nous le constatons chez de nombreux Tunisiens dont la conscience dépasse malheureusement celle du pouvoir en place sur plusieurs questions sensibles… Ils sont prêts à investir dans l’effort de sauvetage du pays.
Mes frères et sœurs, enfants de notre chère Tunisie,
Voici quelques exemples du projet Société du Devoir, que nous avons lancé après l’élection présidentielle… Nous avons pris le temps de poser ses fondations. Aujourd’hui, la Tunisie a besoin de l’aide de chacun de ses enfants pour sortir de l’incapacité et de la médiocrité.
Il ne faut pas être au pouvoir pour changer son pays… Chacun d’entre nous a la possibilité d’agir, même en dehors des cercles de décision. C’est notre devoir ! Notre devoir est de porter un projet pour les Tunisiens et par les Tunisiens… Notre rôle est d’être un lien entre eux, après que le populisme a cherché à les diviser.
Nous avons réussi à bâtir un réseau citoyen qui s’agrandit chaque jour…
Nous refusons que notre pays fonctionne à deux vitesses : une pour les privilégiés et une autre pour les marginalisés. Nous voulons investir dans l’intelligence et les compétences tunisiennes et faire de chaque succès individuel et collectif une source de fierté.
En aidant un seul Tunisien, on aide toute la Tunisie. Nous devons servir notre pays, quelle que soit la taille de l’initiative, pour améliorer son image à l’échelle nationale et internationale.
Le projet Société du Devoir n’est pas une guerre pour le pouvoir… C’est une bataille pour un avenir meilleur pour notre pays… Pour rendre la Tunisie aux Tunisiens ».
S.G
Comme on dit " TABAA ESSAREK HATA EL BAB EDAR " mais jamais critiquer pour la plaisir de critiquer sans fondement !
Les préjugés sont souvent loin du reel !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Un démagogue de première qui n'a jamais rien fait. Il a vendu le pays aux Trabelsi. Il n'a jamais mené un projet à son terme. 17 ans ministre sous la dictature il n'a jamais critiqué la corruption. Au ministère du commerce il a servi les Trabelsi. Ce n'est pas un patriote. Il a fait des affaires douteuses et s'est enfui comme un voleur après la révolution, la nuit. Miskina Tounes
Sa MAJMOUAA et les cercles colonio-sionistes derrière eux (Bernard Henry Lévy compris) ont vu en lui un JOKER qui pourrait rassembler les Destouriens, les 'Démocrates' et les Nahdhaouis. En plus il est issu d'une REGION MARGINALISEE entre deux Gouvernorats KASSERINE et SIDI BOUZID. Et il était le président du club le PLUS POPULAIRE non pas à Tunis MAIS DANS TOUTE LA TUNISIE. MAIS ILLI YEHSEB WAHDOU YOFDHOLLOU. INTEHE ADDARS ....YA DHAKI.
VITE VITE PUBLIEZ LES COMMENTAIRES AVANT Q'UNE BRUSQUE PANNE NE SURVIENNE. MODERATRICES SOYEZ EN ETAT D'ALERTE 24/24 POUR COMPENSER LE MANQUE A GAGNER.!!!.
A défaut du FUYARD bouchlaka voici un autre...........UN FUYARD CACHE UN AUTRE.
JE VOUS RACONTE .....JE VOUS PARLE..... JE VOUS PARLE.......(MIN HIKAYETT ABDELAZIZ EL EROUI).
Je vous ai prévenu plusieurs fois des pannes techniques .Mais la dernière coupure a dépassé 48 heures.
Passer instantanément les commentaires (meme la nuit!!!)en prévision des coupures (comme pour la coupure de la SONEDE on devra remplir les sceaux et les bouteilles!!!!).