Le président de l’Union des Magistrats administratifs, Walid Helali a publié, mardi 3 septembre 2024, le prononcé du jugement du tribunal administratif dans le litige électoral indiquant que si l'une des parties concernées présentait une demande à la cour pour expliquer ce prononcé du jugement, une demande autorisée par la loi, celle-ci serait rejetée en raison de la clarté évidente du jugement.
Walid Helali a accompagné son statut par le prononcé en question : " Le tribunal a décidé d'accepter le recours sur la forme et sur le fond, d'annuler le jugement de première instance contesté, et de statuer à nouveau en annulant la décision de l'instance critiquée et en acceptant la demande du requérant de se porter candidat à l'élection présidentielle du 6 octobre 2024 ".
Rappelons que l'Isie s'est exprimée sur le fond des jugements du tribunal administratif assurant qu'il a été clairement établi que ces jugements n'ordonnent pas explicitement et clairement l'intégration des candidats requérants dans la liste finale des candidats.
S.H
'si l'une des parties concernées présentait une demande à la cour pour expliquer ce prononcé du jugement, une demande autorisée par la loi, celle-ci serait rejetée en raison de la clarté évidente du jugement.'
CAR AUCUN N'A DEMANDE ,OU VA DEMANDER UNE 'EXPLICATION' D'UN PRNONCé.
LA QUESTION EST :
L'ISIE , instance CONSTITUTIONNELLE, a demandé PAR ECRIT , et avec la mention TRES URGENT, Les copies des JUGEMENTS conformément au dernier paragraphe de l'article 47 du code électoral, et dans le delai LEGAL de 48 h.
LA QUESTION (TO BE OR NOT TO BE):
LE T.A DEVRA OU NON REPONDRE A LA DEMANDE DE L'ISIE ET DANS LE DELAI LEGAL.
A mon avis il ne faut pas ZAPPER une DEMANDE REELLE ET LEGALE vers une demande IMAGINAIRE ET VIRTUELLE QUI NE S'EST JAMAIS POSEE ET QUI NE SE POSERAIT JAMAIS.
Bravo SALIM !
Ainsi, des juges administratifs se distinguent par une décision dite définitive, se donnant ce pouvoir "définitif" sans que l'on ait, selon eux, droit de les contester en leur décision et puissance.
Cette vigilance, cette insistance par la répétition des interventions de divers personnages est originale et d'une certaine manière nouvelle.
Toutes les institutions judiciaires ont brillé par leur faiblesse devant les forts et leur brutalité face aux gens ordinaires, le respect des lois ou du citoyen étant le moindre de leur souci quand ils traitent pas le justiciable de façon inique.
Et ce sont ces gens qui viennent nous choisir nos cabdtdats, faire le tri dans le marécage nauséabond.
C'est monsieur Hellali qui croit en savoir dscantage sur Mekki et ses motifs à briguer la magistrature suprême, ou bien encore tel ou tel dont on ignore le projet sans rien ignorer de sa trajectoire politique.
Plutôt politicienne.
C'est incontestable, c'est ce que dit Hellali, que son intervention est contestable.
Son tribunal, ses collègues ont décidé. Ils doivent se taire.
Lui, et le tribunal en son entier.
Parce que, sans quoi et sur la base de ces déclarations, interventions intempestives on aurait le droit de les ckbsyderer comme partie dans les différends, surtout pas juges.
On ne peut être juge et partie.
Nos juges ont décidé.
Ils voudraient décider aussi pour nous.
Que les juges restent à leur place, du sein des tribunaux ou ils ont chargé de décider et ce pouvoir exorbitant dépasse les capacités de beaucoup de la corporation.
Alors, s'ils en viennent à décider de qui a droit ou non de prétendre gérer nos affaires politiques, ce qui veut dire nos affaires communes, y compris nos choix de société, et là nous serions livrés aux pouvoirs des juges y compris.
C'est une agfaire de citoyens.
Nous ne sommes pas des prévenus présentés devant donc honneur Hellali.
En la matière, il serait bien inspiré de distinguer les registres.
Citoyen, je suis son égal.
Il est juge, cela m'est indifférent.