
Plusieurs enseignants boycotteurs ont reçu, vendredi 11 novembre 2022, un SMS de la part du ministère de l’Éducation leur annonçant qu’ils ne faisaient plus partie du corps enseignant.
« N’ayant pas rejoint votre poste, vous êtes considéré démissionnaire. En cas de motif impérieux, vous pouvez déposer un recours sur cette adresse électronique … », lit-on dans le SMS envoyé par le département.
Les négociations entre les parties sociales et le ministère de l’Éducation ayant échoué, le boycott se poursuit. Au total 14.000 enseignants suppléants, contractuels ou vacataires boycottent, actuellement, l'année scolaire. Ce bras de fer entre le département et la Fédération de l’enseignement de base a privé 750.000 élèves de leur droit à la scolarité.
La situation risque de dégénérer après la décision du ministère de licencier les boycotteurs. Celui-ci a, rappelons-le, lancé un ultimatum qui s’est écoulé hier. Le département avait appelé les enseignants à rejoindre leurs postes et les a menacés d’engager des procédures juridiques à leur encontre en cas de maintien du boycott.
N.J.
Ce qui fait la différence entre moi avec mes "nôtres" et vous autres, les menteurs haineux déchus par la Révolution du 14 janvier 2011, qui cherchez à vous venger de ceux qui vous ont pris vos places par la volonté du peuple tunisien et de ses urnes démocratiques, c'est que moi, je n'ai mes "Nôtres" que la vérité, l'honnêteté, la droiture, la conscience et la crainte de notre Créateur et Créateur de tout l'univers, Allah le Tout Puissant. Non pas comme les vôtres du mensonge, de la haine, de la jalousie, du sabotage et de l'intrigue, qui n'attaquez vos adversaires politiques d'Ennahdha, que parce que vous n'arrivez pas à les vaincre par des élections démocratiques. Maintenant, le Tout Puissant vous fait payer vos mensonges, vos sabotages et vos intrigues, par une faillite jamais vécue en Tunisie. La famine vous guette et vous continuez toujours à mentir contre vos adversaires politiques d'Ennahdha, parce que vous savez très bien qu'ils sont plus appréciés par le peuple tunisien et que vous n'arriverez jamais, à les vaincre par des élections démocratiques.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
ABANDON DE POSTE ?
Virez-les.
Aucun recours en justice n'est alors envisageable pour eux.
DEHORS, a tous les saboteurs de la société.
P.S : Question honnêteté ! parlez-en à vos idoles
Les enseignants universitaires qui se permettent de punir leurs étudiants, par la phrase la plus malhonnête que la loi la leur octroie :«le cours est supposé fait», commettent déjà un crime impardonnable envers leurs étudiants. Bien que les étudiants aient les moyens de se rattraper, il ne pourra y avoir un seul enseignant universitaire de conscience, qui pourrait dormir tranquillement en étant conscient qu'il a escroqué l'Etat, l'étudiant, l'humain et le Divin. Que dire donc, de ces enseignants qui trahissent l'avenir de nos enfants à l'école primaire, au collège ou au lycée, pour une cause ou pour une autre, même s'ils travaillaient gratuitement ou en état de mauvaise santé!!!
Enseigner et protester. Même les parents vont les soutenir. Mais s'absenter et laisser les élèves sans cours, bien qu'ils sachent que le temps perdu ne pourra jamais plus être restitué, les enseignants ne pourront jamais gagner la sympathie des parents ni du peuple tunisien.
Je leur dirais «ech-kara wèl Bhar» !!!

