Le juge d'instruction près le tribunal de première instance de Tunis a fait part, mardi 28 mai 2024, à l'avocate Sonia Dahmani de sa décision de clôturer l'enquête et de renvoyer l'affaire devant la chambre des mises en accusation près la Cour d'appel de Tunis pour qu'elle décide de la suite à donner.
Cette affaire concerne une plainte déposée contre elle par la Direction générale des prisons et de la rééducation à cause d'une déclaration médiatique qu'elle a faite au sujet de la situation des détenus impliqués dans l'affaire dite de complot contre la sûreté de l'État.
Il est à noter que Sonia Dahmani est poursuivie dans trois affaires. La première est liée à ses récentes déclarations lors d'un passage médiatique sur la chaîne télévisée Carthage + où elle évoque la situation du pays. La deuxième affaire porte sur une déclaration au sujet de la situation des détenus impliqués dans l'affaire dite de complot contre la sûreté de l'État. La troisième affaire a été initiée à la suite d'une plainte déposée par la ministre de la Justice, Leila Jaffel.
S.H
Une des affaires de Sonia Dahmani devant la chambre des mises en accusation
Le juge d'instruction près le tribunal de première instance de Tunis a fait part, mardi 28 mai 2024, à l'avocate Sonia Dahmani de sa décision de clôturer l'enquête et de renvoyer l'affaire devant la chambre des mises en accusation près la Cour d'appel de Tunis pour qu'elle décide de la suite à donner.
Cette affaire concerne une plainte déposée contre elle par la Direction générale des prisons et de la rééducation à cause d'une déclaration médiatique qu'elle a faite au sujet de la situation des détenus impliqués dans l'affaire dite de complot contre la sûreté de l'État.
Il est à noter que Sonia Dahmani est poursuivie dans trois affaires. La première est liée à ses récentes déclarations lors d'un passage médiatique sur la chaîne télévisée Carthage + où elle évoque la situation du pays. La deuxième affaire porte sur une déclaration au sujet de la situation des détenus impliqués dans l'affaire dite de complot contre la sûreté de l'État. La troisième affaire a été initiée à la suite d'une plainte déposée par la ministre de la Justice, Leila Jaffel.
