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Un problème au niveau d’un navire pétrolier est derrière la pénurie de carburant
09/10/2022 | 20:00
1 min
Un problème au niveau d’un navire pétrolier est derrière la pénurie de carburant

 

Le secrétaire général de la fédération générale pétro chimie, Selouane Semiri a indiqué ce dimanche 9 octobre 2022, dans une déclaration accordée à la radio IFM, qu’un problème détecté au niveau d’un navire pétrolier avait empêché son déchargement. Il a souligné que cet incident était derrière les difficultés d’approvisionnement en carburant constatées durant la journée.

 

Le secrétaire général de la fédération générale pétro chimie indique que le rythme ordinaire d’approvisionnement sera rétabli dès demain, lundi 10 octobre 2022, précisant qu’aucune grève n’est derrière les perturbations enregistrées.

 

Plusieurs citoyens ont dénoncé, depuis ce matin, le manque de carburant dans les stations-service notamment à Tunis. De longues files d’attente et des embouteillages monstres se sont formés devant les stations-service face aux perturbations d’approvisionnement en carburant. 


S.H

09/10/2022 | 20:00
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Commentaires
Mourad g.
Bizarre bizarre
a posté le 11-10-2022 à 15:49
On dépend en tunisie d'un navire ?
Si on était en guerre alors, le pays s'arrêterait des le premier jour
Bizarre
Mansour Lahyani
Peut-être, mais...
a posté le 10-10-2022 à 11:01
...mais surtout au niveau du règlement de cette livraison ! Le reste n'est que vaine littérature !!
Nephentes
Pas n'importe quel navire
a posté le 10-10-2022 à 10:56
Ce navire a ceci de particulier que sa coquille - coque en terme technique- est parfois mouillée ce qui évidement en tant que navire le rend impropre au transport d'hydrocarbure a la différence d'une barquette Lu - aux framboises- par exemple

Helas une barquette Lu malgré son exceptionnelle résistance a l'eau ne peut transporter qu'une quantité relativement limitée de pétrole - aux framboises qui plus est-

Toutefois il faut souligner que la cause réelle de ce dysfonctionnement semble avoir été identifiée de manière correcte par Mr Sémiri et par nos Autorités.

un Appel d'Offre International pour doter notre marine marchande de barquettes Lu taille XXL devrait être officialisé dans les plus brefs délais
Citoyen
Du jamais vu
a posté le 10-10-2022 à 10:50
Un gov qui ne dit rien et si il parle il dit des mensonges .
dire la variété au gens. " le pays est au bord de la faillite."
1/3i
encore la faute à des forces extérieures....
a posté le 10-10-2022 à 10:25
ce coup ci c'est le bateau ?
bon ça va, c'est pas Ennadah, quoique en creusant bien, il semblerait que RG ait été vu rodant sur les quais, avec une lame, afin de couper les amarres du bateau..
Borezguéne
On ne gouverne pas un pays du jour au jour.
a posté le 10-10-2022 à 10:07
Dés aujourd'hui, je dirai que Najla Boudin est morte politiquement et même Kais Said sauf pour les illettrés et ils sont des millions en Tunisie. A la maison, on attend qu'on n'a plus de sel pour aller en acheter? on attend qu'il n'y a plus de sucre, de farine, d'huile .... la cale sèche ?
Djodjo
L'essence n'était pas au norme :-) et hop, problème réglé
a posté le 10-10-2022 à 09:15
C'est donc la faute du bateau, ouf, j'ai eu peur.
Agatacriztiz
Répartition des richesses
a posté le 09-10-2022 à 23:00
Tout un pays tributaire d'un navire pétrolier, la panique des usagers dans les stations, en pensant à demain lundi reprise du travail (enfin pour ceux qui en ont) on touche le fond là, ou plutôt la cale sèche...
Si il y a du pognon pour importer des bagnoles, parce que je vois toujours des semi-remorques défiler chargés de voitures flambantes neuves, il doit y avoir du pognon pour importer du carburant, sinon, s'il n'y a pas de carburant, il n'y a pas de possibilité de faire marcher les véhicules.
Ce n'est pas très difficile à comprendre.
Alors si on a pas assez de pognon pour acheter du carburant, qu'on annule dès demain toutes les licences d'importation de nouveaux véhicules, comme toutes les licences de produits et marchandises dont on peut se passer et avec l'argent ainsi économisé, on achète du carburant et on paie directement les fournisseurs (puisque la STIR est au bout du rouleau, mais ça c'est un autre problème à tacler) avec pour faire rouler le parc existant et permettre aux tunisiens de vaquer à leurs occupations.
A titre d'exemple et pour des raisons d'austérité, l'Algérie, pourtant beaucoup plus nantie que nous en matière de devises, à stoppé drastiquement les importations de tout véhicules neufs et marchandises non essentielles au pays pendant une période assez longue, presque deux ans, je crois.
Alors, je pense qu'on peut avoir la modestie de faire la même chose, cesser de péter plus haut que notre cul et donner un signal fort en cessant de faire croire au tunisiens qu'ils peuvent continuer à vivre au dessus de leurs moyens.
Bien entendu, si on trouve des bidons de carburant d'origine "inconnue"
mis en vente sur les routes à des prix prohibitifs, on les confisque immédiatement en vous laissant le choix de ce qu'il faut réserver à leurs propriétaires (réels bien entendu et non des malheureux revendeurs qui poireautent sous le soleil en attendant le client).
Djodjo
@on peut arrêter de manger et hop, économie
a posté le à 09:14
Analyse tirée par les cheveux, c'est du niveau du Simplet de Carthage.

Sinon, le Maroc qui redresse son économie, sans supprimer la compensation, il font comment ?
Gg
Hi hi...
a posté le 09-10-2022 à 22:09
Le problème est que le bateau était vide.
C'est cela?