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Un plan terroriste déjoué à Sidi Bouzid
19/12/2018 | 12:29
1 min
Un plan terroriste déjoué à Sidi Bouzid

 

L’unité nationale d’enquêtes dans les crimes terroristes a dévoilé, ce mercredi 19 décembre 2018 en coordination avec les unités de la sûreté nationale de Sidi Bouzid, une organisation terroriste structurée nommée « Katibat al Jihad watawhid » suspectée de faire allégeance à une organisation terroriste à l’étranger.

La plupart des éléments appartenant à cette organisation ont été arrêtés et leurs plans terroristes, qui visaient notamment les postes sécuritaires dans la région, déjoués.

Une ceinture explosive, une grenade artisanale, des matières premières servant à fabriquer des bombes ainsi qu’une quantité de nitrate d’ammonium ont été saisis.

 

Suite à une décision du ministère public du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme, le juge d’instruction a émis 8 mandats de dépôt à l’encontre de ces éléments.

 

B.L

19/12/2018 | 12:29
1 min
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Commentaires (1)

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Tunisino
| 19-12-2018 13:26
Du cambriolage des banques aux plans terroristes, c'est du hasard ou de la coïncidence? Publier ces faits, est-ce que c'est bon pour le tourisme intérieur et extérieur? Est-ce que c'est bon pour l'investissement intérieur et extérieur? Avant il y avait la sureté de l'état qui s'occupe de tout ce qui est stabilité et image du pays, est-ce qu'il y a quelque chose d'équivalent aujourd'hui? Est-ce que RG et BCE sont plus intelligents que ZABA en sécurité et sureté? Ceci pour le hasard, je passe maintenant à la coïncidence. Durant Marzouki, c'est le Chaanbi qui saute d'un temps à un autre dés que la politique se bloquait. Durant BCE, c'est Sousse, Bardo, l'avenue, et parfois le milieu-est. Peut-on faire de la politique propre? Est-ce que la politique propre est assez bonne pour faire des résultats? Comment faire? La réponse est oui, Il faut tout simplement être sincère et exploiter la crème de la crème des tunisiens. On a des tunisiens très intelligents et hautement qualifiés, des diplômés de la Tunisie, des Etats unis, du Japon, et de l'Allemagne, en plus de la France, avec des expériences internationales, qui travaillent même dans la fonction publique. Des tunisiens hautement appréciables à l'étranger, ignorés en Tunisie, parce que la faiblesse de l'élite politique tunisienne ne leur fait voir que les chaises mais pas le projet du pays.