
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu ce mercredi 24 mars 2021, l’ancien ministre des Finances, Nizar Yaïche.
Le chef de l’Etat a exprimé sa volonté de superviser l'organisation d'un dialogue national auquel participeront les jeunes à travers des moyens de communication modernes, lors de cette rencontre au cours de laquelle l’ancien ministre a fait une présentation détaillée sur l'état de l'économie et des finances publiques ainsi que les menaces directes de la situation économique actuelle sur la sécurité nationale. Il a émis un ensemble de propositions, de solutions et de réformes pour aider la Tunisie à dépasser la crise.
Nizar Yaïche a présenté au président de la République une nouvelle plateforme de consultation qui permettrait de rassembler ces propositions dans le cadre d'un dialogue national. Une proposition qui a enchanté Kaïs Saïed qui a exprimé sa volonté d'encadrer le dialogue « de manière à permettre l'élaboration de propositions à un niveau local puis de les formuler par des spécialistes de tous les domaines aux niveaux régional et national ».
Le chef de l’Etat a souligné que la question est liée à un plan économique et social qui découle de la volonté du peuple, et à la nécessité qu'il y ait une volonté sincère de prendre des décisions audacieuses pour sortir rapidement de la crise.
Kaïs Saïed n’a pas manqué de rappeler que la crise gouvernementale n’entraine pas forcément une crise politique, citant en exemple les nombreux remaniements qui ont été opérés lors des années 70.
Il a enfin annoncé qu’il présentera bientôt le projet de loi sur la réconciliation pénale avec les personnes impliquées dans des affaires de corruption financière, afin que cette réconciliation soit avec le peuple, une position que Kaïs Saïed clame depuis 2012.
M.B.Z

Ces médiocres et incultes en tout, ne savent (selon leur eduction parental), que commercer à Tunis partis seulement piur visiter, mais que par la suite ils croyaient, avec la pratique de ce job, devenirdes experts en économie et pouvant diriger même tout un pays.
Par ailleurs, ils étaient partis au cours du siècle dernier, pour vivoter (épicerie du coin), dans les villes de la Tunisie.
C'est avec la connivence de Ben Ali, qui a leur a accordé (ces nahdha) inexplicablement plusieurs et divers avantages et autorisations insensées et ridicules et normalement propres à l'état puisque le pays sans grandes ressources naturelles est censé produire et gagner de l'argent, d'ailleurs même les ; et par la suite en 2011 et toute attente c'est eux (ces filous) qui l'insultent, mais par conte, ceux qui ont été réellement (avant 2011 et même après 2011 par nahdha) lésés et marginalisés, ne se sont jamais manifestés, et à contrario dupés puisquils craulyaient qu'il s'agit qu'il s'agissait réellement d'une révolution et un printemps arabe en 2011.
Grande fut par la suite leur déception lorsque une bande d'intrus, venant de londres, envahissa l'aéroport Tunis-carthage et l'on assista à un cirque de la part de leurs milices soudoyées pour la circonstance.
D'ailleurs c'est pour cela qu'actuellement, l'impunité quant aux agissements malsains et saugrenus de nahdha, est autorisée par la loi de la jungle et passe outre en fermant l'oeil à chaque occasion de dérive ou d'arnaque.
Cette duperie se prolongea malheureusement jusqu'à ce jour.
Ceci étant et pour ce qui est du commerce, devenu un privilège en Tunisie dépassant toute sorte d enseignement ou de formation professionnelle, il y a eu linstauration d'intermédiaires et de monopolisateurs et la marge bénéficiaire à évolué vertigineusement (appuyé par des lois destructives de l'économie tunisienne) jusqu'à devenir très lucrative et engendrant de nouveaux riches, surtout ceux qui résident au niveau de la frontière tuniso-libyenne et des deux gouvernorats limitrophes.
De même, l'inflation, la spéculation sont devenues des fléaux destructeurs de l'économie tunisienne, et l'aubaine des autorisations impliquant l'utilisation des produits subventionnés par l'état tunisien s'est propagée tel une pandémie.
Des autorisations irrégulières ( par compassion) sont accordées indéfiniment, touchant les secteurs en du transport en commun et celui individuel, tel que les taxis à Tunis (énergivores) qui sont l'une des causes essentielles du massacre économique de la Tunisie.
Sans parler des entrepreneurs, des promoteurs immobiliers et des marchés parallèles, des appels d'offre émis avec la connivence de l'état tunisien (les pots de vin sont devenus monnaie courante et réglementés), et que d'autres corruptions à citer.
C'est un pays tunisien qui "marche" sur la tête et non en celui qui était en marche juste après l'indépendance de 1956.
Tout un chacun bavarde dans son coin, Saeid du côté de Carthage, Machachou à la Kasbah, Le Gourou du QG de sa secte à Montplaisir sans oublier Taboubi à la place de Med Ali et la Gauche dans tout coin de rue... mais, le pays dans tout ça chavire comme un bateau à la dérive.
Tout ce monde incompétent va bientôt recevoir un coup de pied aux culs par le FMI; seul recours pour assurer les salaires des prochains mois des fonctionnaires et employés du secteur public avec des conditions douloureuses mais indiscutables.
Autrement, le peuple descendra dans la rue pour brûler tout à son passage.
Merci qui ?
Merci la majorité du peuple tunisien qui vote pour les Khouanjias, leurs parachocs et les Klebs Tounes ...
Autrement
Débarassez-vous des islamistes, complètement les déraciner de tout les rouages de l'état!
Pour être très gentil et clèment, ils peuvent rester comme de simples citoyens, intérdits de toute activité politique, sinon déguerpir, ils ont l'embarras du choix, la Turquie, le Qatar, l'afghanistan....
Et là, vous verrez la Tunisie galopper vers le progrès et la prispérité.
Mais bon, retour à l'amère réalité!!!
Saied essaye aussi d'introduire sa jamahariya sans changement de constitution.
Ramenez une vraie task force d'experts tunisiens et internationaux.
Une année de présidence populiste ça suffit. Mettez la diplomatie tunisienne au service pour profiter de nos relations internationales pour :
- rééchelonnement de la dette
- financement d'un plan de sauvetage
- financement de la restructuration des entreprises publiques avant de pouvoir les céder
- financement de grands projets d'infrastructures
Etc...
La situation est critique urgente en témoigne la venue du VP de la BM
Ce constat étant fait faut il pour autant revenir aux politiques des années 60 et 70 pour faire de notre pays : " un pays où il fait bon y vivre " comme l'a dit à un certain moment feu Hedi Nouira ? Certainement pas. Néanmoins même si les politiques doivent être contemporaines voire même avant-gardistes et innovantes , pour un pays comme le nôtre ,les politiques publiques doivent consacrer les deux rôles la croissance économique et le développement humain.
L'état emploi 800 milles personnes directement et une centaine dans les entreprises publiques. On a une économie moins importante qu'avant 2011 et on a double le nombre de bureaucrates.
Le budget de l'état pour 2021 est de 41 milliards de dinars et le PIB pour 2021 sera probablement 90 milliards de dinars, donc presque la moitie du PIB du PIB.
Les entreprises publiques ont un monopole sur électricité, les transports, l'eau, les mines.
L'état détiens la majorités des terres agricoles et ne les exploitent pas, 800 000 hectares.
- un groupe de spécialistes se chargera de les collecter à l'échelle régionale et nous serons en 2O23
- tamiser ces propositions et les discuter à l'échelle nationale et nous voilà en 2024 .
et là les jeux seront déjà faits.
Et pendant ce temps là, nahdha et son troupeau auront tout détruit
Poverino !

