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Un plan de sortie de crise objet d’une rencontre entre Kaïs Saïed et Nizar Yaïche
24/03/2021 | 20:25
2 min
Un plan de sortie de crise objet d’une rencontre entre Kaïs Saïed et Nizar Yaïche

 

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu ce mercredi 24 mars 2021, l’ancien ministre des Finances, Nizar Yaïche.

 

Le chef de l’Etat a exprimé sa volonté de superviser l'organisation d'un dialogue national auquel participeront les jeunes à travers des moyens de communication modernes, lors de cette rencontre au cours de laquelle l’ancien ministre a fait une présentation détaillée sur l'état de l'économie et des finances publiques ainsi que les menaces directes de la situation économique actuelle sur la sécurité nationale. Il a émis un ensemble de propositions, de solutions et de réformes pour aider la Tunisie à dépasser la crise.

 

Nizar Yaïche a présenté au président de la République une nouvelle plateforme de consultation qui permettrait de rassembler ces propositions dans le cadre d'un dialogue national. Une proposition qui a enchanté Kaïs Saïed qui a exprimé sa volonté d'encadrer le dialogue « de manière à permettre l'élaboration de propositions à un niveau local puis de les formuler par des spécialistes de tous les domaines aux niveaux régional et national ».

 

Le chef de l’Etat a souligné que la question est liée à un plan économique et social qui découle de la volonté du peuple, et à la nécessité qu'il y ait une volonté sincère de prendre des décisions audacieuses pour sortir rapidement de la crise.

 

Kaïs Saïed n’a pas manqué de rappeler que la crise gouvernementale n’entraine pas forcément une crise politique, citant en exemple les nombreux remaniements qui ont été opérés lors des années 70. 

Il a enfin annoncé qu’il présentera bientôt le projet de loi sur la réconciliation pénale avec les personnes impliquées dans des affaires de corruption financière, afin que cette réconciliation soit avec le peuple, une position que Kaïs Saïed clame depuis 2012. 

 

M.B.Z


24/03/2021 | 20:25
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Commentaires
MH
Du jamais vu
a posté le 25-03-2021 à 18:06
Comment un ancien ministre peut-il proposer un plan ou quoi que ce soit. L'actuel ministre compte pour du beurre? Qui a tout les données actuelles en main? L'ancien ou l'actuel ministre? Bizarre cette façon de travailler. De toute façon c'est au premier ministre et son ministre d'économie de trouver les solutions. KS n'a rien à y faire.
takilas
Les raisons du massacre socioéconomique de La Tunisie.
a posté le 25-03-2021 à 11:56
Cest avec un esprit de commerçant que les menbres sudistes incultes de nahdha veulent gouverner la Tunisie.
Ces médiocres et incultes en tout, ne savent (selon leur eduction parental), que commercer à Tunis partis seulement piur visiter, mais que par la suite ils croyaient, avec la pratique de ce job, devenirdes experts en économie et pouvant diriger même tout un pays.
Par ailleurs, ils étaient partis au cours du siècle dernier, pour vivoter (épicerie du coin), dans les villes de la Tunisie.
C'est avec la connivence de Ben Ali, qui a leur a accordé (ces nahdha) inexplicablement plusieurs et divers avantages et autorisations insensées et ridicules et normalement propres à l'état puisque le pays sans grandes ressources naturelles est censé produire et gagner de l'argent, d'ailleurs même les ; et par la suite en 2011 et toute attente c'est eux (ces filous) qui l'insultent, mais par conte, ceux qui ont été réellement (avant 2011 et même après 2011 par nahdha) lésés et marginalisés, ne se sont jamais manifestés, et à contrario dupés puisquils craulyaient qu'il s'agit qu'il s'agissait réellement d'une révolution et un printemps arabe en 2011.
Grande fut par la suite leur déception lorsque une bande d'intrus, venant de londres, envahissa l'aéroport Tunis-carthage et l'on assista à un cirque de la part de leurs milices soudoyées pour la circonstance.
D'ailleurs c'est pour cela qu'actuellement, l'impunité quant aux agissements malsains et saugrenus de nahdha, est autorisée par la loi de la jungle et passe outre en fermant l'oeil à chaque occasion de dérive ou d'arnaque.
Cette duperie se prolongea malheureusement jusqu'à ce jour.
Ceci étant et pour ce qui est du commerce, devenu un privilège en Tunisie dépassant toute sorte d enseignement ou de formation professionnelle, il y a eu linstauration d'intermédiaires et de monopolisateurs et la marge bénéficiaire à évolué vertigineusement (appuyé par des lois destructives de l'économie tunisienne) jusqu'à devenir très lucrative et engendrant de nouveaux riches, surtout ceux qui résident au niveau de la frontière tuniso-libyenne et des deux gouvernorats limitrophes.
De même, l'inflation, la spéculation sont devenues des fléaux destructeurs de l'économie tunisienne, et l'aubaine des autorisations impliquant l'utilisation des produits subventionnés par l'état tunisien s'est propagée tel une pandémie.
Des autorisations irrégulières ( par compassion) sont accordées indéfiniment, touchant les secteurs en du transport en commun et celui individuel, tel que les taxis à Tunis (énergivores) qui sont l'une des causes essentielles du massacre économique de la Tunisie.
Sans parler des entrepreneurs, des promoteurs immobiliers et des marchés parallèles, des appels d'offre émis avec la connivence de l'état tunisien (les pots de vin sont devenus monnaie courante et réglementés), et que d'autres corruptions à citer.
C'est un pays tunisien qui "marche" sur la tête et non en celui qui était en marche juste après l'indépendance de 1956.
Petit x
Des histoires à dormir debout...
a posté le 25-03-2021 à 09:02
Rien à se mettre sous la dent.

Tout un chacun bavarde dans son coin, Saeid du côté de Carthage, Machachou à la Kasbah, Le Gourou du QG de sa secte à Montplaisir sans oublier Taboubi à la place de Med Ali et la Gauche dans tout coin de rue... mais, le pays dans tout ça chavire comme un bateau à la dérive.

Tout ce monde incompétent va bientôt recevoir un coup de pied aux culs par le FMI; seul recours pour assurer les salaires des prochains mois des fonctionnaires et employés du secteur public avec des conditions douloureuses mais indiscutables.

Autrement, le peuple descendra dans la rue pour brûler tout à son passage.

Merci qui ?
Merci la majorité du peuple tunisien qui vote pour les Khouanjias, leurs parachocs et les Klebs Tounes ...

Autrement
Mjedda
Plan? Quel plan?
a posté le 25-03-2021 à 08:39
Il y a un seul plan de sortie de crise pour notre pauvre Tunisie:
Débarassez-vous des islamistes, complètement les déraciner de tout les rouages de l'état!
Pour être très gentil et clèment, ils peuvent rester comme de simples citoyens, intérdits de toute activité politique, sinon déguerpir, ils ont l'embarras du choix, la Turquie, le Qatar, l'afghanistan....
Et là, vous verrez la Tunisie galopper vers le progrès et la prispérité.
Mais bon, retour à l'amère réalité!!!
Dalloz
K. Saied pour se donner bonne conscience p
a posté le 25-03-2021 à 08:13
Je suis persuadé qu'il regrette de ne pas l'avoir choisi comme chef de gouvernement.
Forza
oui mais
a posté le 25-03-2021 à 07:34
Positive dans cette rencontre est le fait que Kais Saied rencontre quelqu'un de compètent. '?a peut l'aider à comprendre mieux les aspects économiques. Elle est négative en même temps car Saied essaye de construire un genre de gouvernement parallèle, ce n'est pas dans ses prérogatives.
Saied essaye aussi d'introduire sa jamahariya sans changement de constitution.
Walid
Un pays en faillite ! Ramenez des experts
a posté le 25-03-2021 à 07:29
Cessez votre populisme! Le pays est en faillite ce ne sont pas des jeunes qui vont proposer une sortie de crise!
Ramenez une vraie task force d'experts tunisiens et internationaux.
Une année de présidence populiste ça suffit. Mettez la diplomatie tunisienne au service pour profiter de nos relations internationales pour :
- rééchelonnement de la dette
- financement d'un plan de sauvetage
- financement de la restructuration des entreprises publiques avant de pouvoir les céder
- financement de grands projets d'infrastructures
Etc...

La situation est critique urgente en témoigne la venue du VP de la BM
hatem jemaa
LE DIAGNOSTIC DE KS
a posté le 24-03-2021 à 23:43
Le Président Kais Said a montré dans son allocution une pertinente analyse politico économique de ce qui s'est passé dans notre pays depuis l'indépendance. Il a insisté sur une date le 15 Août 1985 date de l'adoption du PAS du FMI qui a démarré le désengagement de l'état de son rôle de locomotive du développement ainsi que celui de garant des transferts sociaux. Depuis cette date le rôle de l'état n'a cessé de reculer pour se limiter presque au seul rôle sécuritaire même si il y a eu quelques réalisations d'infrastructures durant l'ère Ben Ali mais qui sont loin d'être comparables à ce que l'état a réalisé durant l'ère de Bourguiba. Ce désengagement a privé l'état de bras de leviers pour répondre aux besoins et aux espérances. L'insurrection était devenue inévitable. Elle eu lieu le 14 Janvier 2011.
Ce constat étant fait faut il pour autant revenir aux politiques des années 60 et 70 pour faire de notre pays : " un pays où il fait bon y vivre " comme l'a dit à un certain moment feu Hedi Nouira ? Certainement pas. Néanmoins même si les politiques doivent être contemporaines voire même avant-gardistes et innovantes , pour un pays comme le nôtre ,les politiques publiques doivent consacrer les deux rôles la croissance économique et le développement humain.
Rationnel
L'état ne s'est désengagé de l'économie
a posté le à 15:14
L'état participent a 40% dans le capital des banques.
L'état emploi 800 milles personnes directement et une centaine dans les entreprises publiques. On a une économie moins importante qu'avant 2011 et on a double le nombre de bureaucrates.
Le budget de l'état pour 2021 est de 41 milliards de dinars et le PIB pour 2021 sera probablement 90 milliards de dinars, donc presque la moitie du PIB du PIB.
Les entreprises publiques ont un monopole sur électricité, les transports, l'eau, les mines.
L'état détiens la majorités des terres agricoles et ne les exploitent pas, 800 000 hectares.
Sherlock Homss
Quel temps fait-il en haut ?
a posté le 24-03-2021 à 22:26
Il oublie le FMI, la Banque Mondiale et les bailleurs de fonds posent des conditions pour pouvoir permettre à la Tunisie de s'en sortir financièrement, il oublie que L'UGTT, l'UTICA et les négociateurs sociaux du gouvernement ont très peu de marge de man'?uvre car ils ne peuvent pas négocier des augmentations salariales quand des pans entiers de certains secteurs économiques souffrent de la pandémie Covid (salariés du secteur hôtelier, à titre d'exemple), il oublie que plus de 20 % des tunisiens vivent en dessous du seuil de pauvreté et que ça s'aggrave de jour en jour et entre-temps Monsieur bavarde en adorant s'entendre parler...
k.Hamida 7806
A ce rythme là..
a posté le 24-03-2021 à 21:49
- l'élaboration des propositions à un niveau local nous amènera jusqu'en 2022
- un groupe de spécialistes se chargera de les collecter à l'échelle régionale et nous serons en 2O23
- tamiser ces propositions et les discuter à l'échelle nationale et nous voilà en 2024 .
et là les jeux seront déjà faits.
Et pendant ce temps là, nahdha et son troupeau auront tout détruit
Alya
Nizar yaiche,?
a posté le 24-03-2021 à 20:51
Voilà ce qui a du faire plaisir à la mère de cet ancien ministre!!!!j avais été bluffée par la lettre qu elle avait envoyé aux médias lors e la fin de mission de son fils@!!!
Mahmoud
"Gouvernement de l'ombre" !!!
a posté le 24-03-2021 à 20:44
Effectivement, K.S meuble son quotidien en causant avec des membres d'un "Gouvernement ds l'ombre" !!! Comme si en Tsie, point de Gouvernement !!
Poverino !