
L'Union générale tunisienne du travail (UGTT) a appelé les nouveaux ministres autour desquels planent "des soupçons de corruption et de conflit d'intérêts", nommés lors du dernier remaniement, et qui ont eu le vote de confiance de l'Assemblée des représentants de le peuple le 26 janvier dernier, de s'excuser et de ne pas accepter les postes qui leur ont été confiés, pour solutionner la crise politique actuelle.
C’est ce qu’a indiqué le secrétaire général adjoint et porte-parole de l’organisation Sami Tahri ce vendredi 5 février 2021 dans une déclaration à la Tap. Et de marteler : « Ce n'est pas une honte de revenir sur les portefeuilles ministériels qui leur ont été confiés afin de sauver le pays d'une crise aiguë ».
M. Tahri a estimé que la situation politique était critique, compte tenu notamment du refus du président de la République Kaïs Saïed d'accueillir ces ministres pour la prestation de serment constitutionnel et de son refus de parapher le décret présidentiel de nomination.
Pour lui, cette impasse constitutionnelle pourrait entraver l'action du gouvernement, d’où l’importance de prendre des décisions appropriées dans l'intérêt général.
Et de rappeler que la centrale syndicale a demandé au chef du gouvernement Hichem Mechichi de d'attendre et de reporter le vote de confiance de la nouvelle équipe ministérielle, mais sa demande avait été rejetée et le remaniement gouvernemental avait obtenu le vote de confiance du Parlement.
I.N
Néanmoins, ils obligeront encore presque tous les employés à payer une cotisation !
N'est-ce pas ingénieux ?
La prudence consiste à vérifier ses sources ou y aller voir, payer de sa personne.
En revanche, le colportage, le n'importe quoi est aisé.
Beaucoup ont de l'éthique à en revendre, mais ignorent ce dont ils parlent.
Point a la ligne
Le parlement et la constitution sont la propriete de Mr Ghannouchi qui dit mieux