
Une peur bleue saisit désormais les ministres du gouvernement Bouden. La raison ? En moins d’un mois, le président de la République a limogé trois ministres. Le 6 janvier, la ministre du Commerce, Fadhila Rabhi, a été éjectée de son poste sans explication aucune. Le 30 janvier, c’était au tour de Fethi Sellaouti et Mahmoud Elyes Hamza, respectivement ministre de l’Éducation et ministre de l’Agriculture de subir le limogeage et toujours sans explication.
Avec ces limogeages disparates, Kaïs Saïed est en train d’exercer un nouveau genre de remaniements ministériels. Plutôt que de s’arrêter sur l’ensemble du travail gouvernemental, de l’évaluer et d’en tirer les conséquences avec un remaniement ministériel ordinaire touchant plusieurs portefeuilles à la fois, voire même touchant la Primature (première responsable de tout ce qui arrive après tout), le président de la République préfère agir à la carte, sanctionnant les uns selon ses propres critères d’évaluation.
La conséquence de cette politique est un climat de terreur dans les cabinets ministériels, chacun craignant d’être le prochain sur la liste noire présidentielle. Un climat alimenté par de folles rumeurs prétendant que le président ne va pas arrêter ses remaniements aux trois du mois de janvier.
S.F
Un ministre est un politique, par conséquent responsable de tout ce qui se fait ou non au sein de son ministère, et comptable au sens où c'est lui le chef qui oriente, décide en référant au chef de gouvernement lequel fait de même sous les ordres du Président.
Le pouvoir s'exerce par divers moyens, et par la crainte obtient d'être obéi.
Dès lors, que des ministres éprouvent, éprouveraient un tel sentiment est plutôt salutaire, puisqu'en conséquence ils conduisent leur action sous le contrôle qui les contient et les soutient. Ils ne sont pas des barons dans leurs fiefs, ils font partie d'un ensemble appelé gouvernement qui est, en dernier ressort un des instrument et le premier dans la mise en acte de la politique décidée.
Il y a un chef d'orchestre qui écrit l'écrit, contrôle la partition dont il délégué la mise en musique à un groupe qui doit être cohérent et solidaire.
La durée est utile, mais sous condition qu'elle serve le projet.
Mais, j'écris tout cela comme si existait le souci de regarder les choses avec la passion du citoyen intéressé.
Je vois qu'il en est beaucoup qui ne guettent que l'opportunité de relever ce qui conforte leur désir du négatif.
Des dizaines de ministres ont vécu dans la peur, la crainte, et ne dépendaient que de l'ukase d'un potentat tout-puissant faisant et défaisant à sa guise sans réaction snon des exégèses fumeuses tels les commentaires fantaisistes des '?crits des temps
fameux....
Il suffit d'avoir de la mémoire.
je te paye le double et que tu disparaisses dans la nature..fais le,pour sauver l'humanité stp
Comparons le comparable par honnêteté intellectuelle
Je suggere au president de se nommer lui meme ministreS de Tout ... il a la capacite' et le verbe avec..
Sinon il finira par s' auto-licencier ... et se renommera a la limite delegue' de Mnihla et Navarre , avec dos d'anes et nids de poules a gogo.
On s' inquite beaucoup sur le mule de Baghdad... alors que les problemes sont en Tunisie...a ca on semble l' oublier...mais on va d' abord liberer Gaza, apres on verra Omek Sanafa et ses ojjas dont le cout devient pharaonique.