Mais en vérité, c'est un don qui est réservé à toute personne agissant incognito aux services de la vérité, de l'honnêteté et de l'équité humaine, sans le moindre intérêt ni le moindre profit personnels.
Je n'ai jamais écrit quelque chose de bien au sujet de ce Néji Jalloul ni de sa semblable la Zalèma Abir Moussi ou de la sorcière Fatma Mseddi, bien que je ne les connaisse pas en personne. Pourquoi me dirait-on!!!
C'est parce que ce Néji Jalloul, comme d'ailleurs la Zalèma Abir Moussi et Fatma Mseddi, se sont lancés dès le début non pas par des réalisations au profit de la Tunisie et des Tunisiens, mais pour ne faire que s'illustrer comme claniques contre les faibles pacifiques, qui se rapportent à l'Islam de près ou de loin. J'ai regardé plusieurs de leurs interventions télévisées. Ils n'ont jamais réussi un seul projet ni un seul débat, par un minimum d'objectivité véridique. Ils n'ont tenu que des monologues mensongers contre ceux qu'ils n'ont pas réussi à vaincre par les urnes démocratiques. Ce langage de "ils sont", "ils ont fait" et encore par mille fois de ils et ils, sans jamais les évoquer par le nom. Un discours lâche utilisé par la grande majorité des menteurs, des intrigants et des populistes, dans le seul but de s'acquérir le soutien de leurs semblables les débiles ignorants, tout en essayant de stigmatiser et de discréditer le peuple et ses revendications, par un langage de basse facture à deux sous troués.
Ils sont facilement à reconnaître, lorsqu'ils abusent des circonstances pour créer leurs propres partis politiques, autours des mêmes ramassis de leur propre qualité bidon.
Je donne à titre d'exemple l'actuelle ministre de l'Education Salwa Abassi, qui travaille avec acharnement pour le bien de l'éducation des prochaines générations tunisiennes, sans clans ni la moindre idée de créer son propre parti politique, en comparaison avec l'ancien ministre de l'Education ce même Néji Jalloul, qui a transformé le ministère de l'Education nationale en la Caverne des RCDistes, afin de les utiliser pour créer son parti politique. Une ruse talmudique visible et lisible à tous les Tunisiens. Mais comme il ne parle que de "ils" et de sa propre "décennie noire" dont il fut lui-même ministre, il pensait que les Tunisiens ont la mémoire plus courte que celle des poissons rouges, jusqu'à pouvoir les escroquer pour le poste de président de la République, de la même manière, de la même méthode et des mêmes pratiques, que nous voyons chez la Zalèma Abir Moussi.
Qu'on imagine un tant soit peu, chaque Tunisien qui accède au poste de ministre, se mette à créer son parti politique à l'image de Néji Jalloul, d'Abid Briki, de Béji Caïd Essebsi, de Youssef Chahed et de tant d'autres kangourous de la scène politique tunisienne, pour bien comprendre la valeur réelle de tels nullards, sans avoir besoin du don de la clairvoyance et de la voyance extralucide, pour prévoir l'avenir en échec et en faillite totale, autour de telles vérités inéluctables.
Néji Jalloul a tant baratiné dans le vide, pour ne pouvoir ramasser que la banalité de 88 parrainages sur dix mille (10.000). Un nombre tellement minime, qui nous montre que même plusieurs membres de sa famille et de ses proches, n'ont pas voulu le parrainer, tellement ils connaissent sa malhonnêteté innée.
Allah yomhil wèlè yohmil.