
Les directeurs d’Al Wataniya 1 et 2, respectivement Iheb Chaouch et Chadia Khdhir, ont présenté leurs démissions, ce lundi 16 novembre 2015 à la Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle (HAICA).
La décision de M. Chaouch et Mme Khdhir fait suite à la décision du chef du gouvernement, Habib Essid, de limoger le PDG de la Télévision nationale, Mustapha Ben Letaief, et la nomination de Rached Younes comme gestionnaire de l'établissement par intérim, sans la consultation de la HAICA en violation au décret 116, estiment-ils.
Selon le texte de la démission, leur décision ne vient pas pour défendre la personne de M. Ben Letaief mais pour défendre un principe : la réforme de ce secteur ne supporte plus ce genre de pratique qui ouvre la porte au pouvoir exécutif pour contrôler les nominations et brider les libertés.
Les démissions ont été transférées à l’administration de la Télévision nationale, précise un communiqué de la HAICA daté de ce lundi matin.
I.N
Commentaires (27)
CommenterIndécent
Wind of change !
Frapper le chat pour faire peur à la mariée
Les réactions du chefs du gouvernement ne sont que superficielles et loin de la solution.
Il y a quelque mois Essid se trouvant faible devant des ministres intouchables avait intimidé un directeur général qui arrivait en retard à une réunion. Depuis, toute l'administration se solidarise pour un laisser aller.
Institutions à réhabiliter et surtout que tout s'éclaircit après les attentats en Tunisie et en France.
« il n'y a que le provisoire qui dure ».
C'est exactement ce qui s'est passé lors de l'achèvement de la constitution, lorsque les figurants (de réels figurants de cinéma ; avec des spectacles quotidiens) se sont abstenus de sortir. Il a fallu bûcher fort pour déraciner les récalcitrants.
Et qui enfin de compte, ils ont été, par ce comportement, à l'origine de l'historique de l'obtention du prix Nobel de la paix ; donc ils ont du mérite. Quel incroyable paradoxe !
D'après Charles Aznavour : « Le hasard est curieux, il provoque les choses ».
Ceci pour plaisanter, mais passons aux choses les plus sérieuses, justement après l'assassinat du petit berger, que de questionnements à ce sujet, et à l'origine des assaillants. Inutile de narrer ceux qui les ont positionnés vers cet emplacement ; ce n'est pas le moment.
Prenons la carte géographique de La Tunisie et traçons une ligne de niveau topographique, et cherchant une coupe topographique qui permettrait la courbe de niveau la plus malléable possible (même sinueuse) ; trois ou quatre courbes topographiques peuvent être envisagées (hors routes classées bien évidemment), et ce entre la montagne Chambi (point culminant 1544 m) et le lieu ou les lieux de visite, ou possibles à visiter par ces assaillants.
Il en découle que si la distance est abordable (à pied ou à vélo) pour une demi-heure de temps, donc on peut déduire le reste de la solution.
Maintenant pourquoi ce choix précisément de cette courbe de niveau ?
Parce qu'il y a un historique qui suppose que les actions et les mouvements sont effectuées à partir de ce refuge, et puisque l'étau se referme depuis quelques temps pour d'autres issues, la seule solution serait d'opter pour ces parcours contournant le versant E.S.E.
évaluer avant le quitus
Et en contre partie?de la médiocrité presque partout:des programmes sans âmes,des reprises à n'en finir...tout ça chapeauté par PDG et deuxDirrcteurs
Il ne manquait qu'un Dga
Moi je pense qu'il est temps d'ouvrir ce dossier entreprendre un audit et décider,avec tous les intéressés,la refonte de la télévision publique digne de son nom
Quant à la démission des 2directeurs,je leur dis:*âcha man ârifa kadrahou* une****en moins
Tendance d'instauration d'un exécutif anarchique !
Tendance constatée lors de la désignation du ministre de l'intérieur,de la nomination du directeur de l'hôpital de Sfax , du limogeage du commandant de la garde nationale ( Ksiksi) , du limogeage des imams corrompus .
Plus aucun chef d'administration n'est capable de prendre des décisions sans s'affronter aux protestations de subordonnés contaminés par les virus syndicaliste et politique .
Ce phénomène natif de la maudite révolution a causé des dommages catastrophiques aux conditions de vie en Tunisie .
Dans un pays développé ,la population a confiance en ses pouvoirs élus . Ce qui n'est pas le cas en Tunisie .
Le chef du gouvernement
Attention je dis ça, mais j'ai peur que lambda me tombe dessus "zeeda ".
Attention jveux pas des "maichaikil "moi ya khouya !!!
Bon débarras!
Suis le conseil de celui qui te fait pleurer, et non de celui qui te fait rire.
Quel que soit le degré, soit de l'injustice ou de la déconsidération, on ne peut se comporter de cette manière désinvolte et impolie. Parce qu'il s'agit d'un manque de respect d »abord à soit même, lorsqu'on écrit de cette manière, plus que de vouloir (soi-disant) démontrer de l'irrespect au vis-à-vis ou à l'autre. Ce n'est pas de cette façon incivique et de sous-développé, qu'on démontre son mécontentement. Il faut avoir un peu de dignité vers soi-même avant tout. Les imminentes personnalités qui ont démissionné (à juste titre) l'ont fait avec magnanimité, et non pas à la manière vulgaire ; donc avec regret caché.
Les incitateurs ne perdent rien ; ils les ont mis devant le fait accompli et attendent avec impatience si l'hameçon prendra, ou s'ils peuvent (comme lors de plusieurs derniers essais) entrevoir une issue (un coup de poker) pour créer des désaccords et des débâcles, out en étant pleins d'arrière-pensées et en mettant sur le front des boucs émissaires, Il s'agit toutefois d'une méthode devenue classique pour les combinards.
Donc, il est certain que cette déclaration a été rédigée sur incitation par autrui, et par des provocations engendrant le manque de modestie. Toutefois, sans se répéter il est évident qu'il y a eu machination de la part d'ignorants et de mauvaises graines, qui ne lâchent rien pour essayer de créer la débandade et la gabegie.
Maintenant s'ils veulent démissionner de cette manière, et en donnant cet alibi comme preuve, c'est un dépassement et un manque de respect soit pour l'institution en elle-même, qui n'est ni la maison du Bon Dieu ni la propriété du paternel, ou bien par esprit de solidarité d'une procédure, tout est permis aveuglément à la manière des gâtés et des privilégiés.
Par ailleurs, il est évident que ce caprice inexpliqué, doit certainement provenir, sur une influence perfide, d'une tierce personne (ou groupe) cherchant les sensations et les provocations.
Et puis qui leur dit (quand en général il y a limogeage) que le démuni de ses fonctions ne sera pas réorienté vers une autre fonction plus intéressante et plus favorable à la réussite
Donc, ils ont défendu le diable d'une part, et ont démontré à l'évidence qu'ils attendent la moindre éventuelle décision ou réaction, pour perturber et provoquer les masses médias et les téléspectateurs pour causer(sait-on jamais) des remue-ménages et des ripostes, donc leur esprit est plein d'arrière-pensées.