
Le parti destourien libre (PDL) présidée par Abir Moussi a rendu public un communiqué, mardi 15 novembre 2022, pour dénoncer le recours aux dispositions du décret 54 pour traduire des journalistes et des directeurs d’établissements médiatiques sur fond d’articles d’analyses.
En référence à l’article publié par Business News, le parti estime que le recours au décret 54 constitue une menace pour la liberté d’opinion et une atteinte au droit d’expression, ainsi qu’un moyen de terroriser ceux qui pensent critiquer le rendement des parties au pouvoir.
Le PDL dénonce la déviation de l’esprit original du texte et son orientation vers la répression des libertés fondamentales en contrepartie du mutisme face aux milices facebookiennes soutenant « le président au pouvoir » qui agissent en toute impunité.
Le parti rejette l’exploitation de l’institution judiciaire pour faire taire les voix, exprimant sa surprise quant à la rapidité « flagrante » des procès d’opinion face au laxisme dans l’examen des affaires des organisations terroristes, les affaires de sureté nationale et celles des violences faites aux femmes.
Le PDL enregistre sa solidarité avec les plumes libres qui se conforment aux règles déontologiques du travail journalistique et appelle les décideurs à se consacrer au traitement des problématiques du secteur des médias et à améliorer la situation sociale des journalistes afin de garantir une presse nationale conforme aux normes internationales.
S.H
Si cette Zalèma moussi avait un seul iota de sincérité, pourrait-elle nous dire, pourquoi BN est transféré devant la justice de Laïla Jaffel, pour une telle banalité journalistique, alors que la Zalèma moussi, dit tout ce qu'elle veut contre le président Kaïs Saïed, sa Secrétaire Nejla Bouden et tout son staff putschiste, jusqu'aux insultes et des menaces flagrantes, sans qu'elle ne soit inculpée ni même arrêtée?
N'est-ce pas parce que ce coup d'Etat du 25 juillet 2021, est fomenté et encouragé par ces mêmes Emirats hébraïques, commanditaires des uns et des autres!!!
Ce double jeu du symbole de la malhonnêteté, du mensonge et de l'intrigue, la Zalèma moussi, source principale de tout ce que vivent les Tunisiens de malheur et de retour vers l'arrière, ne pourra être accepté par n'importe quelle Tunisienne ou quel Tunisien possédant un minimum de leurs facultés mentales.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
La liberté de parole ne s'use que si l'on ne s'en sert pas contrairement à la pile électrique.
Seules les dictatures bâillonnent les journalistes. Et comme le dit le chanteur français Guy Béart, sous ce type de régime : "Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté ".
Ce que le pouvoir qualifie de "fausse nouvelle" est tout simplement une opinion qui lui déplait.

