
L'homme politique et businessman, Slim Riahi a annoncé qu’il a eu gain de cause et que la justice grecque l’a innocenté et se prononçant contre les jugements par contumace à son encontre : « La nature politique de ces accusations a été reconnue et la demande d’extradition formulée par la Tunisie a été rejetée ».
M. Riahi a affirmé dans ce cadre : « La justice grecque, qui a appliqué les normes européennes d'impartialité et suite à une enquête minutieuse sur les données reçues, m'a rendu justice. J'avais espéré que la justice de mon pays me rende justice, avant celle européenne. Malgré cela, je garde espoir que la vérité soit victorieuse et que la justice prenne le dessus sur la ruse de la politique ».
Le politicien a profité de l’occasion pour préciser qu’il n’a jamais été arrêté par les autorités grecques contrairement aux affirmations du conseiller auprès du président de la République Walid Hajjem. Et de soutenir qu’on l’a traité avec civilité lorsqu’il a été informé par la demande du ministère tunisien des Affaires étrangères et qu’aucune restriction ne lui a été imposée pour ses déplacements et voyages.
Dans un article paru sur Business News au début de l'affaire, nos journalistes ont pu avoir des éléments démontrant que ce qui s’est passé, fin août, n’était qu’une comédie finement jouée par Slim Riahi. Celui-ci a dressé un piège à la présidence de la République dans lequel Walid Hajjem est tombé des deux pieds.
Les faits. Slim Riahi était à Abou Dhabi et pensait y séjourner quelque temps encore. La donne a changé le 25 juillet avec les décisions historiques du président Kaïs Saïed et le réchauffement des relations entre la Tunisie et les Émirats arabes unis qui ont manifesté à deux reprises leur soutien total à ces décisions. C’était le 29 juillet et le 7 août. Ce réchauffement a fait peur à Slim Riahi qui a craint de connaitre le même sort qu’Ahmed Ould Kaddour, ancien pdg du géant algérien Sonatrach, extradé à son pays par les Émirats le 4 août. Les médias algériens ont diffusé en boucle son arrivée, menotté et humilié, à Alger.
Se sachant recherché par Interpol, Slim Riahi devait quitter les Émirats au plus vite. La première chose à faire était de trouver un pays qui n’extrade pas facilement et capable de l’accepter comme réfugié politique. Son choix fut pour l’île ensoleillée de Mykonos, après avoir consulté une ribambelle d’avocats maîtrisant ce genre de dossiers.
La deuxième étape était de préparer un logement, ce qui fut réalisé rapidement, afin de ne pas être emprisonné à son arrivée en Grèce. Slim Riahi est actuellement « chez lui », une belle villa où il est assigné à résidence en attente de son procès.
La troisième étape était de préparer son procès à l’issue duquel il espère que le magistrat prononce le refus d’extradition. Sa stratégie est de politiser son cas afin de montrer au magistrat qu’il est recherché par son pays pour des raisons politiques. Il fait fuiter l’information de son arrestation et de sa possible extradition, espérant que les médias et les autorités saisissent le sujet et en parlent.
I.N

Il est plausible que ce Monsieur traîne des casseroles bien brûlantes !
Ce fût Slim Chiboub gendre de Zaba ! Il s'est résoud à rentrer au pays et affronter la justice de celle-ci, un procès équitable lui a été fait, après un laps de temps fût libéré, il a payé sa dette et vi paisiblement chez lui en Tunisie.
Courage Mr Slim Riahi ayez le courage que celui de votre acolyte cité précédemment, allez chich ! (Manai):
De ça nos meilleurs médias au monde ne pouvaient pas parler des dessous de l'affaire.
En Tunisie, il a chez ghannouchi et ses sbire les + grands mafiosi du monde islamique et leur enrichissement c'était :
Tu paies ou tu vas en taule à jamais ! ! !
Mais, C terminé la justice des terroristes nakbaouiste avec l'arrivé de robocop sauveur de la Tunisie, des Tunisiens et surtout d'Echabou youridou quoi ?
Ses jours sont comptés
Ah chère Tunisie,tu nous as bien fait voir de toutes les couleurs ces dix dernières années.
Tout le monde sait que certaines choses locales ne sont pas prises au sérieux à l'extérieur : Un arbitre de football par exemple , il ira jamais en phase finale de coupe du monde
pourquoi ? tout simplement c'est pas sérieux et ça se voit.