le bhiri, le khriji, le jbéli, el laarayedh, la mehrezia, el marzougui, la toumia, la barrique abbou, laadhiri, la bensedrine, le bensalem, le mourrou, le dilou; eux, le Lagloum n'est pas le vrai indice de leur corruption mais leurs fesses, Je vous propose de regarder de ce côté là et vous allez vous rendre compte de l'ampleur de la corruption....seule exception Mehrzia, quant à elle, elle avait des fesses depuis son séjour en France, cependant, il y a un autre indice pour son cas, mais je préfère l'autocensure pour ne pas embarrasser l'équipe de BN....
« La campagne de lutte contre la corruption dérange et dérange beaucoup et nous n’avons pas fini de constater ses impacts », a indiqué le ministre de l’Agriculture, de la Pêche et des Ressources hydrauliques et secrétaire général du parti Al Massar, Samir Taïeb, commentant ce matin du jeudi 11 janvier 2018, les récentes manifestations nocturnes, accompagnées de grabuges, qui ont éclaté dans de nombreuses régions du pays.
« La bataille démocratique sur la Loi de finances 2018 est finie, elle a été discutée partout avant d’être votée en toute démocratie, il est vrai que ceux qui estiment être lésés par cette loi ont le droit de manifester pacifiquement et dans le cadre de la loi, mais il faut faire très attention à ce qu’on déclare et adopter un comportement responsable » a précisé le ministre lors de son intervention auprès de Hamza Belloumi sur Shems FM.
Samir Taïeb a estimé, concernent les accusations du chef du gouvernement à l’encontre du Front populaire et la réponse du parti donnée par son porte-parole hier soir, que les propos de Hamma Hammami ne reflètent pas la réalité, que « le Front populaire a changé de position hier » et que le parti a bien appelé à des manifestations nocturnes.
« La Loi de finances n’a rien à avoir avec ce qui se passe, d’ailleurs l’opposition elle-même admet qu’elle n’est que la goutte qui a fait déborder le vase. Nous estimons que la Loi de finances est nécessaire et qu’elle porte des mesures salutaires pour le peuple tunisien, il aurait été plus facile d’opter pour les solutions de raccommodage et de caresser dans le sens du poil, nous avons choisi de prendre des mesures qui servent l’intérêt du pays sur les moyen et long termes et nous avons le courage de poursuivre les réformes jusqu’au bout » a affirmé le ministre.
« Nous n’avons pas fini de constater les impacts de la campagne menée contre la corruption, qui sera poursuivie malgré tout, et réduire ce qui se passe à des querelles politiques est naïf. Ceux qui financent les pilleurs ne sont ni le Front populaire ni d’autres partis et d’ailleurs le chef du gouvernement a parlé de propos irresponsables et a appelé à avoir conscience des retombées de ces discours » a-t-il poursuivi.
M.B.Z
Commentaires (8)
Commenter@Citoyen_H
le bhiri, le khriji, le jbéli, el laarayedh, la mehrezia, el marzougui, la toumia, la barrique abbou, laadhiri, la bensedrine, le bensalem, le mourrou, le dilou; eux, le Lagloum n'est pas le vrai indice de leur corruption mais leurs fesses, Je vous propose de regarder de ce côté là et vous allez vous rendre compte de l'ampleur de la corruption....seule exception Mehrzia, quant à elle, elle avait des fesses depuis son séjour en France, cependant, il y a un autre indice pour son cas, mais je préfère l'autocensure pour ne pas embarrasser l'équipe de BN....
@Pan
La mutation à laquelle vous faites allusion n'a pas meilleur exemple que celui des charognards de la trika:
le bhiri, le khriji, le jbéli, el laarayedh, la mehrezia, el marzougui, la toumia, la barrique abbou, laadhiri, la bensedrine, le bensalem, le mourrou, le dilou etc... +'.
Excellente remarque.
Salutations.
Et dire
Je cherche la traduction du mot Lagloum
Merci à tous ceux qui me donnent la bonne traduction.
Un ministre bavard pour du bidon
Des ministres bidons
Attention
le "il" est une erreur. Soit c "elle" en reférant à la loi, soit "ce" qui donnerait: que ce n'est que la goutte (...)
B.N : Merci d'avoir attiré notre attention.
CATALOGUE 2018 DES ENEMIS MORTELS DE LA NATION TUNISIENNE :
La sauvegarde de la Tunisie passe nécessairement par la neutralisation de ces ennemis jurés de notre Nation.
La Tunisie court un risque de guerre civile lors de laquelle nos forces de l'ordre auront à combattre plusieurs factions, mais surtout des groupes armés Jihadistes ayant acquis une forte expérience de guérilla en Libye, en Syrie, et en Irak.
La Tunisie et les Tunisiens, ayant participé a la destruction et la déstabilisation de pays comme l'Egypte, la Syrie, l'Irak, et le Yémen, et ayant comploté contre la Nation algérienne, risquent fort de se retrouver isolés surtout dans un contexte ou Donald Trump a la Maison Blanche, planifie la mise à l'écart des pays ayant en leurs gouvernements une forte composante d'islamistes.
LES BEURRES :
Il s'agit de Tunisiens établis en Europe et nés ou non sur ce continent, et vouant à la Tunisie une haine et une envie remontant à l'époque de Ben Ali et quand les Tunisiens jouissaient d'une stabilité et d'une prospérité inédites pour un pays ne disposant pas de ressources pétrolières importantes. Cette classe pauvre ou aisée, éduquée ou prolétaire, est dépourvue de tout patriotisme. L'on retrouve au sein de cette catégorie ceux des quartiers pauvres qui ont participé au Jihad et donc a des génocides et crimes de guerre, en Syrie, en Libye, ou en Irak, mais aussi ceux qui de leurs bases universitaires ont subi un recrutement et un formatage en Europe ou aux Etats Unis par les branches de la CIA et du Mossad. Certains se sont même retrouvés à l'ANC ou ils ont préconisé un respect et une entente sans conditions avec les islamistes Tunisiens. Il s'agit d'individus très dangereux puisqu'ils possèdent en général la double nationalité et peuvent se déplacer en Europe et aux Etats Unis et donc intégrer de façon régulière les lobbys sionistes qui les financent et qui les forment. Les lois absurdes prévoyant la nomination de députés élus dans des régions se trouvant en dehors du territoire Tunisien, ont grandement facilité leur impact néfaste sur l'avenir et la survie de la Nation Tunisienne.
LES ISLAMISTES TUNISIENS :
Leur origine idéologique remonte à Jamal Al Dine Al Afghani, agent de Londres et de son empire ayant eu pour mission de créer un mouvement de pan-islamisme qui enrayerait le mouvement nationaliste anti-colonialiste Egyptien a une époque ou le Canal de Suez constituait un lieu stratégique pour l'empire Anglais. La première mosquée des frères Musulmans fut bâtie à Ismaïlia en Egypte grâce un compte en banque en Livres Sterling de la Compagnie Britannique du Canal de Suez. Les islamistes Tunisiens ont connu une ascension fulgurante suite à la révolution de l'Ayatollah Ruhallah Khomeiny. A cette époque beaucoup ont bénéficié de bourses du gouvernement Saoudien. Certains ont même effectué le Jihad en Afghanistan et donc ont subi des entrainements intensifs dans les camps Pakistanais de la CIA et du MI6. Leurs cerveaux disposent tous de doubles Nationalités Britanniques et Américaines. Leur mission est de détruire la République Tunisienne par la force et d'y établir un Califat qui rejoindra la Ouma. Leur législation suprême est la Chariaa.
LES DROITS DE L'HOMMISTES TUNISIENS :
Cupides et souffrant d'un régionalisme prononcé, ils constituent la classe des traitres interne à la Tunisie et au territoire Tunisien. Comme pour les deux catégories ci-dessus, ils ont en général bénéficié de fonds déposés dans des comptes a l'étranger afin de débuter des campagnes médiatiques préconisant un respect des droits de l'homme en Tunisie a une époque ou la Tunisie faisait face, comme pour l'Algérie, a un complot terroriste islamiste concomitant a la guerre du Jihad Afghan. Leur mission réelle n'est bien sur pas les droits de l'homme, mais la protection et l'avènement des forces islamistes Tunisiennes. Beaucoup sont avocats ou médecins mais ils ont en commun un enrichissement rapide dont l'origine est un gain en devises sous formes de bourses, et de prix des droits de l'homme obtenus des gouvernements Américains ou Européens, ou des lobby sionistes Israéliens ou de Hollywood et autres Think Tank sionistes combattant l'idéologie anti-colonialiste et anti-Israël du Nationalisme Arabe.
JOHN WAYNE