Le député et ancien ministre, Samir Dilou, a commenté, lundi 29 août 2022, l’actualité politique notant que tout le monde est perdant, y compris le chef de l’État Kaïs Saïed, compte tenu de la situation générale du pays.
Selon Samir Dilou, Kaïs Saïed n’a réussi dans aucun des défis auxquels fait face le pays notamment la résolution de la crise socio-économique. « Il n’a pas de compétence économique et n’a pas suivi la voie démocratique, non plus », a-t-il indiqué au micro de l’émission 90 Minutes sur IFM.
« Kaïs Saïed gouverne par les appareils et il considère qu’il a raison parce qu’il le dit et l’impose à tout le monde. Il refuse tout débat », a-t-il ajouté rappelant l’échec de la consultation électronique que le président de la République a qualifié de réussite.
Il a, par ailleurs, laissé entendre que l’opinion publique était encore dans le déni car celle-ci se plaint de la flambée des prix mais n’arrive pas à admettre que cela est à cause de Kaïs Saïed. Il a ajouté, dans ce sens, que l’opinion publique était en proie à une grande confusion, d'un côté de par l'échec de Kaïs Saïed et de l'autre de par la promiscuité entre l’opposition qui lutte contre Kaïs Saïed et l’alternative qui veut s’y substituer.
N.J.
Non bien sûr, c'est de la roublardise avant tout.
Pourquoi n'a-t-il pas parlé de l'état dans lequel ils ont laissé le pays ?
Alors, les discours à 50 millièmes on s'en moque.
Vous êtes Morts et Maudits.
Intaha ya kallaba wa moujrmine bâa wou rawwah
Attend un peu que les procès de Feus Belaid et Brahmi soient relancés et tu verras la suite des condamnations !ni
Mais nous le pays
-De le canicule
- de la coupure de la steg et de la sonede
- de l'augmentation des accidents de la route
- manque de certains produits de première nécessité dans le marché
etc...etc
Mais il a oublié les partis qui mettent le bâton de les roues
Monsieur Dilou Vous êtes malhonnête voire un lâche .
Tout le monde parle de 6 à 7 % d'électeurs, ayant assisté au référendum en Tunisie et de moins de 1 % à l'étranger. Même les tricheries de Bouasker ont été détectées par les observateurs, preuves à l'appui. Tarak Bahlaoui, ne s'arrête pas là. Au lieu de revenir sur le refus de Kaïs Saïed, du classement de la Tunisie par le FMI et son conflit avec cette institution bancaire, par sa fameuse phrase de «Ommèk Sannèfa», Bahlaoui soutenu par la modératrice des béni-oui-oui, change le cap du problème de la Tunisie avec le FMI, par le refus de tous les opposants du coup d'Etat de Kaïs, de l'endettement de la Tunisie unilatéralement par une seule personne mortelle comme nous tous les êtres humains, sans parlement et sans Institutions républicaines pour superviser l'argent du FMI.
Tarak Bahlaoui, oublie les 60 millions de dinars dilapidés par Kaïs Saïed pour ce non-sens illégal et anticonstitutionnel, d'un référendum «karakouz» qu'il impose au peuple tunisien par la force des armes à feu de nos propres Forces armées. Il ne cherche qu'à transformer l'ayant droit à l'opposition contre le coup d'Etat du 25 juillet 2021, en les fautifs de l'actuelle situation sociopolitique précaire de la Tunisie. Un menteur sans foi ni loi, qui se prend pour plus malin que son interlocuteur l'avocat Samir Dilou, parce qu'il sait qu'un tel vrai politicien comme Samir Dilou, ne pourra entrer avec lui dans une discussion pouvant légitimer le moindre passage concernant l'ensemble du processus illégal, illégitime et anticonstitutionnel du coup d'Etat de Kaïs Saïed. S'il était un vrai journaliste, il n'aurait jamais vomis de telles malhonnêtetés punissables par la loi en Allemagne. S'il n'est pas bien instruit et bien informé ou partial, suivant ses profits personnels avec la machinerie du coup d'Etat du 25 juillet 2021, qu'il ait le courage de le dire explicitement, afin qu'il subisse les conséquences de l'après Kaïs Saïed.
Trois longues années que Kaïs Saïed est au pouvoir et plus d'une année qu'il a le pouvoir absolu sur l'ensemble des Institutions de l'Etat tunisien. Il a tout fait jusqu'aux kidnappings de Bhiri et de Jbali puus l'appel de Rached Ghannouchi, pour l'humilier par un interrogatoire policier au sujet d'un simple mot de «tyrans» ou «Taghout». Il a tout fait pour incriminer Rached Ghannouchi et son parti d'Ennahdha sans avoir trouvé le moindre justificatif aux mensonges qu'on entend depuis 12 ans contre le premier parti politique de la Tunisie Ennahdha. Malgré tout, ce comique Tarak Bahlaoui, persiste et signe par sa haine d'amateur du journalisme, que le problème de la Tunisie réside en la personne de Rached Ghanbnouchi. Il veut le changer par un Francisé vendu comme lui, source principale de l'appauvrissement de la Tunisie.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
. 2021-2022 on est tous perdants seulement Mr dilou a omit qu'il était parmi les gagnants pendant la période 2011-2021
Il ne veut pas comprendre que ni lui ni sa nahdha n'a la compétence nécessaire pour être dans la politique.
C'est pour ça qu'il parle pour ne rien dire sauf par jalousie.
Donc assez de bêtises et de cirque de m'as-tu vu, tout le monde a compris que tu es vide ya dilou et que tu te fais chaque fois ridicule.
Va dormir dans ton foin et cette manière de réagir n'est que signe de faiblesse et de complexe pervers, va-t-en ! Espèce d'imbécile heureux tu te crois malin alors que tu es vide archivide..
Mordha tokôodou toul ahyatkom mordha tsakhfou.
Au sortir de le seconde guerre mondiale, des psychiatres insatisfaits du traitement fait aux malades, considérant l'internement tel que pratiqué alors comme un scandale, ont inventé la psychiatrie dite institutionnelle.
La psychothérapie institutionnelle, philosophie et mode d'organisation du soin, devait avoir pour objet de "soigner les soignants" en vue d'offrir une meilleure qualité de soins aux aliénés.
Si les soignants sont regardés comme des patients, c'est que tout le corps de l'institution est conçu comme le lieu et l'objet de soins.
Par analogie, j'ai le sentiment qu'il serait pertinent de prescrire une thérapie collective.
Au moins pour tout le personnel politique, de toutes les administrations, les institutions et tous les appareils d'Etat, pour que de ce bain collectif sorte, peut-on espérer, une nouvelle élite tunisienne débarrassée de ses scories, fantasmes, délires et prétentions.
Les résultats ne sont pas garantis, mais on aura franchi une étape.
Par ricochet, on peut présumer d' un effet sur la population.
Puisqu'on aura du personnel empathique, guéri de ses suffisances, capable d'accorder intérêt à ce qui vient d'en-bas, cela freinerait du coup les élans de suiveurs tout aussi suffisants.
Nous n'aurons plus de Docteurs en tout, des sachants pour nous instruire, et des correcteurs pour nos censurer.
Mais, c'est déjà rêver.
Allez-vous en criminels kallaba wa moujrmine.
Vu ce que nous savons deux comme complexe et antinationaliste ils ne peuvent jamais le vote.
C'est des menteurs et ils resteront toujours des menteurs.
Le voter pourquoi ? Pour perdre le pouvoir avec lequel ils se sont enrichis et ont escroqué les tunisiens ?
C'est paradoxal et ridicule, donc ils arrêtent cette "namnama" de cirque.
Le vote est d'ailleurs personnel même s'ils avaient envie de le dire, ils l'auraient dit avant et non pas après, ces indignes et menteurs. Mrarek m'kalleba et ils le resteront toujours.
Deuxième élément, c'est de la faute de Kais Said que...
Ce type aura été député et ministre.
Cela donne une idée de la qualité du personnel po'iticien de cette décennie islamiste.
Et les islamistes vont censurer.
Chiche !
Le vote c'est un secret, ce qui démontre qu'ils n'ont aucune personnalité de venir après et après les résultats et de dire "je t'ai voté" car c'est un signe de faiblesse et de complexe composé.
Quels salauds ces khwanjias et ils le resteront toute leur vie.