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Samir Chtourou : 900 médecins quittent la Tunisie chaque année
28/01/2023 | 21:41
2 min
Samir Chtourou : 900 médecins quittent la Tunisie chaque année

 

Le président du Syndicat tunisien des médecins libéraux, Samir Chtourou a annoncé que les participants au congrès de l'organisation ont demandé une couverture sociale pour tous les Tunisiens et l'inclusion des porteurs de cartes de soin rouges et blanches dans le système de la CnamSamir Chtourou a, aussi, mis l'accent sur la question des départs des médecins à l'étranger.

Dans une déclaration accordée le 28 janvier 2023 à l’agence Tunis Afrique presse, Samir Chtourou a indiqué que les congressistes ont demandé l'élargissement du champ d'application de la Cnam afin de permettre à tous de bénéficier du droit à la santé. 

Samir Chtourou a appelé à la création d'un partenariat effectif entre les secteurs public et privé dans le cadre de la solidarité entre eux. Il a affirmé que la Tunisie devait se doter d'une loi relative à la responsabilité médicale afin de protéger le médecin et le patient et d’éviter les agressions subies par le personnel médical. Il a exigé la révision de la législation en vigueur tout en rappelant que les textes de lois en question dataient de plus de quarante ans.


Samir Chtourou a expliqué que les problématiques rencontrées par les médecins au sujet de la Cnam résultaient principalement des engagements pécuniaires de la caisse. Il a évoqué une faiblesse des ressources mobilisées par la Cnam, une difficulté au niveau des liquidités et les médicaments et maladies non pris en charge.

Samir Chtourou a, aussi, mis en garde contre le départ des médecins à l'étranger. Il a assuré que 900 médecins quittaient le pays chaque année. Il a précisé que mille médecins obtenaient leurs diplômes chaque année et que le secteur de la santé comptait seize mille médecins.

Il a fait remarquer que l'âge moyen des médecins en Tunisie était aux alentours de soixante ans. Il a estimé que le secteur de la santé n’était plus attractif en raison des problèmes financiers. Il a souligné la nécessité de débloquer la situation au niveau de la Cnam.


S.G

28/01/2023 | 21:41
2 min
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Commentaires
Zenoubia
Ont tte a fait raison
a posté le 29-01-2023 à 20:24
Les médecins qui fuient ce bateau qui est tout près de chavirer ils ont tout-à-fait raison ..ils n ont plus leurs places ici...les gros poissons sont devenus voraces ils ne leur laissent rien....
Sami
Normaj
a posté le 29-01-2023 à 19:38
Au risque de déplaire voire de heurter,quand on examine la respectabilité du tunisien par les autorités ,l'on ne peut que conclure qu'il n'y a pas de places pour les médecins dans ce pays.bon certains continueront leur "business'juteux ,mais les autres ont bien fait de fuir
Ancien '?lu de la république française
Mr SAMIR, il ne faut pas faire attention aux insultes des islamistes et des traîtres de la Nation Tunisienne
a posté le 29-01-2023 à 18:39
Mr Samir chtourou , s'il vous plaît ne répondez pas aux insultes des traîtres de la Nation Tunisienne, ils ne connaissent pas la valeur d'elwattania, l'individu est d'origine libyenne, il n'a rien à voir avec l'islam et la Tunisie, il a la mémoire courte, il est tunisien par adoption, la Tunisie lui a donné une chance d'étudier, aujourd'hui il a retourné sa veste, il est devenu ingrat envers les personnes qui lui ont donné une chance d'ouvrir son clapet, il est certainement financé par les ennemis de l'islam, je ne cite pas son pseudo pour ne pas salir mes mains, juste un rappel pour lui rafraîchir la mémoire pour visiter les mosquées du monde, il faut avoir les moyens, s'il me contre dit je le défie, Mr SAMIR je vous assure c'est un grand menteur comme tous les autres et les islamistes, à la fin pour les insultes, elles ne sont que l'arme des faibles et des traîtres de la république Tunisienne
Alias
Sauve qui peut ....du service public !
a posté le 29-01-2023 à 18:12
La détérioration des conditions de travail des médecins est dû à la mainmise de l'ugtt sur le service public , et notamment les hôpitaux . Un portier affilé à l'ugtt a plus de poids qu'un chef de service , certains médecins sont constamment harcelés par le délégué syndical de leur hôpital et sont contrains de céder à ses caprices , comme par exemple , prêter une attention particulière à ses amis et proches . Ce n'est pas uniquement l'aspect matériel qui fait fuir les jeunes médecins mais aussi les conditions de travail décourageantes .
BORHAN
DES M'?DECIN...OUI MAIS !
a posté le 29-01-2023 à 15:31
La Tunisie produit des centaines de médecins par an mais est-ce qu'ils ont un niveau potable pour exercer le métier ?
Je rappelle que le niveau de l'enseignement général dans le pays ne cesse de se dégrader et ce, depuis des décennies.
Les jeunes médecins qui s'aventurent à quitter le pays (pour d'installer sous d'autres cieux !) ne sont pas considérés comme tels.
Ces sous-médecins sont affectés généralement à assurer des permanences de nuit, de weekend...
Ils vivent d'un salaire de misère.
Attention, ce n'est pas le père Noël !
Ils n'ont pas non plus un pouvoir décisionnel car leurs diplômes n'ont pas la valeur requise.
Par conséquent, nombreux qui se resouent à se reformer durant deux voire trois ans.
Nombreux aussi sont affectés dans l'arrière pays, les zones rurales désignés " désert médical " que les jeunes médecins européens, par exemple, refusent de s'y installer.
Sans oublier la nécessaire période d'adaptation et la maîtrise parfaite de la langue locale.
Je précise qu'à travers mon commentaire, je ne cherche pas à dénigrer nos jeunes médecins mais il faut toujours regarder la réalité en face.
Il s'agit d'une aventure à risques.
Pour un jeune médecin, il faut au minimum une décennie voire plus pour s'imposer.
Le problème pour la Tunisie, ce n'est pas uniquement les jeunes médecins qui fuient le pays
Les autres domaines, surtout scientifiques, sont aussi concernés par le fléau.
l'Europe, par exemple, a besoin d'un nombre considérable d'informaticiens, d'ingénieurs, d'infirmières,...
Enfin, la question que je me pose : qui est le grand perdant de ce " mal nécessaire " !?
S'agit-il d'un gâchis ou d'un atout pour un pays, comme la Tunisie, qui n'arrive pas à attribuer à sa jeunesse une VRAIE PLACE DE CHOIX au sein d'une société bloquée !
C'est ce que je crois.

Médecin
En Allémagne, la densité des médecins en libre pratique dans les villes tunisiennes est inacceptable!
a posté le 29-01-2023 à 15:05
Comment fonctionne la décision d'admission à l'assurance maladie ?
La décision est prise par le comité d'admission responsable localement du KV (Association des médecins de l'assurance maladie obligatoire) Le lieu où se situe votre futur cabinet est déterminant pour l'approbation. Le KV planifie les besoins en médecins généralistes et spécialistes pour votre Etat fédéral et réglemente le nombre de médecins qui peuvent s'établir dans leur domaine de responsabilité. Par conséquent, ils fournissent également des informations sur les sièges de médecin vacants.

Dans la zone de planification ouverte, il n'y a aucun problème avec l'approbation KV. Vous êtes libre de choisir le lieu de votre cabinet médical. Dans une zone de planification bloquée, une succursale en tant que médecin n'est pas si facilement possible. Vous devez attendre que le KV libère à nouveau un siège de médecin. Vous pouvez être mis sur liste d'attente au KV. Ceci est conseillé si vous êtes intéressé par un cabinet médical de longue durée dans la zone de planification concernée. De plus, la durée de la période d'attente compte comme critère pour pourvoir les postes vacants de médecin panel. Néanmoins, des alternatives subsistent pour réaliser votre souhait d'avoir votre propre pratique médicale.
A4
Et il s'en vont !!!
a posté le 29-01-2023 à 14:30
Pourquoi voulez-vous que ces gens acceptent de subir les choix débiles de "l'électeur moyen" qui ne vote que pour les assassins et les débiles mentaux ?
Ils resteront le jour où "l'électeur moyen" ne vote plus pour celui qui lui file un paquet de chocotom ou bien des recettes de ommek sannéfa.
En attendant, ils brûlent ...

BRULER (2)
Ecrit par A4 - Tunis, le 30 Octobre 2017

Ils s'en vont, ils s'enfuient, emportés par la houle
Emportés par les vagues, par les bateaux qui coulent
Ils s'en vont ça et là, emportés par les vents
Emportés bien au loin, vers des rêves mouvants
Et ils s'en vont ...

Ils s'en vont malgré tout, vers l'horizon qui glisse
Vers des terres inconnues sans index ou indice
Ils s'en vont malgré vous, vos prières hypocrites
Vos discours idiots et vos promesses sans suite
Et ils s'en vont ...

Ils s'en vont voir ailleurs, sous des cieux même noirs
Pour vous fuir, vos échecs, vos revers et déboires
Ils s'en vont les mains vides, n'emportant aucune miette
Vous laissant tout bouffer, affamés comme vous êtes
Et ils s'en vont ...

Ils s'en vont sans regret, sans même se retourner
En vous laissant le désert pour y gouverner
Ils s'en vont dégoûtés, ils en ont bien assez
De tous ces bons à rien, de tous ces bras cassés
Et ils s'en vont ...

Ils s'en vont obligés, tenter d'autres portes
Les votres sont fermées, leurs lettres sont mortes
Ils s'en vont et vous laissent dans un décor sordide
Obsédés comme vous êtes des rondeurs de vos bides
Et ils s'en vont ...

Ils s'en vont plein la tête d'images que rien n'efface
De votre bassesse et votre instinct de rapace
C'est bien à cause de vous qu'ils délaissent leurs amis
Qu'ils oublient leurs familles et haïssent leur pays
Et ils s'en vont !!!
FGH
+10000
a posté le à 16:13
Bravo pour ce post en poème qui résume tant de détresse et de laissez pour compte parmi nos jeunes devant l'indifférence crasse de ces soit disant élites politiques
A4
@FGH
a posté le à 19:55
Merci.
Il est malheureux de constater que 5 ans après la situation ne fait qu'empirer !!!
Houcine
Ajout.
a posté le 29-01-2023 à 13:45
Volontairement, j'avais négligé de situer nos médecins.
En effet, comme l'écrit @Mon, ils sont d'origine sociale aisée, favorisée comme on dit, et cela mérite réflexion.
Quand un pays scolarise une cohorte de près de 2000/an, et crée autant de diplômés, il génère une situation qui mérite rèfkexion et traitement.
En revanche, je ne vais pas pleurer sur le sort d'enfants de privilégiés, privilégiés eux-mêmes, qui voudraient nous alitoyer sur leur sort alors que des gens vivent à côté d'eux dans la misère, et ce depuis des générations, et restent dignes.
Parce que le pauvre n'a que sa dignité. Il l'a soigne.
Le Bourgeois, l'enfant de celui et celle qui n'ont jamais manqué, qui ont des réseaux, des relations, capital social durait Bourdieu, ne sont pas à plaindre.
Un peu de sens du commun, le souci de l'autre, c'est le minimum requis pour se dire citoyen.
Moi, j'ai connu la misère noire, le mépris, la famille aussi, et on a fait ce qu'il fallait pour m'empêcher de poursuivre des études.
Ce sont des chrétiens qui m'ont offert leur aide, ouvert les bras, pour m'accompagner.
Pas utile d'en dire davantage.
Alors, la dignité, c'est aussi se garder de se croire le croire le centre du monde.
Chacun de sa place doit agir, penser, faire collectif si l'on veut que ce pays puisse vivre, exister dignement, aussi.
Ancien '?lu de la république française
Vous avez raison de citer les personnes qui vous ont tendu la main. Tant qu'il y aura de la haine entre les musulmans on ne deviendra jamais une grande force
a posté le à 18:15
Mr houssine vous avez cité les personnes qui vous ont tendu la main, je suis d'accord avec vous, je viens de passer presque 2 mois en Tunisie ( exactement du 30 octobre jusqu'au 25 décembre 2022) j'ai sillonné énormément de régions tunisiennes, je peux vous dire une seule chose, je suis rentré en Tunisie j'ai trouvé les musulmans mais pas l'islam, je suis retourné en France j'ai trouvé l'islam mais pas les musulmans, vous avez raison quand vous avez dit ce sont les chrétiens qui vous ont tendu la main
Le cri du c'?ur
Qu'est ce qui retient nos jeunes dans notre pays ?
a posté le 29-01-2023 à 13:35
Posons cette question à ces autistes politiques et à ces partis déconnectés des réalités du pays qui se gargarisent de belles phrases et de bons slogans en oubliant le fond du problème :
Que faire pour que notre jeunesse participe au développement de ce pays ruine par ses enfants indignes
Abel Chater
Un *** sans foi ni loi, qui prend les Tunisiens pour des cons. Comme si les médecins ou d'autres émigrés tunisiens, annonçaient leur départ, souvent illégal, à quiconque ou qu'ils puissent être recensés et suivis en dehors de par ces cartes consulaires, sans la moindre crédibilité !!!
a posté le 29-01-2023 à 12:51
Le président du Syndicat tunisien des médecins libéraux, Samir Chtourou, est un baratineur à deux sous troués. Il coqueline, comme s'il faisait quoi que ce soit pour aider les doctorants ou les «carabins», qui se préparent à entrer dans le marché du travail. Des médecins tunisiens chômeurs pour des années en Tunisie comme en Allemagne, comme en France, comme ailleurs, à chercher même une reconnaissance à moindre équivalence pour leurs diplômes tunisiens. Ils nous font pitié pour l'absence totale de soutien du côté tunisien. Même du côté de ces menteurs du Syndicat tunisien des médecins libéraux, qui ne sont bons qu'à leur soutirer de l'argent en leur imposant des cotisations. Les meilleurs d'entre les immigrés d'Allemagne parmi les soi-disant «médecins tunisiens», n'arrivent à peine qu'à s'acquérir des nuitées de garde dans des hôpitaux, de main en main, pour survivre et pour trouver un lieu chauffé pour échapper à ce froid meurtrier.
Il ne s'agit là en aucun cas d'une «fuite de médecins» en Tunisie. Il ne s'agit en vérité, que d'une trahison flagrante des «médecins tunisiens» contre leur propre peuple tunisien, dont ils abusent d'une manière criminelle, des plus mafieuses de ce monde. Qu'on imagine un tant soit peu, qu'ici en Allemagne la consultation d'un médecin sans couverture sociale, varie entre 25 '?' et 35 '?' en 2023. C'est-à-dire aux alentours du SMIG de deux à trois heures de travail d'un ouvrier simple. En Tunisie, nos médecins escroquent la même population qui leur a financé leurs études, en leur soutirant au moins 60,- dinars par consultation, même pour ausculter leurs enfants. Soixante dinars, sont autours du salaire de «TROIS JOURNEES DE TREAVAIL» pour un ouvrier simple. Un crime contre le peuple tunisien, dont ils ne pourront échapper soit à la colère du peuple tunisien, soit à la colère de notre Créateur Allah le Tout Puissant.
Au lieu que ce comique président du Syndicat tunisien des médecins libéraux, Samir Chtourou, appelle ses collègues à avoir pitié du peuple tunisien et à diminuer le prix de leurs consultations, en adéquation avec le niveau de vie et des difficultés économiques des Tunisiens, afin que ces mêmes Tunisiens puissent aller se faire consulter sans s'appauvrir, il nous parle de 900 médecins qui quittent la Tunisie chaque année, du moment qu'on trouve un médecin à chaque tournant en Tunisie et que leurs cliniques dont ils sont actionnaires pratiquants, nous poussent comme des champignons.
Khafou Allah yè Nèss et regardez de vos propres yeux ce nouveau phénomène, de voir mourir prématurément, un grand nombre de ces médecins avides de profit, qui trahissent leur propre Serment d'Hippocrate.
Allah yostir Tounes.
Nino
trop trop de diplomés
a posté le 29-01-2023 à 12:19
1000 - 900 = 100
donc le pays n'a besoin que de 100. pourquoi former 1000 ?
aberrant !!
Abel Chater
@Nino
a posté le à 13:46
Mille BRAVOS pour cette réflexion mathématique!!!
C'est une logique et une lucidité humaines, dont je n'y suis pas venu.
Bonne journée.
Lassaad
Ces médecins ingrats
a posté le 29-01-2023 à 10:46
Il est 22 heures. Ma femme demande à mon fils qui n'a pas eu de vacances depuis une éternité s'il a pu prendre une collation. Il répond par la négative, il n'a pas eu le temps. Il a passé sa journée au bloc opératoire et c'est seulement à ce moment là qu'elle a pu le joindre. Précision, c'est un dimanche de simple astreinte. Une scène devenue banale dans notre famille. C'est son devoir diriez vous et c'est le cas. Seulement, ce résident qui travaille comme un forcené, qui ne vit pas sa jeunesse, doit composer avec un salaire de misère ; choisir entre payer son loyer ou manger décemment. Il voit des bras cassés faire la grève et obtenir gain de cause, des primes affolantes, des voitures de service et des bons d'essence alors que les jeunes médecins avec leur bac plus onze se voient servir un discours moralisateur à coups de patrie et de devoirs. Ce garçon que j'ai vu grandir ne compte pas quitter son pays. Sera-t-il traité à la hauteur de son mérite ? J'en doute. Résistera-t- il à la tentation d'un ailleurs plus respectueux de son statut ? Je l'espère.
Alya
Bravo lassaad
a posté le à 12:15
Vous avez tout parfaitement dit. Votre fils avec son bac + 11 gagne un salaire de misère . Vous devez certainement l aider pour boucler ses fins de mois . Les gardes sont très mal payées et imposées. Les recommandations de l oms ont mis en garde la tunisie depuis Ben ali . Il a préféré accordé l apc aux seniors et envoyer les jeunes dans le secteurs privés. Pourtant les marocains et les algériens avaient très vite compris l enjeu.

Mon.
Comment
a posté le 29-01-2023 à 09:49
Les jeunes médecins sont pour la plupart issus de milieux aisés et donc ne veulent pas faire le sacrifice d'aller travailler hors des grandes villes, comparez le nombre de spécialistes à Tunis par nombre d'habitants par exemple avec Zaghouan, et vous verrez le fossé vertigineux entre les 2 taux, il y a même des spécialités qui n'existent qu'à Tunis comme l'endocrinologie, la psychiatrie etc... je pense que pour résoudre ce problème il faut que l'état les encourage en leur promettant de les gracier des impôts durant les 3 premières années, il faut aussi améliorer les infrastructures routières pour leur faciliter les déplacements pour qu'ils puissent aussi s'installer dans les petites villes.
Alya
On parle des hôpitaux
a posté le à 12:20
Tous les tunisiens oublient que l hôpital existe? Payer les médecins correctement permettrait d éviter la fuite vers le secteur privé, ou l etranger. Ceux qui partent à l etranger cherchent surtout à exercer dans une ambiance académique tout en gagnant leur vies..
veritas
Les hommes politiques sont les seuls responsables.
a posté le 29-01-2023 à 09:02
Les responsables politiques qui se sont relayés sur le pouvoir n'ont fait que pourrir la vie des tunisiens pour les pousser à l'émigration surtout après 2011 '?'.les gouvernants ne font rien pour maintenir les tunisiens dans les pays .
Ancien '?lu de la république française
Mr SAMIR vous avez raison les technocrates quittent la Tunisie, j'ai eu l'occasion de discuter avec les médecins, ils m'ont dis, il y'a des tunisiens et tunisiennes qui occupent des haut postes qui n'ont pas des diplômes pour nous commander bravo les islamistes
a posté le 29-01-2023 à 08:39
Mr SAMIR CHTOUTROU , je confirme ce que vous dites à l'hôpital de ma ville où je réside la majorité des médecins se sont des tunisiennes et des tunisiens, Mr SAMIR en Allemagne quand ils arrivent la première année, ils apprennent tout d'abord la langue puis en 2 années ils commencent à effectuer leur fonction, les médecins tunisiens et tunisiennes, ils sont obligés à passer des examens pour l'équivalence de leurs diplômes, il me semblait avant ils passent l'examen après un an , je pense aujourd'hui il faut 2 ans , une petite remarque, je pense que les pays européens veulent profiter de ses médecins pendant 2 ans , ils seront considérés comme des médecins internes à cause de l'équivalence de leurs diplômes, juste une question pourquoi dans le temps à HABIB BOURGUIBA Rahimahou ALLAH les diplômes tunisiens étaient équivalents aux diplômes de monde entier est ce que il y'a un politicien tunisien où tunisienne, qui puisse dire au peuple tunisien pourquoi les diplômes tunisiens ne sont plus équivalents aux diplômes européens où américains , j'attends la réponse dans un politicien menteur où une politicienne menteuse , ah je pleure mon pays d'origine, j'ai honte pour les traîtres , les corrompus et les islamistes ils ont tout détruit
Ancien '?lu de la république française
correction
a posté le à 11:41
d'un politicien
retraité
c'estun moyen d'exporter
a posté le 29-01-2023 à 08:36
puisque nos exportations sont limitées c'est un moyen d'exporter nos médecins et nos ingénieurs formés dans l'espoir d'apporter des devises qui manquent cruellement au pays normalement ils doivent servir en premier les citoyens de leur pays pendant au moins 10 ans dans les structures de santé publique et privées pour rembourser les frais de leur formation supportés par la communauté nationale a payé . la CNAM doit restructurer sa gestion et son personnel pléthorique pour assurer une bonne prise en charge de toutes les maladies de ses assurés cotisants .
Alya
En ce qui concerne les ingenieurs
a posté le à 12:24
80/00 des ingénieurs émigrent? J ai regardé les salaires proposés par les sociétés privées aux ingénieurs tunisiens issus d écoles intégrés après prépa , entre 1200dt et 1600 dt . Bravo!@@@@@@@@@
Lassaad
Lithanie indigeste
a posté le à 11:05
Bonjour, vous paraissez bien informé. Pouvez-vous nous éclairer sur ces "frais de formation supportés par la communauté"? Cordialement.
Lahouij
Comentair
a posté le 29-01-2023 à 06:10
Mois je suis un simple ouvrir et j'ai cing enfants il sont tous les bacs plus cing et bac plus Neuf et le gouvernement tunisien et le entreprise Tunisien il sont pas donné de travail a mes enfants mais les entreprises étrangères il sont donnés du travail a mes enfants
veritas
Encore un lahouij
a posté le à 09:04
'?a promet '?'.pas d'amalgame mais c'est une vérité.
Houcine
L'exode des médecins..
a posté le 29-01-2023 à 03:10
L'émigration des médecins, des gens qualifiés, en général, est un phénomène répandu, il suffit de se rendre dans un hôpital français pour y rencontrer des professionnels venus des pays du Maghreb.
C'est une migration récente, je ne fais pas mention de ceux nés et formés sur place et dont les ascendants sont des immigrés.
Il faut croire qu'il est plus facile de faire carrière même si l'on sait que les barrières sont grandes, il est permis par exemple à un médecin d'exercer en qualité d'interne durant une bonne décennie avant d'obtenir la certification d'une équivalence de titre selon les informations dont je dispose.
Cela passe souvent par une demande de naturalisation.
De façon générale, on parle de "fuite des cerveaux" depuis des décennies, l'ONU l'a relevé, et les pays Occidentaux profitent d'une manne qui ne leur aura rien coûté, ce qui revient à une nouvelle manière ou la poursuite du pillage de nos pays.
Le citoyen ayant bénéficié d'une formation longue et coûteuse pour la collectivité doit à minima rendre au pays à hauteur de ce qu'il a reçu.
Mais, pour cela, il faut transcender ses égoïsmes et penser et agir en citoyen.
C'est sans doute trop en demander....
Sud Sud
Et pour quels résultats concernant la France ?
a posté le 29-01-2023 à 00:50
Sinon l'exploitation et la misère parmis les compatriotes mal chanceux et chanceuses qui survivent en banlieues pour cause de gain insuffisant pour vivre dignement.
Bien sûr pas de dépaysement. L'ablation, kaftaji, fricassée, brin au thon, makrouna, ras allouch, oui. Pas de dépaysement garenti.
Restez chez vous rien que pat fierté et lutter car la vie est faite de luttes quotidiennes.
Nombreux jeunes médecins privés, avident de richesse rapide,à Gabès, je ne sais par quel miracle, oscultent journalierement au delà de 80 patient. Pourquoi ne pas oser le sud ou les coins lointains pour exercer ? Ce n'est que le prolongement de Tunis, la capitale. Concurrencer ces envieux à la recherche de la fortune rapide vous concèdent des patients pour des meilleurs traitement et tout le monde ne peut que se porter mieux dans son pays fier et respecté.
Judili58
LA CNAM !!!!!!!!
a posté le 28-01-2023 à 22:18
Les médecins libéraux ont raison de pointer la CNAM pour assurer l'accès aux soins pour tous. Néanmoins ils doivent comprendre que notre économie ne peut pas supporter un financement des soins basé sur le remboursement à l'acte. Ce qui se passe depuis la création de la CNAM c'est une inflations des dépenses de soins avec une augmentation continue de la part supportée par le citoyen qui se trouve pris en tenailles entre la CNAM d'une part qui ne cesse de baisser ses prestations et les prestataires de soins qui augmentent les actes pour juguler la baisse de leurs activités générée par la défaillance de la CNAM.