
Le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Samir Cheffi, a indiqué ce jeudi 6 octobre 2016, sur Express FM, que la situation difficile que traverse la Tunisie est un fait admis par tous, mais que ce n’est pas à la classe la plus défavorisée d’en supporter les répercussions et de faire preuve de sacrifice.
« Les ouvriers et les salariés modestes sont ceux qui payent en règle leurs impôts et qui payent donc pour les plus riches. Je ne pense pas que les pauvres ont encore quelque chose à sacrifier et malgré cela nous nous sommes dits prêts à aider notre pays avec tout ce qui est en notre pouvoir de donner » a-t-il souligné, ajoutant que la condition à cela est que le gouvernement applique la justice fiscale énoncée dans le document de Carthage et instaure une politique fiscale équitable et efficace.
« Je vous donne un chiffre : la somme due par un nombre d’entreprises à l’Etat, en terme de ressources fiscales, est de 7000 millions de dinars », a enfin conclu M. Cheffi.
M.B.Z

Commentaires (16)
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@ridha
C'est finalement, le même concept que l'assurance auto, maison, etc...
@DHEJ
Quel génie !
1000 milliards !!!
Et on ose encore dépouiller le pauvre salarié dont on prélève tout à la source.!
Sur la justice fiscale sans prétention
L'autre problème est celui des classes moyennes qui ont assuré le développement de notre pays et qui sont en voie de paupérisation depuis plusieurs années.Mais le fait que l'impôt leur soit prélevé à la source n'explique pas toujours qu'elles sont quittes avec le fisc et je reste étonné de voir certains de leurs représentants rouler carosse et posséder des résidences secondaires. Il existe en effet pour certanis d'entre sources de revenus que le seul salaire (cours particuliers, héritage , commissions pour tel ou tel service, dessous de tables, travail au noir).J'insiste pour dire qu'il ne s'agit que de certains représentants de cette classe sociale.
Reste le problème des hauts revenus. Si la fraude fiscale due aux entreprise ne s'élevait qu'à 7000 millions de dinars comme l'avance Monsieur Cheffi on serait classé au Top ten des pays concernant la lutte anti-fraude fiscale. Et puis d'où tient t'il ce chiffre Monsieur Cheffi. Encore un occasion de monter les Tunisiens les uns contre les autres. La justice fiscale est une affaire de l'état et non de palabres au café du commerce du coin. Il doit se donner le moyen d'établir la justice fiscale par des vérifications en embauchant suffisamment d'Inspecteur des impôts pour cette tâche. Encore faut il que ces inspecteurs ne soient pas eux mêmes corrompus!
Yo9tel el mayet w yemchi fi zneztou
Maintenant qu'il n'y a plus rien à faire que vendre les meubles.
Ces criminels méritent d'être jugés selon les dispositions de la loi antiterroristes.
Arrêtez d'être mauvaises langues
Souvenez-vous, dans vos chaines de traitres, quand vous montriez la pauvreté en boucle, insinuant que c'est la faute de Ben Ali.
Alors! où en êtes-vous maintenant? Bientôt plus aucun pauvres! Tous morts! Je vous félicite et félicite au passage votre trahison.
Aujourd'hui, même les hauts responsables sont potentiellement pauvres, puisqu'à la merci des prêts internationaux.
Écoutez bande de gueux, je tiens absolument à vous donner une leçon de souveraineté. Celle que vous aurait donné Bourguiba. Celle que vous donne aujourd'hui, dans un cri venu des années soixante, ce grand homme, bizarrement mort.
Il s'agit bien sûr de Gamel Abd-Ennacer
https://www.youtube.com/watch?v=GoK3IDuwDgA
Apprenez ce lien et son contenu par coeur, vous, irresponsables qui empruntez à tire larigot.
Par coeur vous dis-je! Par coeur!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant souverainiste dans le pays de la trahison collective.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
SI LE FISC
mène une enquête sur les déclarations de revenus de tous ces affamés apparus de nulle part lors de l'après 2011, nous aurons largement de quoi rembourser notre dette extérieure, les doigts dans le nez.
Ce type d'opérations sournoises de communications déplacées, ont pour but de brouiller les pistes qui permettraient de remonter jusqu'aux véritables commanditaires de l'interminable et chaotique crise économique que nous vivons depuis la révolution de la brouette et du mulet.
margoulin
Toute l'année on ne parle que d'augmentation, de chantage et maintenant de racket...vive L'ugtt de hached pas celles des margoulins...comme Mr cheffi