« Je crois en la construction et non la fondation, et le sauvetage ne signifie nullement une nouvelle fondation ». C'est ce qu'a indiqué Sami Tahri, secrétaire général adjoint et porte-parole officiel de l’UGTT dans un post rendu public, ce vendredi 8 octobre 2021 sur sa page officielle Facebook.
Et d’enchaîner que le parlement actuel est « fini, mais il est nécessaire de reprendre cette institution lors de prochaines élections dans des délais raisonnables et à travers des institutions indépendantes rompant concrètement avec les contrebandiers, les corrompus, les lobbies des finances et ceux se cachant derrière les slogans religieux… ».
Le haut responsable syndical précise encore que la démocratie représentative demeure viable en Tunisie, « en cette étape et jusqu’à nouvel ordre ».
Et de conclure que le sauvetage reste d’ordre social et économique après le choc politique qui a démantelé le système mis en place durant la dernière décennie.
S.H
Un ignorant qui ne sait pas ce qu'est un TASSEMENT DIFF'?RENTIEL...
BAGHRALLAH FI ZAR-RAA TOUNESTAN.
Mais, les commentaires m'interpellent plus pour les commenter.
Sans être de l'UGTT ni de ses partisans, je constate que de plus en plus, on ne commente plus les idées et on se concentre sur le jugement de l'autre non sans préjugés.
Nous sommes tous susceptibles d'avoir certains préjugés sur des politiciens, des partis ou des associations nationales.
Mais faire des jugements négatifs une règle n'est pas de nature à faire avancer tout dialogue ni un minimum de cohésion nationale pour sortir de la crise.
Durant les dix dernières années, nous avons eu un tsunami de discours politiques ainsi qu'un déchainement de haine et de division. A quoi ça peut mener ?
Osons le changement vers le bien.
Pour revenir à l'article et sans porter de jugement sur l'UGTT, cette organisation nationale, parmi d'autres, a un rôle important à jouer dans le pays et peut changer vers le mieux.
Projetons nous vers l'avenir pour pouvoir le construire.