Le président de la République s’est réuni, vendredi 27 août 2021 au palais de Carthage, avec des représentants de l'Association professionnelle tunisienne des banques et des établissements financiers (APTBEF), a annoncé la présidence de la République dans un communiqué.
Lors de cette rencontre, le chef de l’Etat a eu connaissance des différentes mesures sur lesquelles s’est engagées l’APTBEF pour appuyer l’économie nationale et les classes sociales fragilisées.
Ces mesures consistent à :
- soutenir les petites et moyennes entreprises dont le nombre de salariés ne dépasse pas les 200 en leur accordant des prêts à court termes en pratiquant un taux d’intérêt qui ne dépasse pas le taux du marché monétaire (+2) hors découvert et ce sur une durée maximale d’un an
- verser les aides sociales exceptionnelles accordées par la Banque mondiale pour la lutte contre le Covid-19
- allouer 160 millions de dinars pour soutenir l’effort national de lutte contre e Covid-19 et le développement de l’éducation ; 50 millions de dinars de cette somme seront destinés à garantir la réussite de la rentrée scolaire.
Après avoir examiné ces mesures, le président de la République a adressé ses remerciements aux représentants de l’ APTBEF pour leurs efforts. « Vous avez pu fournir l’argent dont le peuple et l’Etat avaient besoin parce que vous êtes des patriotes libres. Vous avez réussi à surmonter tous les obstacles (…) A ce moment historique, vous participez à cette guerre. Nous sommes sur le même front, nous combattons pour la Tunisie, pour hisser le drapeau de la patrie, pour redistribuer les richesses de manière juste (…) C’est un combat de libération », a-t-il lancé.
Et d’ajouter : « Nous n’avons aucune intention de nuire aux hommes d’affaires, ceux qui sont honnêtes et qui respectent la loi. J’ai eu connaissance des sommes d’argent envoyées par des pays et dont l’Etat n’a pas pu profiter car ces sommes sont parties sur des comptes bancaires à l’étranger (…) Cela fait dix ans qu’ils pillent l’Etat et puis ils viennent revendiquer un gouvernement de salut (…) Je veillerai à ce que chaque centime aille là où il est destiné à et ceux qui en ont besoin ».
Plus tôt en juillet, le président de la République a appelé les institutions bancaires à fournir des efforts supplémentaires en cette période exceptionnelle que traverse le pays en baissant les taux d'intérêt, entre autres.
Le président de la République a réitéré encore une fois que le Parlement lui-même était une menace pour l’Etat. « Comment voulez-vous que je ne prenne pas des mesures exceptionnelles pour protéger l’Etat ?! Les gouvernements s’en iront mais l’Etat doit rester (…) Nous devons stopper tous ceux qui dépassent leurs limites quel que soit leur statut (…) ».
N.J.
Ce journal de BN s'appelle en vérité "Business News". Ledit Jamel Tazaki, l'utilise faussement et malhonnêtement chez les Allemands, comme étant une revue francophone de l'outre-mer, spécialisée dans les affaires sociopolitiques "Business" en langue française.
Maintenant je comprends pourquoi il utilise sa vraie identité avec son titre académique et pourquoi il utilise des chiffres et un jargon, que personne ne comprend ni qu'ils ne soient d'utilité à personne dans ce forum de BN, où tous les pets de ses mouches électroniques, ne tournent qu'autour de "Nadha", "nadda", "Rachiiid Ghannouchiii" et ses "islamistes".
De l'escroquerie, rien que de l'escroquerie!!!
Bonne journée.
Voyons quel a été le taux de participation en Allemagne :
Allemagne. Lors des élections fédérales, le taux de participation (quota) était généralement supérieur à 85 % jusqu'en 1983 ; depuis 1987, il est généralement inférieur à 80 %. Dans les élections d'?tat, il est généralement supérieur à 50 %, dans les élections locales, il est supérieur à 45 %. Lors des élections européennes de 2014, il était de 48,1 %.
Nous devons donc, en Allemagne, remettre le sort du pays entre les mains du président Frank-Walter Steinmeier ?
Les Académiciens n'investissent leur temps qu'à essayer de faire paraître un, deux ou trois articles par an, dans une des revues internationales de renommée, de leur spécialité. Non pas venir baratiner avec takilas, gg et karmoussa, qui utilisent leurs pets comme déodorant.
Je pense que Tazaki utilise ses écrits dans ce forum, pour son CV en Allemagne, parce que les Allemands ne connaissent pas l'environnement intellectuel de la Tunisie.
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je dirais une participation faible qui risque de s'aggraver avec le temps --> ce qui n'encourage pas de choisir un régime parlementaire.
2) quelques points faibles de l'élection législative de 2019 :
a) sur un million de Tunisien vivant en France seulement ~50000 ont été votés
et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 80% de la totalité de nos partis politiques n'était pas présente. --> en tout 10 sièges étaient réservé pour la France
b) En Italie seulement 5800 votants et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 95% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présente. --> en tout 3 sièges étaient réservés pour l'Italie --
c) Dans les pays arabes le nombre de votant étaient de 6800, et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 98% de la totalité de nos partis politiques n'était pas présente.
d) Au continent d'Amérique du nord le nombre des votants étaient de 4000 et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 99% de la totalité de nos partis politiques n'était pas présente.
e) En Allemagne le nombre des votants étaient de 4000 sur 100000 Tunisiens et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 95% de la totalité de nos partis politiques n'était pas présente.
Ennahdha a probablement gagné (et non pas mérité) autour de 17 sièges grâce aux Tunisiens à l'étranger et Ettayar autour de 10 sièges (il faut prendre le temps pour faire les calculs )
3) La même analyse es aussi valide pour l'élection législative de 2014. --> En 2014 le député représentant des Tunisiens de l'Allemagne a gagné son siège avec 207 voix sur 100000 tunisiens vivant en Allemagne.
Fazit: nos élections législatives ne sont pas fairs / justes envers les Tunisiens, envers la Tunisie mais aussi envers 90% des partis politiques qui ont très peu de financement afin de présenter des candidats dans toutes les circonscriptions électorales
4) Je passe maintenant à l'élection présidentielle de 2019 --> oui, l'élection présidentielle de 2019 était juste et fair, pourquoi? Parce que les différentes circonscriptions électorales avec de très faibles inscrits / votants et où 90% des partis politiques sont absents n'ont pratiquement pas d'influence sur le résultats cumulatif de l'élection présidentielle.
5) Normalement je suis pour un régime politique parlementaire, par contre mon intelligence logico-mathématique m'impose d'opter plutôt pour un régime politique présidentiel pour les raisons suivantes:
a) les différentes circonscriptions électorales avec de très faibles inscrits / votants et où 90% des partis politiques sont absents n'ont pratiquement pas d'influence sur le résultats cumulatif de l'élection présidentielle.
b) à l'élection présidentielle l'achat des voix par certains partis politiques corrompus n'a pratiquement que très peu d'influence sur le résultat final cumulatif. --> l'achat des voix ne fait un sens que dans les petites circonscriptions électorales à faible participations lors de l'élection législative.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien
-sur un million de Tunisiens
- 80% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents --> (seulement Si le pourcentage est inférieur à 2, on laisse le verbe au singulier)
-le nombre de votant était de
-il faut prendre le temps pour faire les calculs exacts
-résultat cumulatif
-à faible participation
- le fait d'avoir trop de petites circonscriptions électorales a permis à certains partis politiques de falsifier non seulement les résultats locaux mais implicitement / indirectement aussi le résultat global de l'élection législative
Fazit:
a) un régime parlementaire dans un petit pauvre pays avec moins de 3 millions de votants à 30% dispersés en de petites circonscriptions électorales est complètement absurde, Pourquoi? La réponse est évidente, dans les nombreuses petites circonscriptions électorales l'effet de la falsification, de l'achat des voix et de la manipulation est catastrophique sur le résultat global de l'élection législative. Puis seulement les partis politiques comme Ennahdha et Ettayar qui ont apparemment d'énormes financements ont pu avoir des candidats pratiquement dans toutes les circonscriptions électorales --> Ennahdha et Ettayar se sont partagés les sièges où ils étaient pratiquement les seuls à présenter / avoir des candidats:((
b) Par contre l'effet de la falsification, de l'achat des voix et de la manipulation n'a pratiquement que très peu d'influence sur le résultat cumulatif global à l'élection présidentielle.
C'est facile de critiquer. D'ailleurs où étiez-vous avant le 25 juillet 2021: on ne vous a pas entendu critiquer les islamistes pour leur gestion calamiteuse.
L'économie, le management, les finances , ce n'est pas votre fort .
Vous êtes complètement à côté.
Merci pour tous les économistes et les financiers de ne plus en parler.
Merci
Ceci est un échec total pour le gouvernement de Mechichi, pour Kais Saied et pour tous les partis en Tunisie et principalement Ennahdha comme le plus grand parti du parlement. Alors que les autres pays attirent des investissements réels pour lutter contre des pandémies réelles comme la cholera et la Tuberculose, Saied lui veut parler aux présidents des 20 des pandémies politiques. Il utilise un lexique propre à lui ou plutôt un lexique qu'on lui prépare pour pourrir la situation et des mots comme adran, majari, microubet, jaratim, khatar jatim font partie de ce lexique que des forces de mal dans l'entourage de Saied préparent pour créer un chaos au pays et mener leurs batailles idéologiques et les investissements et maa yaanfaou ananss ne les intéresse pas.
Et qui esquivent la justice et les quelques-uns qui ont eu un os à ronger de leur part, entre 2011 et 2015, continuent d'essayer de leur apporter des circonstances atténuantes, c'est des salauds qui s'achètent rien quave une cigarette pour trahir la Tunisie qui les a hébergés et nourris.
Les islamo-gauchistes et fascistes viennent nous donner des leçons du fonctionnement de la démocratie et viennent nous dire que "c'est normal et que la démocratie est soi-disant un consensus entre des intérêts différents". Ceci est du bla bla et une régurgitation d'une littérature mal digérée ou pas digérée du tout.
A ces islamo-fascistes. nous disons que les factions dans l'ARP n'avaient aucune légitimité pour prendre des décisions qui concernent le peuple tunisien. Ces factions minoritaires dans le pays ont oeuvré pour leurs intérêts. Elles ont conclu un accord avec le Qatar et la Turquie qui est la négation de la souveraineté de la Tunisie. Oui ils ont pris ces décisions en catimini et à la va-vite. Ces décisions sont désormais cadques.
C'est vous qui n'a rien digéré de la modernité et vous vous faites nostalgique de système de gouvernance des années 50 et 60 des pays du Moyen-Orient de l'époque.
Nous demandons donc à ceux qui cherchent à discréditer les décisions du président de cesser de parler de populisme. Ce n'est pas ainsi qu'on argumente. Le peuple a le premier et le dernier mot.
Plus de 33 jours personne ne travaille ni dans le public ni dans le privé parce que tout est arbitraire (Pas de justice , pas de discernement , que du populisme )
Ceci coute à la Tunisie plus 9 900 millions de dinars et ça continu ....
Sans confiance personne n'investit ou s'investit .
Lorsque les gens ont confiance dans leur président élu , ils sont plus susceptibles d'investir dans l'économie, de se conformer aux lois et de faire des sacrifices - comme payer des impôts plus élevés - pour le plus grand bien. Il renforce également le capital social et, avec lui, le respect des normes sociales comme la vaccination des enfants et le respect des biens publics.
La dyscalculie domine partout dans le pays, mais il n'est pas rare qu'ils aient même des diplômes d'études secondaires (BAC+..) ! Sobhène Rabbi!
Probablement offerts ou offerts par Sidi Mihriz (rathia Allah Alieh) !
Populisme est un terme né dans le champ littéraire au début du 20e siècle.
Il tentait de ramasser dans une définition unique les écrivains qui voulaient concentrer une attention plus particulière à la vie et usages des modestes.
Son importation dans le champ politique est une migration dont l'objectif est clair.
Toute parole politique tendant à prendre en compte et soin des déshérités, des gens sans grade ou de condition modeste est attaquée, déformée jusqu'à l'excès pour son tort de se préoccuper de ceux sans voix.
Ce n'est pas un concept, tout au plus une notion d'usage pour servir un dessein de disqualification de l'adversaire.
Elle a gagné ses lettres de "noblesse" chez les plumitifs, les pseudo-savants, la science Po et autres dérivés depuis que l'alternative a laissé place à l'alternance.
Le même remplace le même sous un apparat aux couleurs qui ne trompent que celui qui y veut croire.
Le peuple est divers. Et parler de peuple en Tunisie ressemble à une insulte tant les arrivistes et les suffisants tiennent le haut du pavé.
Ou croient encore y être les ordonnateurs du tout.
Il semble qu'un vent d'un souffle nouveau risque de les emporter.
C'est pourquoi beaucoup déjà regardent dans d'autres directions, manière peu habile de sauver une part de leurs prébendes.
Le temps nous affranchira.
Et, si la direction est maintenue l'on verra les nouveaux convertis à courir pour chanter les louanges de ce qu'ils combattaient il y a peu.
1. Toutes les ressources économiques et les politiques économiques doivent être consacrées à la satisfaction du peuple tunisien et en particulier les plus démunis d'entre eux.
2. Tous ceux qui ont détourné des fonds publics ou des fonds qui auraient dû aller dans les caisses de l'Etat en vue des politiques publiques, seront poursuivis.
3. Pour le président, la Tunisie est engagée dans une « guerre de libération » de ceux qui se sont emparés de l'Etat et qui ont privatisé l'Etat et ont détourné ses ressources.
4. La libération du pays et le recouvrement de sa souveraineté et le redressement de l'Etat passent avant toute autre considération. Il n'est pas question de revenir en arrière car l'ARP fut une menace contre l'Etat. Il n'est donc pas question de former un gouvernement d'union nationale avec ceux qui ont perverti l'Etat et l'ont détruit. Il faut d'abord restaurer l'autorité de l'Etat et ses capacités de gérer les ressources publiques avec des hommes et des femmes intègres.
Je dois le reconnaître avec beaucoup de neutralité, de foi et de conscience, que ce qui me fait vraiment peur du côté du président Kaïs Saïed, ce ne sont pas ses discours pêle-mêle, mais ce sont les traits de son visage, le regard aiguisé de ses yeux, l'apparence de l'irritation de ses nerfs et ses gesticulations tendues, où il n'y a rien de normal, qui pourrait écarter le doute de troubles de comportement.
La question qui reste grande ouverte, est-ce que la situation est encore gérable du côté des Etat-majors de notre armée nationale, ou est-ce qu'ils sont en train de soutenir les vacances de l'Etat tunisien, jusqu'à la faillite totale!!!
Allah yostir Tounes.
Es wird immer schöner, die Sache ist nicht mehr haltbar und nicht tragbar!
Wa rabbi Yoster !
IL faut faire face à toutes ses responsabilités et ses engagements pour comprendre quel sacrifice Mr. Kais Said est entrain de faire pour tous les Tunisiens et pour la Tunisie.
Mr. Kais Said est un héros qui ne s'est pas vendu comme votre clan RG aux corrompus.
L'occupation française est pour lui protectorat et vient aujourd'hui nous raconter de tahrir ?
Sinon pour la parlement et ses décisions tard la nuit, oui et c'est ça la démocratie, ils négocient pour des longues heures et la démocratie est par définition un consensus entre des intérêts différents. Personne au parlement n'a tous les pouvoirs pour dire 'koun fayakoun' donc les blocs parlementaires discutent tard la nuit aussi.
Kais Saied a maintenant tous les pouvoirs, un empereur, Kaiser, qu'il nous montre ses résultats. On en reparlera dans un an.
ET ceci est un principe que les penseurs des différentes cultures partagent :
Voltaire 'Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire.'
Imam Achafii 'Rayi sawab yahtamilou alkhaa warayouka khataa yahtamilou asawab'
En effet dès que ces limites sont régularisées par des lois inflexibles et indétournables, c'est la justice qui régnera et il sera impossible de voir des milliers voire des millions de citoyens survivre dans la misère totale et les 1% qui détiennent tout. Ce qui veut dire une politique économique totalement nouvelle et qui implique nécessairement le refus total et absolu de tous les instruments actuels du capitalisme dont le FMI, la BM etc'?'C'est une politique qui serait beaucoup plus efficace quand on est à plusieurs « pays » ensemble.
Demandez à Bouchlaka!
Où plutôt que la justice lui demande des comptes!
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La Tunisie ne peut-être construites sans le soutien et la participation de la totalité de notre peuple (femmes, hommes, vieux, jeunes et ceci indépendamment de l'appartenance religieuse: musulmans, juifs, chrétien ou autres) --> récemment j'ai regardé par hasard un discours sur YouTube de l'ex Président Habib Bourguiba (Allah Yarhmou) qui disait "la plus grande ressource de la Tunisie est son peuple et que c'est par son activité et son entière participation que notre pays pourrait surmonter les difficultés à venir." --> Dans le même discours, Bourguiba insistait "Les petites entreprises et les coopératives, en tant que formes de participation productive, devraient être promues, et il faudrait tout faire pour accroître leur productivité."
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Je voudrais insister que l'idée de Mr. Kais Said "de donner du pouvoir au peuple pour déterminer l'acheminement et le contenu du développement, et de contribuer efficacement à l'accroissement de la production et de la productivité demandé." n'est pas nouvelle --> Bourguiba l'a introduite déjà à partir des années 60 --> à mon Village Tazarka, les paysans ont crée une coopérative pour le transport de nos produits agricoles vers le marché centrale de Tunis --> ce qui a résolu un problème énorme de logistique grâce à une initiative locale (think global, act local). --> encourager les organisations autonomes issues du peuple pour impulser le développement autonome avec l'appui du peuple et ceci afin d'accroître le rendement et la productivité des masses.
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l'appui et l'engagement populaire est un moyen et une fin pour le développement socio-économique de la Tunisie. La participation populaire est l'unique force pour la détermination de processus de développement basé sur le peuple et la volonté du peuple --> sans négliger les actions de l'Etat qui devrait créer les conditions indispensables pour un tel pouvoir et faciliter ainsi la participation de tous les Tunisiens sans exception dans la vie économique et sociétale
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Le peuple devrait être entièrement impliqué, engagé afin de vouloir prendre l'initiative --> La Tunisie est dans l'obligation d'encourager la participation du peuple et promouvoir la responsabilité politique par l'Etat au peuple.
La suite est pour demain
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien
1. de l'indépendance:
bourguiba n'a pas obtenu l'indépendance. il a amplifié la dépendance de sa "omm hanoun" la France, qui le traite de RATON = far emmassakh !!!
mème ses discours, il les rédigeait en ... français !!!
tout est copié sur la France.
la justice rendue en Français, plusieurs années après l'indépendance.
enseignement copié sur sa France, inadapté à la réalité du pays. on en souffre de nos jours. des diplomés chomeurs ... des "ingenieur principal" ( senior) ... à 23 ans !!!
totalement inutile, polytechniciens polynuls ... et qui osent faire grève !!
Thailand jamais colonisée, s'en sort mieux .
Turquie jamais colonisée ... membre G20 .
2. de l'islam:
il a craché sur islam.
il n'a pas libéré la femme. il a interdit à la femme de pratiquer sa religion, ce que la colonisation n'a osé faire !!!
c'est un crime. si une femme ne peut se voiler dans un pays musulman, où peut elle le faire ?
3. de ses crimes:
- il a fait assassiner Ben Youssef. il aurait du ètre jugé , condamné dès 1987.
- 1200 morts par sa stupidité et son entètement, à Binzart en 63.
des démunis sacrifiés inutilement.
- il soutenait les réformes Ben Salah, puis l'envoie 10 ans en prison.
- 600 morts, émeutes du pain.
etc ...
4. de la palestine:
sa "Syassat al marahil" ne marche pas avec les sionistes: ils prennent TOUT et ne rendent rien. il n'a rien pigé au sionsime, qui est pire que le nazisme.
5. de ses origines:
juives, comme Kadafi, venant de libye:
https://www.youtube.com/watch?v=5p2rEw4X3R8
ce qui explique son arabophobie, islamophobie ...
hope this may help !!
En Tunisie" ils"confondent vie sociale et développement du pays avec l'enrichissement pour soi, et que pour vivre il faut vivre en nabab par tous les moyens soi politique, de monopole ou des avantages des produits subventionnés par l'état et de se substituer à l'état comme si l'état est obligé d'être une vache laitière; l'un des meilleurs et nombreux exemples c'est le transport du phosphate de Gafsa.
En Tunisie, il y a une énorme confusion entre travailler et devenir capitaliste, d'ailleurs c'est pour cela que le travail est négligé ou devenu secondaire, puisque celui qui espère devenir milliardaire justifie ses prétentions par ce que d'autres ont accompli et vacessayer de les imiter.
Ce qui fait que l'idée de s'enrichir n'est nullement lié au travail, mais comment trouver un moyen de manigance.
Un des exemples les plus répandus depuis quelques années en Tunisie.cest celui de bénéficier d'un énorme prêt de la part d'un état ou des organismes de l'état et lorsque le projet quoique rarement avant de déclarer la faillite la plupart du temps, c'est que le bénéficiaire ne pense jamais à des réinvestis segments pour contribuer au développement de l'état qui a pourtant été à l'origine de ses colossales rentrées d'argent, mais d'utiliser ses dividendes soit pour investir ailleurs ou pour se replacer dans des secteurs en substitut à l'état.
Voilà pourquoi dans chaque lieu, chaque secteur, chaque domaine et chaque marché, il y a un monopolisateurs et cent mille individu qui se battent quotidiennement avec les banques, formées par ces nouveaux riches, rien que pour avoir des prêts personnels pour survivre ou de faire la queue pour percevoir des aides sociales de la part de l'état.
Donc on tourne, on tourne et on revient à l'état qui se voit obligé par voie de conséquence de s'endetter auprès des banques mondiales ou de capter sur les dons, lesquels dons sont devenus source d'enrichissement et d'arnaque comme lorsqu'il y a par exemple pandémie et lorsque les bienfaiteurs pensent aider, comme le stipule pourtant l'islam et que par contre ces bienfaiteurs savent utiliser cette religion mieux que les islamistes puisque ces derniers ne pensent qu'à développer leurs estomacs.
Le Tunisien est victime de ce que l'on appelle "Learned helplessness":
https://www.linkedin.com/pulse/learned-helplessness-kusumanjalee-thilakarathna
-->
"not trying to get out of a negative situation because the past has taught them that they are helpless.", Martin Seligman
-->
"Learned helplessness can have a profound impact on mental health and well-being. Research shows that learned helplessness can be prevented or reversed by learning to view situations in a more positive way"
Fazit: il faut aider le Tunisien à retrouver la confiance en soi et en ses capacités afin de retrouver sa créativité... --> les solutions existent, il faut seulement aider le Tunisien à se débarrasser de ce que l'on appelle "Learned helplessness" (Impuissance apprise).
Très Cordialement
Jamel Tazarki
PS: La fuite "légale" des capitaux en devises étrangères est contrôlable, si notre ministère de finance ferait un bon travail de contrôle. Exemples:
a) il est possible de vérifier si certains entrepreneurs tunisiens "gonflent" artificiellement / injustement leurs gains nets en dinars afin de faire sortir le maximum de devises étrangères au nom du rapatriement des bénéfices de leur partenaires étrangers... --> Mr. Hédi Nouira était très intelligent pour ne pas se laisser prendre au piège de cet astuce (sans entrer dans les détails).
b) le gouvernement tunisien devrait imposer l'investissent d'au moins 50% des gains nets durant les 3 prochaines années (et ainsi de ne pas distribuer la totalité des gains nets sous forme de dividendes dont 50% ou plus quitte la Tunisie en nom du rapatriement)
c) je me demande souvent d'où provient le cuivre pour la production des câbles en Tunisie (le cuivre est de plus en plus rare et de plus en plus cher) --> manque de transparence qui nous conduit au doute...
etc., etc., etc.
Très important: ça serait très grave si l'Etat tunisien serait lui-même victime de ce que l'on appelle "Learned helplessness" --> le role du Président de la République en ces moments très difficiles est de rendre à l'Etat tunisien sa dignité après une décennie d'humiliation
ils courent le risque
La Tunisie ne peut-être construite
sa entière participation
vers le marché central
etc.
L'etat gagne bcp d'argent sur le dos du contribuable
Vous etes la seule personne qui puisse nous eclairer sur les distribution des dons et credits recu les 10 dernières annees
Les Tunisiens ont soif de savoir la verite
Dieu est avec le peuple tu'isien, à la bonheur.
Vous etes libre de faire ce que vous faites Mais l urgent des urgents est de nommer un CDG
Pour la Tunisie a l echelle
International
Les Tunisiens attendent de voir le nouveau gouvernement pour faire tourner les rouages de l administration qui stagnent