
L’avocate et épouse de Noureddine Bhiri, Saïda Akremi a indiqué, ce dimanche 2 janvier 2022, qu’elle n’a pas réussi à voir son époux à l’hôpital Habib Bougatfa, soulignant qu’elle ne sait pas s’il est mort ou encore vivant.
“J’ai fait un infarctus, mais j’ai signé les documents nécessaires pour sortir et j’assume les conséquences de mon état de santé. Je suis allée voir mon époux à l’hôpital et j’ai trouvé plus d’une centaine d'agents sécuritaires sur les lieux. Ils ont refusé à tout le monde de lui rendre visite, même au bâtonnier des avocats. Pour ma part, on m’a demandé de signer pour le visiter, mais signer quoi ? Personne ne m’a dit quoi ! Je ne signe aucun document ! De plus qu’est-ce que ça peut être à part son certificat de décès ? Je ne signerai rien et je ne l'ai pas vu. Je fais porter la responsabilité de tout ce qui arrive à Noureddine Bhiri au président de la République, et ses apprentis Taoufik Charfeddine et Najla Bouden”, indique -t-elle.
Rappelons que Noureddine Bhiri, assigné à résidence par le ministère de l'Intérieur, a été transporté à l'hôpital Habib Bougatfa à Bizerte après la dégradation de son état de santé.
Noureddine Bhiri a, rappelons-le, été arrêté dans la matinée de vendredi 31 décembre 2021 et conduit dans un lieu encore inconnu où il a été assigné à résidence.
S.H


Personne ne se réjouit de cette situation dans laquelle se trouve Bhiri ni de son état psychique ou physique.
Il faut arrêter de dramatiser la situation et faire toutes ces mises en scène politique.
On se demande jusqu'à aujourd'hui les femmes et les mères de ces jeunes soldats, hommes politiques, policiers et de tous ces innocents qui sont tombés sous les balles des groupes islamistes ou affiliés.
Vous pouvez versé des larmes de crocodile pour votre mari, mais rien ne rendre la vie des autres disparus.
C'est à la justice, et rien que la justice qui rendra verdict pour l'innocenté ou le condamner.
Il faudrait garder son calme, les " CHOUHA " et le spectacle de façade ne serviront à rien, et arrêter vos insultes envers les serviteurs de l'état dont votre avait fait parti dans le bon ou mauvais service.
Il ne faut surtout pas le relacher.
Elle dit q u elle a eu un infarctus et q u elle refuse de se faire traiter
C est une opération suicidaire
Il faut prendre en charge cette personne la convaincre de se faire soigner
Mais si c est de l intox ne soyez pas complices
Une tentative d'empoisonnement n'est pas à exclure, la mafia islamiste est capable de tout.
Vive SAIED Vive la Tunisie
on vous a pas obligé de signé sans lire le document , c'est quoi tout ce cinéma...
Elle passe son temps à lire et écrire des rapports
Histoire de souffrance de ne savoir comment va son mari.
Que pense-t-elle de l'épouse de Brahmi, veuve du fait des ordres des assassins qu'elle n'a jamais dénoncés ?
Elle serait même capable de nous inventer une fable du même acabit que son AVC....
Ils sont théâtraux et théâtreux, les frères et s'?urs.
Mais, nous avons déjà goûté au spectacle, et nous en avons compris l'essentiel: nous ne nous laisserons plus mener en bâteau.
Ma brave dame, rentre à la maison où tes frères te destinent.
N'est ce pas ?
La seule explication rationnelle est que ces gens ont méprisé les autres, leur vie, et craché sur ce qui pourrait me rapprocher d'eux.
Pas d'empathie.
Et, pas de recul face au chantage.
Bhiri et les autres morpions, les salauds, les terroristes doivent répondre de leurs forfaits.
On ne peut se réclamer de la justice quand on a organisé sa mort.
On ne peut clamer la liberté lorsqu'on en a privé autrui, et avec assurance et morgue.
Ils ont tout fait pour convaincre de leur inhumanité. Tant de mal, tant de mensonges et l'horreur du crime devenu ordinaire sous la férule de cette engeance ne peuvent que renforcer mon rejet.
Citoyen tunisien.