
Un mouvement de protestation a eu lieu vendredi 27 juin 2025 à Redeyef, dans le gouvernorat de Gafsa. Les habitants ont exprimé leur colère face aux coupures d’eau potable qui durent depuis plusieurs jours, en pleine vague de chaleur. Une situation jugée d’autant plus intolérable que, selon eux, les barrages sont pleins, mais l’eau n’arrive plus jusqu’aux robinets.
Les protestataires dénoncent une négligence flagrante des autorités et une gestion opaque des ressources hydrauliques. Ils appellent à des solutions urgentes pour garantir un accès régulier à cette ressource vitale.
La veille, le mouvement citoyen Yezzina a publié un communiqué adressé au président de la République ainsi qu’à l’ensemble des institutions de l’État. Le texte dénonce une marginalisation chronique de la région, une politique d’ignorance délibérée et l’échec des promesses récurrentes de développement. Le mouvement met en garde contre un climat social explosif, nourri par une accumulation de frustrations.
Le communiqué souligne la gravité de la crise actuelle, marquée par des pénuries d’eau fréquentes, la dégradation des services de santé, l’absence de moyens de transport fiables et la montée du chômage chez les jeunes. Il affirme que Redeyef, malgré les sacrifices consentis lors des luttes sociales passées, reste aujourd’hui livrée à elle-même.
Face à cette situation, Yezzina appelle les autorités à assumer leurs responsabilités en engageant sans délai une réponse concrète. Le mouvement exige notamment :
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L’envoi d’une délégation de haut niveau à Redeyef pour écouter les revendications de la population ;
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La réhabilitation immédiate des services essentiels, en particulier dans les domaines de la santé, de l’eau et des transports ;
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L’annonce d’un plan de développement spécifique à la région, avec un calendrier clair ;
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Une prise de parole officielle de la Présidence pour exposer la vision de l’État face aux problèmes que traverse la ville.
Le communiqué conclut en affirmant que le silence officiel ne fera que renforcer la colère populaire, et rappelle que Redeyef a toujours été un point de départ pour les grandes contestations sociales en Tunisie.
S.H
C'est le hatem c qui passait son temps à nous craché dessus nous les chameliers ?!!!
Il s'est réveillé za3ma ?
' Le Golfe avance, le Maghreb recule : deux vitesses, une fracture
Le Golfe investit, modernise, avance
Les pays du Golfe ' Arabie saoudite, Qatar, '?mirats ' ont compris une chose : le XXIe siècle est celui de la puissance douce (soft power), des grands projets structurants, de l'image, de l'influence.
Ils investissent massivement dans :
- les infrastructures modernes (villes nouvelles, autoroutes, universités, hôpitaux),
- les technologies, l'intelligence artificielle, la transition énergétique,
- le sport, la culture, les médias (Al Jazeera, beIN Sports, Expo, Coupe du Monde, etc.),
- l'éducation supérieure avec des partenariats internationaux.
Résultat : une dynamique de développement visible, contrôlée par une élite dirigeante, autoritaire mais stratège.
'? Et en parallèle, un investissement dans l'idéologie
Ces mêmes pays, paradoxalement, ont exporté depuis des décennies une forme d'islam rigoriste, conservateur, via :
- la formation de prédicateurs dans des écoles wahhabites,
- - le financement de mosquées et associations dans le Maghreb,
des chaînes de télévision religieuses diffusant un discours rétrograde et culpabilisant.
Ce double visage ' modernité chez eux, archaïsme exporté ' a eu un effet dévastateur dans certains pays maghrébins, où les élites n'ont ni su, ni pu, ni voulu contrer ce soft power religieux, faute de projet national fort.
' La Tunisie prise au piège
La Tunisie illustre ce déséquilibre :
- Une économie fragile, sous perfusion,
- Un '?tat désorganisé, incapable de planification,
- Une jeunesse désorientée, sans repères clairs,
- Une société tiraillée entre modernité avortée et discours religieux réactionnaire.
Pendant que le Golfe envoie ses élites étudier à l'étranger et construit des villes futuristes, il a aussi contribué à injecter un islam politique et dogmatique dans les sociétés maghrébines.
Pourquoi ce décalage ?
Le Golfe a l'argent et le pouvoir absolu : il peut planifier à long terme.
Le Maghreb a une démocratie fragile, sans projet collectif, minée par l'élite corrompue ou démissionnaire.
Le Golfe impose ses intérêts géopolitiques : mieux vaut un Maghreb faible, dépendant et divisé.
Conclusion
L'abrutissement idéologique n'est pas un accident. Il fait partie d'une stratégie d'influence. Et tant que le Maghreb ' et la Tunisie ' ne reprennent pas en main leur propre destin, éducation, culture, économie, ils resteront à la traîne, à tous les niveaux.
Le ministre des affaires sociales, M. Issam El-Ahmar, s'est réuni aujourd'hui vendredi 27 juin 2025, au siège du ministère, et une délégation du conseil d'administration du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), en visite de travail dans notre pays, en présence d'un certain nombre de Représentants du ministère.
La réunion a permis de passer en revue les relations de coopération mutuelle entre le Ministère des affaires sociales et l'UNICEF, de débattre des activités accomplies et d'évaluer les résultats des programmes de coopération entre la Tunisie et l'organisation pour la période 2021-2025.
Le ministre des affaires sociales a déclaré que la Tunisie est attentive au capital humain, qui incarne les principes de justice sociale qui sont contenus dans les choix du président de la République, nommé par l'intégration et l'harmonie de la coopération entre la Tunisie et l'UNICEF, en particulier en les sphères sociales qui signifient l'enfance, dans le contexte des projets les plus importants qui signifient ceux-ci. La catégorie est basée sur le programme de sécurité sociale qui permet aux enfants de s'élever avec une allocation familiale mensuelle, un programme contre l'abandon scolaire, une école de deuxième chance, l'alphabétisation, l'éducation des adultes, l'entourage des enfants autistes, le système de protection sociale et le travail anti-enfants dans le secteur non
Le Ministre a réaffirmé l'engagement de la Tunisie à obtenir des résultats professionnels fructueux, ce qui a contribué à promouvoir les droits de l'enfant et à assurer l'intégration sociale et économique de leurs familles, la Tunisie est une fois de plus prête à continuer à renforcer les relations de coopération commune avec l'UNICE
De leur côté, les représentants du conseil d'administration des Nations Unies pour l'enfance "UNICEF" ont valorisé le succès des projets de coopération entre la Tunisie et l'organisation et la riche expérience tunisienne dans le domaine, qui en a fait un modèle qui peut être sollicité par un certain nombre des pays, en plus de l'échange d'expériences et d'expériences tunisiennes avec d'autres pays, ils ont renouvelé l'engagement de l'UNICEF à continuer de travailler et de coopérer avec le gouvernement tunisien et de soutenir le succès des
Kais Saied lui-même, dans sa campagne électorale, a évoqué l'autonomie administrative et économique des régions, à la mode suisse, avec un gouvernement fédéral et il eté elus pour sa.
De plus, ces régions oubliées et délaissées sont productives et capables de s'assumer seules, comme cela a toujours été le cas depuis des milliers d'années.
Rappelez-vous les événements de Gafsa en 1980 qui n'avaient pour but que l'autonomie des gouvernorats du sud.
J'ai découvert une réalité plus complexe et surtout extrêmement clivante et dangeureuse
Il existe bel et bien des lobbies régionalistes criminels qui nuisent méthodiquement au développement durable de tous les territoires compris entre Douz et Tabarka
Amère découverte
Ces lobbies sophistiqués revanchards et toxiques MANIPULENT l'information transmise au Président
Je suis indirectement impliqué dans une étude de développement durable de la chaîne de valeur textile en Tunisie
Ce que fait le lobbies sahélien dans ce domaine comme dans d'autres est proprement criminel et extrêmement grave
Idem concernant un méga projet de développement d'infrastructures portuaires
POURQUOI le Président semble inconscient de la vilenie a l'oeuvre qui entrave radicalement le développement territorial des régions de l'intérieur ?

