
Le Réseau tunisien des droits et des libertés a publié un communiqué où il a annoncé la tenue de sa réunion périodique mardi 22 octobre 2024. L'ordre du jour portait sur l'évaluation de la situation politique générale du pays et sur l'état des droits et des libertés.
Les membres ont réaffirmé la nécessité de continuer à lutter contre toutes les violations, quel que soit le profil des victimes.
Le communiqué a également affirmé qu'il a été convenu d'organiser une série de mobilisations, avec la mise en place d'un calendrier d'activités, et de fixer les dates des prochaines réunions en vue de préparer ces actions à venir.
Le Réseau réaffirme que le combat pour la défense des droits et des libertés dans leur intégralité et leur universalité se poursuit. « L’objectif est de garantir que les voix des groupes marginalisés soient entendues et de défendre les valeurs de citoyenneté et de démocratie par tous les moyens pacifiques et légitimes », relève le communiqué.
On rappellera que le réseau est formé par treize associations et neuf partis politiques. Pour les organisations, il s'agit de la LTDH, le collectif Soumoud, le SNJT, le FTDES, l'UGET, la Dynamique féministe (comportant huit associations), l'ATFD, I-Watch, Intesection, ONDCE, Femmes et Leadership et Bayti. Quant aux partis, il s'agit du Parti des Travailleurs, Al Massar, Afek Tounes, Ettakatol, le Parti Socialiste, Al Qotb, Al Jomhouri, Attayar et le Parti Social-Libéral.
H.K
En revanche, ce qui est néfaste pour une société, c'est l'absence de mobilisation pour la défense des libertés fondamentales, des libertés démocratiques et des libertés individuelles.