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Refus de libération des étudiants auteurs d'une chanson satirique
Le juge en charge de l’affaire des auteurs d’une chanson satirique a refusé la demande de libération des deux jeunes étudiants, a appris Business News, mercredi 17 mai 2023.
La défense avait, pourtant, avancé des éléments prouvant que les deux jeunes hommes devaient passer des examens les deux prochains jours.
Deux étudiants ont, rappelons-le, été placés en détention la veille après la publication sur les réseaux sociaux d’une chanson satirique. Ils sont accusés d’atteinte à autrui sur les réseaux sociaux et d’imputation de faits illégaux à un fonctionnaire public.
L’avocate Imen Souissi a, de son côté, affirmé que les paroles de la chanson ne contenaient ni diffamation ni incitation exprimant sa surprise face à la qualification juridiques des faits reprochés à ses clients.
N.J
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Commentaires
SALIM
ET QUI VOUS A DIT QU'ILS SONT ARRETES SEULEMENT A CAUSE DE LA CHANSON.
a posté le 18-05-2023 à 09:54
Attendons les ANALYSES. et l'arrestation du troisième en fuite.
SALIM
SAYEBNI W HAK ALFIN(LAISSE MOI ET PRENEZ DEUX DINARD).ET IL Y A DES JOURNALISTES QUI DISENT QUE LA CHANSON EST INNOCENTE .TELLEMENT INNOCENTE QU'ELLE POURRAIT ETRE PROGRAMMEE DANS LES JARDINS D'ENFANTS!!!.
a posté le 18-05-2023 à 08:36
Le probleme de la TUNISIE, c'est ces quelques journalistes et avocats TRES MAL POLITISES qui se prennent pour des juges.Prochainement ,les instances des tribunaux seront remplacées par des conseils comprenant des avocats, des journalistes, des représentants de la ligue TRIFIENNE, du FORUM FTDES, de l'ATFD,..ET MEHDI JLASSI ou TRIFI serait président du conseil supérieur. Les avocats,au lieu de conseiller leurs clients, en demandant de présenter leurs excuses,et en demandant à leur syndicat estudiantin et à leur representants aux conseils des facultés de reporter les examens, persistent dans le deni et investissent, et en masse, dans ces affaires, pour des fins politiques et comme ça, il les noient. Quelques journalistes, qui se considerent représenter le 'quatriéme pouvoir' ,ne sont réellement que le CINQUIEME BATAILLON (ATTABOUR AL KHAMES).Un d'eux nie qu'il n'a dit que tous les policiers sont DES FCAYEL, mais il a dit,SEULEMENT ,qu'il ya des FCAYEL qui sont devenus ,ou qu'il cherchent de devenir des policiers. Qu'elle est la différence.Et l'animatrice ,en bonne conseillére,retroque pourquoi le syndicat sécuritaire n'a pas demandé LE DROIT DE REPONSE au lieu de porter plainte!!!.Et le chroniqueur enfonce le clou en disant TEXTO que la justice est ARRIEREE( EL KADHAA METKHALLAF!!!). OU était ils ces journalistes et chroniqueurs lorsque les anciennes syndicats sécuritaires jouent avec les MILLIARDS et installaient des tentes nous rappelant RABAA.
GZ
L 'Histoire repasse les plats.
a posté le 17-05-2023 à 17:27
Le 7 janvier 2011, une escouade de trente policiers procède à l'arrestation à Sfax, du rappeur Hamada Ben Amor connu sous le nom de scène "El Général" pour avoir mis en ligne une chanson dont le titre était "Président, ton peuple est mort".
On était le 7 janvier 2011.
On était le 7 janvier 2011.
Juan
despotisme rampant. inacceptable
a posté le 17-05-2023 à 15:39
la liberté d'expression, c'est fini.
no pasran.
no pasran.