Elle aura le temps de lire le code pénal


Ca lui apprendra de bien considérer les bornes de la liberté dite d'expression.

Pour les nullards qui n'ont toujours pas compris le vrai sens du mot démocratie, je me vois obligé de leur préciser ceci: la démocratie est une bonne chose jusqu'au moment où "JE" prends le pouvoir !!!

Bien fait pour elle pour son manque de civisme et pour le non Respect du Président de la République.

Bernard Minier disait

Ce qui s'exprime de plus en plus sur Internet au fil des ans, c'est la jalousie, la colère, l'étroitesse d'esprit, la violence, le chaos et le sectarisme. Autour de quelques îlots de réflexion et de sagesse, un océan de haine et d'intolérance. Cette maudite invention détruit un par un tous les fondements de nos civilisations. Le ciment de nos sociétés.
Fin de citation.
Il faut définir un projet politique pour agir dans ce monde. De la manière la plus générale, il faut parvenir, à concevoir et à mettre en place un ordre, non parce que l'ordre est bon en soi, mais parce que dans une situation de chaos, c'est l'ordre et non le désordre qui est d'actualité. Afin de préciser cette perspective et de lui donner une traduction politique, il faut introduire l'opposition entre la république et l'empire du chaos : il faut faire émerger la république, qui fait du peuple le sujet souverain et le protège. Comme telle, elle est la seule forme de résistance légitime à l'empire du chaos. je n'entend pas valoriser, à travers ce discours, l'?tat-nation souverain, dont je souligne au contraire la fragilité à notre époque. La république à laquelle je songe est et doit être citoyenne et les citoyens doivent nécessairement mettre à leurs programmes, désormais la lutte contre l'inégalité et la misère et pour l'extension de la souveraineté, de la culture, de la responsabilité civique et de la paix à toutes les classes populaires »

C'est le droit de la présidence de porter plainte, mais devant la justice civile. Les présidents Marzougui et feu Caid Essbssi n'ont jamais impliquer la justice militaire contre des civils.

La justice civile en ce pays est dans un état de mort cérébrale.
Précisement, du fait et par les combines de ceux qui ne cessent de parler démocratie.
Or, sans justice point de démocratie.
Par ailleurs, insulter Kais Saied, c'est faire montre de manque de civisme, puisqu'à travers sa personne on salit la fonction.
Pour mon compte, je préfére et de loin laisser mugir, injurier qui veut, puisqu'aussi bien la grossièreté que la vulgarité se fondent dans le costume des attaques mesquines qui salissent davantage leur auteur que celui visé.
Enfin, on a le droit de ne rien partager avec le Président, on peut lui reconnaître l'honnêteté qui manque cruellement à cette classe politique pourrie et achetée par une secte de violents, voleurs et brigands.
Voilà pourquoi je choisis Kais Saied.
Et ce qui me vaut d'être traité de groupie par un très grand journaliste.
Une République sans vertu, une démocratie sans ses institutions indépendantes, c'est comme un Mcdo, la photo est plus belle que le vrai, le contenu est fort loin de valoir ses promesses.

La demande de ne pas présenter des civiles devant la justice militaire est une des demandes clés de l'opposition démocratique depuis l'époque de Ben Ali. Je ne vois aucune raison de porter plainte contre cette blogueuse devant la justice militaire.
Certes la justice civile n'est pas idéale et n'est pas toujours mais ce n'est pas une raison de passer à la justice militaire. Il ne faut pas impliquer l'armée dans ces cas de disputes. '?a ne veut pas dire qu'on supporte les insultes de cette blogueuse mais c'est une question de principe. Le président est le chef de l'armée et bien sûr la justice militaire fait partie de l'armée. Pour garantir les droits des deux parties il faut laisser la justice civile trancher comme l'ont bien fait Marzougui et Caid Essebsi, sinon cette blogueuse peut dire a Kais Saied en citant Almoutanabi 'faanta alkhasmou walhakamou'

Quand on dit, on sait, et on le vérifie, qu'il n'est plus de justice en ce pays.
Quand on réclame le respect des institutions, que l'on souhaite que les controverses obéissent aux règles du débat argumenté, on nous répond essentialisme.
On est des fascistes, on est des groupies, on chercherait à restaurer la dictature.
Nous répondons:
Regardons ce qui a lieu, observons et analysons les faits, voyons ce que les uns et les autres mettent en acte, et déliberons sur ce qui a lieu.
Certains, les partisans de Ennahdha ou de telle mouvance y associée, nous parlent du passé, de l'hypothétique ou tout simplement à partir de leurs préjugés. Et prenant prétexte de ce qu'ils croient nous insultent.
Il faut être civilisé pour accepter le débat argumenté.
Car, cela suppose de s'affranchir, ou de maîtriser ses passions pour regarder l'autre comme citoyen et égal en dignité.
Ceux qui se plaisent à noircir les pages en affabulations, injures, insultes ou mensonges savent d'instinct -du moins peut-on l'espérer- qu'ils parasitent les échanges, ou par infantilisme veulent avoir raison du fait de leur décret.
C'est pourquoi, agacé par ces enfantillages, et parce que je refuse de me laisser insulter, j'ai dû céder à ces bassesses.
Souvent, j'ai ignoré, marquant mon mépris.
Donc, lorsqu'on écrit que la plainte contre la blogueuse eut dû relever du civil, c'est par déni du réel.
La seule institution, l'avais-je écrit, encore capable de n'obeir qu'à ses règles et normes c'est l'institution militaire.
Elle n'a pas été noyautée.
Du moins, j'ose l'espérer, moi qui n'ai pas la fibre militaire.
Un jour viendra...

Qu'est ce qu'on lui reproche ? Et quels sont les faits?

AHH BON espèce d'idiote pour guhanouchi et sa bande nahdhaoui il faut fermer sa gueule, ta prise de position démontre pour qui tu roules. Alors tu dois assumer et ne cherches pas de l'aide tu es cuite.

'?videment sous des piles de dossiers en attendant qu'on daigne la placer sur une autre pile comme tant de dossiers qui s'entasse et qui seront vite oubliés selon qu'on fasse parti de cette secte de traîtres ou non ...
Finalement la république de ben Ali c'était du petit lait à comparer à ce cirque Amar, pauvre pays la plongée dans le néant n'est pas prêt de se terminer ...

Mr le Président est entrain de lutter contre Al Fassidins. A dictator is in the makings.

Alors comme ça, on aurait arrêté cette charmante personne, nous dit BN, par ailleurs la plus fiable (si, si. . .vous moquez pas !) source d'information en Tunisie sinon au Maghreb (sans blague ?) "à cause d'un statut qu'elle a (ou aurait ?) posté sur Facebook.". . .!
Et que dit précisément ce fameux-fumeux "statut" qui vaut à note héroïne du jour les déboires et les déconvenues auxquels elle fait face. . . ?
Mystère et boule de suif. . . du moins pour ceux qui s'honorent (comme mézigue) de ne pas dépendre (ne l'ayant pas !) de fesse-book pour s'informer ou pour se tenir au courant de la marche du monde. . .
BN va-t-il s'enquérir de la position officielle (et non pas du missionnaire) du dénommé "Bouchlaka" quant à cet évènement planétaire, qui va certainement l'inciter à initier une pétition exigeant un non-lieu pour la blogueuse-blagueuse, réclamant pour solde de tout compte, qu'on lui attribue le deuxième prix ignobel de l'impolitesse de cette année, le premier ayant été déjà attribué haut la main et ex-aequo à Karraï et à Bouchlaka soi-même ?
Attendons de voir la suite des évènements et des non-évènements pour conjecturer à bon et à mauvais escient sur des péripéties dont Marcel Sembat !
MPP.

Akkacha commande et manipule Said plus que sa propre femme '?'Said doit évincer akkacha de carthage si non elle va encore lui causer beaucoup de torts durant les semaines et les mois à venir .

Cela se répète depuis un certain temps, et une pièce supplémentaire vient s'y ajouter.
Ce qui menacerait la "démocratie" et les libertés en Tunisie, c'est Kais Saied.
Je ne sais ce qu'a écrit cette dame qui n'est pas rapporté dans l'article, et ne dispose de rien pour accréditer la thèse d'une atteinte à sa liberté d'expression.
Bien sûr que je ne me range pas derrière ceux qui ne respectent pas les droits et libertés d'autrui, fût-ce le Président.
Cependant, si ce qui est écrit a quelque véracité, je persiste à penser qu'on est d'une vigilance extrême dans ce cas, ce qui est louable, et bien trop oublieux, négligent et parfois même complice dans des cas autrement plus graves et dont les responsables ne sont ni pris à partie, ni nommés ou dénoncés...
Mais, je félicite BN pour cette veille démocratique.
En revanche, l'idée et le postulat que nous serions en démocratie restent à démontrer.
Et, c'est là que gît le corps et le c'?ur du problème.
Car, si nous étions en démocratie, bien de ceux qui ont la faveur du moment n'auraient pas ou plus ni soutien, ni pouvoir, et encore moins la liberté de nous narguer.
Vive la démocratie.
Mais, pas à géométrie variable. Ni sous conditions de terreur, vol, magouille et meurtres.

Non Monsieur, nous ne sommes pas en démocratie. La Tunisie vit juste une mauvaise pièce de théâtre jouée par des acteurs de troisième catégorie qui n'arrêtent pas d'improviser depuis une décennie.

ou plus simplement: une merdocratie.