
En marge du début des épreuves du baccalauréat 2017, le ministre de l’Education par intérim, Slim Khalbous, s’est exprimé ce dimanche 4 juin 2017 sur la Télévision nationale pour annoncer que le calendrier scolaire 2017/2018 sera dévoilé demain, lundi 5 juin 2017.
« Ce calendrier est le fruit d’un accord total entre les différents intervenants du domaine de l’enseignement » a déclaré le ministre, qualifiant le nouveau calendrier de « moderne ».
Concernant les réformes entreprises par l’ancien ministre, Néji Jaloul, Slim Khalbouss a annoncé que pour la rentrée scolaire, elle sera maintenue au 14 ou 15 septembre avec une année scolaire plus longue pour que les élèves ne finissent pas l’année trop rapidement.
Il a également précisé que les dates des vacances des élèves du primaire, du secondaire et des étudiants universitaires seront rapprochées mentionnant que les vacances du mois de mars et décembre seront de retour comme l’avaient revendiqué les parents d’élèves.
K.H

Commentaires (14)
CommenterMédiocrité
Un ministre Bidon
C'est comme si M. Khalbous a bien resussi son année universitaire pourqu'on le gratifie en lui confiant un ministère régalien celui de l'Education Nationale, meme si ca n'est que du provisoir. Mais franchement le niveau et le background ¨Botoxé¨de M. Khalbous ne lui permettent meme pas de gerer une pharmacie...
Quel Gachis vraiment de tout ceder aux abrutis de syndicalistes, surtout apres un si brillant mandat de M. Jalloul.
si Jalloul l'a annoncé
Question
Nos zélites s'en fichent
Vivement la rentrée du premier octobre.....
Une fois, la France coloniale a pris en charge, l'éducation en Tunisie, elle avait introduit la rentrée du premier octobre.
Les éducateurs Français, conscients que le climat de l'Afrique du Nord, n'est pas celui de l'Europe. Ils savaient que les enseignants et les élèves, ne pouvaient pas supporter les chaleurs de fin de la saison estivale.
La scolarité des élèves commençait début octobre et finissait aux alentours de la deuxième quinzaine de juin.
La rentrée du 15 septembre, avait été introduite par la réforme des années 70, avec le feu Hédi Nouira.C'était la deuxième réforme, après celle du feu Messadi.
Je crois, qu'il est judicieux de retourner à la rentrée du premier octobre ; car avec une température plus clémente, les enseignants et les élèves, trouveront plus d'engouement et d'entrain, surtout dans le Sud tunisien.
Trop de réformes, cela déforme.
Le *** syndicaliste règne !!
erratum
....
Dans un pays développé, le Ministère de l'Education est l'un des plus important, car il planifie l'avenir de nos enfants, donc l'avenir de notre pays.
Par exemple, en France, Macron au cours de sa campagne présidentielle, en a fait une de ses priorités. Une des mesures qu'il va appliquer prochainement : ne pas dépasser 12 enfants par classe.
Dans un pays sous-développé, le Ministère de l'Education est l'un des moins important, les problèmes de ce ministère sont les derniers soucis du gouvernement. Et c'est pour cette raison que le niveau de nos enfants a énormément régressé.
La preuve : Ce ministère ne dispose même pas de ministre.
Pire encore : on le rattache à un ministre qui n'a rien fait de nouveau dans son propre ministère, il essaie de gérer les problèmes quotidiens et n'arrive même pas à le faire.
Ce sont ce genre de ministres qui restent en place dans les pays sous-développés.
Dans les pays développés, ils sont vite évincés.
Un ministre doit apporter un plus, doit opérer des changements positifs dans son ministère.
Quant aux responsables de l'UGTT, cette année ils roulent en VW Passat neuve et dans 5 ans ils rouleront en Mercedes.
C'est ça donner l'exemple de l'austérité et de la modestie.
Où va la TUNISIE ?
Peut-être à une prochaine révolution, qui cette fois-ci risque de l'anéantir définitivement.
Donc M. Chahed, il faut bouger, opérer des changements, et les tunisiens sont avec toi.
Pauvre Tunisie

